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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 23:10

Merci neo, pour le lien.

 

 

Dans une récente interview, Walter Cunningham, astronaute d'Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques.

L'alarmisme climatique est « la plus grande fraude dans le domaine de la science » et la revendication de consensus à 97% est absurde, a dit Walter Cunningham astronaute d'Apollo 7 à MRCTV dans une interview exclusive en avant-première de sa présentation à la prochaine conférence sur le climat du Heartland Institute, du 7 au 9 juillet.

Depuis l'an 2000 environ, j'ai de plus en plus approfondi ce domaine, et je n'ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Et c'était un peu comme une évidence d'arriver à cette conclusion.

Cunningham rejette la notion de climat anthropique, non seulement comme un fait mais aussi d'avoir même à la qualifier de vraie « théorie » :

« Dans les médias, elle est appelée théorie. Évidemment, ils ne savent pas ce qu'une théorie signifie vraiment »


« Si nous revenons à l'hypothèse réchauffiste pas une théorie, mais une hypothèse, depuis le début ils ont dit que les niveaux de CO2 sont anormalement élevés et que des niveaux élevés de dioxyde de carbone sont mauvais pour les humains... ils ont pensé que des températures plus chaudes sont mauvaises pour notre monde, et que nous étions en mesure de remplacer les forces naturelles pour le contrôle de la température de la terre. Alors, j'ai approfondi ces assertions, et le problème que j'ai découvert... parce que je n'ai pas trouvé qu'elles étaient correctes... c'est que ce ne sont certainement pas des théories, mais juste des propositions de ce qu'ils aimeraient bien trouver dans les données qu'ils étudient. » 

Cunningham exhorte les Américains à regarder les données et à décider pour eux-mêmes, au lieu de prendre pour mot ce qu'en dit quelqu'un d'autre :

« Sortez et jetez un coup d'oeil et vous trouverez que beaucoup sont de pures absurdités et des voeux pieux de la part d'alarmistes qui recherchent de plus en plus d'argent à faire tomber entre leurs mains. « Ne croyez pas tout, simplement parce que le professeur l'a dit. » Vous devez aller y jeter un coup d'oeil. Revenez en arrière et regarder l'histoire de la température et du CO2. Regardez la valeur de dioxyde de carbone, et quels en sont les avantages aujourd'hui. »


Cunningham note que les alarmistes craignent que l'atmosphère contienne actuellement 400 parties par million (ppm) de CO2, alors que ce n'est seulement qu'un dixième du niveau que son vaisseau spatial devait atteindre avant d'être une source de préoccupation. Dans son vaisseau Apollo, une alarme ne se déclenchait que si le CO2 atteignait 4000 ppm et, dans la navette spatiale d'aujourd'hui, le signal est mis à 5000 ppm. Dans les sous-marins où les membres d'équipage peuvent avoir des missions de trois mois, le CO2 doit atteindre 8000 ppm avant que l'alarme ne soit activée.

« D'un sujet à l'autre, nous trouvons ces gens trop préoccupés, d'abord par un danger qu'ils essaient de nous mettre sur le dos, puis par l'affirmation que nous pouvons d'une façon ou d'une autre, contrôler la température de la terre » dit Cunningham. 


« Je ne peux pas dire que nous n'avons pas d'impact du tout, mais il serait si minuscule et si insignifiant, qu'il ne vaudrait pas le moindre effort. »

La température de la Terre est donc dictée par quoi ? Cunningham dit qu'il est bien établi que les « principes contrôleurs » sont des forces naturelles comme le soleil, la température des océans, et même l'activité volcanique.

Ainsi, il appelle l'alarmisme climatique « la plus grande fraude du domaine scientifique » :


« Pour moi, il est vraiment risible de trouver quelqu'un qui prétend être un scientifique sérieux et qui y croirait. Donc, je me pose vraiment des questions sur quelqu'un qui prétend être un scientifique et entre dans ce jeu. Alors, ce qu'ils font est d'essayer d'en contrôler la sémantique, le verbiage. Pour moi, et c'est presque risible, c'est la plus grande fraude du domaine de la science, du moins au cours de ma vie, et peut-être la plus grande de tous les siècles. »


« Si vous revenez en arrière et regardez les données qui ont été bien documentées au fil des ans, vous pouvez voir, par exemple, qu'en ce moment, à la fois le CO2 et la température sont simultanément à l'un des niveaux les plus bas au moins des derniers 600 à 800 millions d'années. La dernière fois qu'ils étaient tous deux ensemble à ce bas niveau, c'était il y a plus ou moins 300 millions d'années, et si vous revenez 500 à 600 millions d'années en arrière, le CO2 était 15 fois plus élevé que ce qu'il est maintenant. Donc, ce que je veux dire, c'est que l'histoire vous montre que presque tout ce réchauffement climatique anthropique d'aujourd'hui est tout simplement absurde. »


