Il y a bien une petite pièce exclusivement réservée à la télévision, ici, mais elle est totalement désertée. Je ne peux même plus écouter France Inter, tellement la pensée unique, la propagande, a envahi toutes les ondes.

Alors le soir, après manger, nous partons, avec les trois mêmes chats, profiter des dernières lueurs du jour, dans le champ à côté. Comme il vient d'être moissonné, les observations sont plus faciles. Aussi, hier, c'est un chevreuil ( toujours le même ) qui est passé à proximité de notre groupe pas très discret. Puis, à la nuit tombante, un goupil est venu chasser le mulot, à une centaine de mètres. Nous sommes restés groupés, à regarder ce spectacle.

Un peu plus tôt, nous profitions du temps frais, emmené par le vent du Nord, frais mais clair, devant la maison. On peut profiter des pinsons, troglodytes et autres merles. Je demandais à Guylaine :

- Tu te rappelles la question que l'on se posait souvent... " Pendant la guerre, qu'aurions nous fait "?

En fait, nous nous trompions de question. La réelle est " Si nous avions été allemand, qu'aurions nous fait sous le troisième Reich"?

Pas besoin de répondre, il suffit de se regarder agir en ce moment même.

Il est vrai que les choses ont bien changées depuis les années 30. Le tissu social est en lambeaux, la surveillance globale et les moyens d'actions extrêmement limités voire inexistants. Puis l'europe n'a pas subi deux guerres mondiales parce que nous sommes bélliqueux. C'est une fable.

Rares sont les débiles profonds qui souhaitent une guerre et encore plus rares ceux qui veulent la faire. Ensuite, quand la folie générale s'installe, c'est un autre sujet.

Nous sommes dans une époque totalement similaire à celle des années 30. Le quatrième Reich est très bien installé dans les "démocraties" occidentales et "nous" donnons des sanctions économiques chaque semaine à la Russie, car elle a annexé un territoire stratégique pour elle, sans un seul coup de feu. "Nous" encourageons une armée à envahir un territoire avec une très faible défense, à tuer des centaines de civils à coups de missiles, d'obus et de tirs à vue. Pour la forme, "nous" appelons à un cessez le feu.

On pourrait considérer cela comme de la squizophrénie, mais il n'en est rien. Ce n'est que politique, belliqueux, économique. La troisième guerre mondiale a déjà commencée.

Et ce "Nous" me dérange fortement, car comme tous les allemands ont été "coupables" pour les crimes nazis, "Nous" seront jugés par l'Histoire, s'il en reste une après la guerre, comme "coupables" des crimes de l'Otan ( Israël peut être assimilé à l'Otan, étant donné qu'elle participe activement à des manoeuvres conjointes ).

Pourtant, je pense que la majorité des peuples est contre ce massacre, cet épisode qui ressemble tant à l'assaut du ghetto de Varsovie. Je pense que la majorité des peuples est contre cette dictature au pouvoir mais elle n'y peut absolument rien, preuve que c'est vraiment une dictature.

Mais cette majorité est aussi responsable. Responsable d'avoir permis à cette dictature de s'être installée aussi facilement, d'avoir toujours voté pour l'un ou l'autre parti d'un même mouvement maçonnique pour ne pas dire satanique et désormais sioniste.

Alors oui, si une Histoire subsiste à ce qui vient, nous serons coupables. Nous aurons donc ce que nous méritons.

Les forces venues de l'Ouest ( pro-Europe ) ont lancé l'attaque ce matin, dans les villes de l'Est pour reprendre le contrôle des bâtiments tenus par les forces pro-russes.

Il y a déjà plusieurs morts de chaque côté.

Est ce le début d'une guerre civile?

Poutine va-t-il regarder la situation se dégrader sans intervenir?

Ce sont les deux questions.

Sans rapport avec l'ufologie (encore que ?...), une très brève mais percutante déclaration de François Léotard (ancien ministre de la Défense dans les années 90), sur RMC, lors de l'émission "Les grandes gueules" du 7 avril 2005 :
prenant comme exemple les dizaines de milliers de disparitions inexpliquées se produisant chaque année en France dans l'indifférence la plus totale, François Léotard y affirme qu'il existe tout un pan de notre monde qui est occulte, caché, ignoré des médias, et qu'ils n'ont au fond aucune envie de découvrir.
Bref, une face cachée sur laquelle les journalistes mainstream n'enquêtent pas...