« Et, le plus étonnant pour des personnes comme moi... est qu'il y ait des gens qui croient à ces absurdités dont on les gave... Les médias sont en grande partie à blâmer pour ces idées fausses non pas parce qu'ils trompent intentionnellement le public, mais parce qu'ils ne veulent pas prendre le temps et la peine de chercher. S'ils cherchent et regardent par eux-mêmes, ils deviennent beaucoup plus neutres dans leur présentation. »

Le pire de tout, dit Cunningham, est que les médias font la promotion de la revendication absurde qu'il y aurait un consensus scientifique à accepter l'hypothèse du climat modifié par l'homme :

« Quand ils évoquent ces soi-disant 97% de scientifiques qui croient que les hommes contrôlent la température je dis que c'est le chiffre le plus absurde et le plus stupide du monde et que tout ce qu'ils ont à faire est une petite recherche sur Google. Je ne vais pas le faire pour eux allez jeter un oeil et vous trouverez que c'est une déclaration ridicule que font les gens y compris le président. »


« Si vous procédez à une enquête totalement anonyme de vrais scientifiques impliqués dans ce domaine, je peux presque vous garantir que vous allez trouver une majorité qui ne sera pas d'accord avec les alarmistes. »

« Je peux seulement vous dire que, même au temps d'Apollo, nous n'avons pas eu à faire face à ce genre de bêtises » conclut Cunningham.

CNSNews

 

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 13:15

Sélection 501

 

Évelyne Dhéliat, Fanny Agostini, Laurent Romejko... Le ministre des Affaires étrangères rencontrera mardi les principaux présentateurs météo pour les sensibiliser aux enjeux climatiques.

 

Sur son agenda, le ministre des Affaires étrangères a un rendez-vous assez original. Mardi matin, il recevra les présentateurs météo des principales chaînes de télévision et de radio. Objectif: sensibiliser ces spécialistes, qui sont d'importants relais d'opinion, aux enjeux de la conférence internationale sur le changement climatique, prévue à Paris fin 2015 et dont Laurent Fabius a fait l'une de ses priorités diplomatiques. Seront notamment présents Évelyne Dhéliat, Catherine Laborde et Véronique Touyé (TF1), Anaïs Baydemir, Laurent Romejko et Nathalie Rihouet (France2), Fanny Agostini (BFMTV), Thierry Fréret (i-Télé), Joël Collado (France Info) et Laurence Roustandjee (M6).

 

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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 12:29

Spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Munter planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement climatique. Et, pour lui, l’homme n’y est pour rien!

 

Il y a une semaine, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pointait une nouvelle fois d’un doigt accusateur l’homme et le CO2 qu’il produit comme principaux coupables du réchauffement climatique. Pour Werner Munter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, qui se penche compulsivement sur le phénomène depuis trois ans, «ces gens sont des imbéciles qui répètent en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour!» Le Bernois nous a longuement reçus dans son appartement d’Arolla (VS) pour étayer ces accusations entre une tranche de viande séchée et deux verres de Cornalin. Son diagnostic climatosceptique, loin d’être celui d’un hurluberlu, est partagé par d’éminents scientifiques dont deux Prix Nobel. Il nous l’explique.

Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement. Pourquoi?

Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai acheté cet appart en 1989. En 2005, le pilier Bonatti des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion pour trois raisons.

Quelles sont ces raisons?

La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

Votre second argument?

La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).

Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus? Vos collègues scientifiques ne sont pas tous des imbéciles!

Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par exemple en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000 tonnes!

Votre dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique. C’est-à-dire?

Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple: la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude. Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce que correspond à notre expérience quotidienne.

Alors au final, comment expliquez-vous ce fichu réchauffement?

Je n’ai pas de réponse car trop de facteurs entrent en jeu. Par contre, j’ai des hypothèses. Je soupçonne par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à l’œuvre au centre de notre Terre. Quoi qu’il en soit, c’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat. La nature est bien plus forte que l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre!(Le Matin)

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 08:32

Les lecteurs attentifs se souviendront que j'avais conclu un billet précédent en faisant remarquer que les climatologues proches du GIEC invoqueraient, tôt ou tard, les effets de la variabilité naturelle encore ignorés par les modèles (après avoir longtemps affirmé que la variabilité naturelle, c'est à dire les variations naturelles du climat en l'absence de contribution anthropique, était comprise et correctement prise en compte dans les modélisations).
De fait, nous assistons actuellement à une sorte de retour en arrière du processus de la recherche initié par la mise en place du GIEC qui est maintenant atteint de la "paralysie du paradigme" selon les mots de Judith Curry, vers une analyse plus proche de la méthode scientifique traditionnelle évoquée notamment par le Professeur Bob Carter.