Comment tu as fait pour creuser en toute légalité
Un abîme entre toi et moi?
Comment est-ce que je ressens les choses ?
Comme un acte de haute trahison !
Tu me diras qu’un traître est un être comme un autre
Non… un traître … est un acte, un mouvement, un geste qui dissout l’être.
Nous en sommes là, à se dissoudre
Pas d’autre solution… pas d’absolution ni pour les uns, ni pour les autres
Et si nous en sommes toujours là c’est pour en découdre.
Après toute une vie d’amour partagé,
de bonheurs envisagés
Du moins c’est ce que je croyais…
Je découvre aujourd’hui, non pas que tu ne m’aimes plus
Ce qui laisserait notre passé intact et notre avenir ouvert
Mais que tu ne m’as jamais aimée
Et que tu ne m’aimeras probablement jamais.
C’est la plus atroce des atrocités… la plus absurde des absurdités
Ne pas être ou ne plus être la fille de son père
Parce qu’il a été décidé je ne sais quand, ni comment ni par quoi :
Qu’il n’y aura plus de père, ni de repère…
Plus de mère-patrie
Tout a explosé parce que le temps n’a pas daigné suspendre son vol…
Tes enfants sont à la rue
Plus de fratrie… ni de bergeries fraternelles…
Que des individus mordus par cette chienne de vie.
France… tu ne nous as jamais aimés…
Depuis la Révolution on se posait déjà la question
Savoir si ta république n’était pas au fond un long cheminement vers une rupture cynique avec tes propres enfants.
Comme le temps… tu ne fais plus rien d’autre que dévorer tous ceux qui t’ont jadis, adoré.
Et tu oses encore nous renvoyer, toi la plus singulière des nations, à l’universel, à l’universalité…
Parce que tu ne veux plus avoir avec nous, quelque chose de particulier?
Si, une pièce d’identité
Je suis ton enfant, cet enfant dont tu ne cesses de briser le rêve
Parce qu’il refuse obstinément de crever
C’est aujourd’hui et seulement aujourd’hui
Que je viens de réaliser qu’on n’a pas le même but :
Je lutte… tu ne luttes pas,
Tu collabores !

Source

Au lendemain de la mort à Bangkok du directeur général du constructeur automobile indien Tata Motors, qui a chuté du 22^e étage de son hôtel, la police thaïlandaise a indiqué lundi avoir retrouvé ce qui ressemble à une lettre de suicide dans sa chambre.

Alors que Karl Slym, Britannique de 51 ans, se trouvait dans la capitale thaïlandaise pour assister à un conseil d'administration de Tata Motors Thailand Ltd, son corps a été retrouvé dimanche sur un balcon du 4^e étage de l'hôtel Shangri-La où il séjournait. « Initialement, nous ne pouvons que présumer qu'il s'est suicidé, a déclaré le lieutenant-colonel de la police Somyot Boonnakaew. La fenêtre était petite et il a fallu qu'il fasse un effort pour passer à travers. » La lettre de suicide présumée, trouvée dans la chambre, a été envoyée pour analyse, pour vérifier qu'il s'agit bien de son écriture, a-t-il ajouté.

La police pense que la femme de Slym était dans la chambre au moment de sa mort, mais a précisé qu'elle était à ce stade trop « choquée » pour répondre aux questions des enquêteurs.

Dimanche, le constructeur automobile avait annoncé que son directeur général était mort lors d'une chute, tandis que la presse indienne indiquait qu'il avait perdu l'équilibre avant de tomber dans le vide. Karl Slym avait rejoint Tata Motors en 2012 et était chargé des opérations en Inde et sur les marchés internationaux, sauf pour Jaguar et Land Rover. Diplômé de l'université américaine de Stanford, il avait été auparavant vice-président d'une coentreprise de General Motors en Chine, SGMW, et président de General Motors en Inde.

C'est lui qui a cherché à repositionner la Nano (la voiture à 2 300 dollars de Tata Motors) comme une « deuxième voiture », voire une alternative bon marché aux scooters, après son échec commercial, rapporte Les Echos.

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