S'agissant de l'analyse de l'influence des émissions anthropiques sur le climat de la planète, la méthode scientifique traditionnelle aurait consisté à rechercher, tout d'abord, l'ensemble des paramètres qui influent, de manière naturelle, sur le climat, c'est à dire en l'absence de forçage anthropique. Ceci aurait permis d'expliquer les causes des importantes variations climatiques des temps passés et notamment, parmi celles-ci, la plus proche de nous, l'intervention du petit âge glaciaire (du XVIIIe au début de XXe siècle) qui est très bien documentée et incontestée. Ceci étant bien compris et modélisé, il aurait alors été possible d'observer et d'analyser les effets de la superposition d'un éventuel forçage anthropique. 


Comme le savent les lecteurs(trices) de ce site, ce n'est pas cette méthode qui a été choisie. Le GIEC a été créé avec pour mission d'identifier, d'emblée, les effets anthropiques sur le climat. Cette inversion du processus scientifique traditionnel semble s'être, à présent, retournée contre ses initiateurs.
En effet, les climatologues proches du GIEC ont affirmé, pendant plus de deux décennies que "the science is settled" ("la science est comprise") et qu'ils avaient bien pris en compte l'ensemble des facteurs influençant le climat de la planète. De nos jours, les observations objectives mettent en évidence la divergence croissante entre les modèles et les observations et les climatologues se voient contraints d'effectuer un retour en arrière vers l'analyse des facteurs qui contribuent naturellement aux changements climatiques et qui ont été omis dans les modèles.
Sans aucun doute, certains penseront que c'est là beaucoup de temps perdu par rapport à ce qui aurait pu et dû être fait depuis le début.

 

Article à lire sur Pensée Unique.

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 21:54

 

 

)

 

 

Le scientifique canadien Patrick Moore, l'un des 16 co-fondateurs et ancien président de Greenpeace, a fait une déclaration sur le réchauffement climatique de la planète devant le Congrès américain :

« Il n'y a aucune preuve scientifique que les émissions humaines de dioxyde de carbone sont la cause dominante du réchauffement mineur de l'atmosphère au cours des 100 dernières années. Si ces preuves existaient, elles seraient écrites pour être accessibles à tous. Mais aucune preuve, au sens scientifique, n’existe ».

Moore a été membre de Greenpeace de 1971 à 1986, mais il a expliqué qu’il a quitté cette organisation parce qu’elle avait effectué « un virage politique à gauche, et commencé à adopter des politiques » qu’il ne pouvait accepter compte tenu de son parti pris scientifique.

 

Un récent rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'Organisation des Nations Unies (GIEC) – l’instance de l'ONU qui surveille le réchauffement climatique  - indique qu’il y a «une probabilité de 95 à 100% que l'homme est la principale cause du réchauffement climatique ». Mais pour Moore, ces chiffres ne sont pas le résultat de calculs scientifiques, ils ont été «inventés ». « +Extrêmement probable+ n’est pas un terme scientifique, mais plutôt un jugement, dans un tribunal », a-t-il rappelé. Il explique que les modèles informatiques utilisés par le GIEC « ne sont pas des boules de cristal », et qu’ils ne peuvent pas plus prédire l’avenir qu’en jetant des runes, ou en appelant les Dieux.

« Le meilleur moyen de montrer que le terme d’« extrême certitude » est fallacieux consiste à examiner les enregistrements historiques », a indiqué Moore. « Lorsque la vie moderne a évolué il y a plus de 500 millions d'années, le CO2 était plus de 10 fois plus élevé qu’aujourd’hui, et pourtant la vie a prospéré à cette époque. Puis survint l’Âge de Glace il y a 450 millions d'années, lorsque le CO2 était 10 fois plus élevé qu’aujourd’hui. Il y a une corrélation, mais très peu de preuves, pour soutenir la notion d’une relation de cause à effet entre le CO2 et la température globale à travers les millénaires. Le fait que nous avons eu des températures plus élevées et un âge de glace à une époque où les émissions de CO2 étaient 10 fois plus élevées qu'aujourd'hui réfute fondamentalement l'idée que les émissions de CO2 de l’homme sont la cause principale du réchauffement de la planète ».

 

En outre, selon Moore, le réchauffement climatique ne serait pas si dommageable. « Les humains sont une espèce tropicale », dit-il. « Nous avons évolué dans la région de l’équateur, dans un climat où le gel était inexistant. Les seules raisons qui nous permettent de survivre à ces climats froids, sont le feu, les vêtements et nos maisons. Il faut dire que le givre et la glace sont les ennemis de la vie, sauf pour les quelques espèces qui se sont adaptées à des températures glaciales durant l’âge de Glace du Pléistocène ».

« Ce que nous savons avec une +certitude extrême+, c’est que le climat change constamment, entre des pauses, et que nous ne sommes pas capables, avec notre connaissance limitée, de prédire comment il va évoluer à la période suivante », conclut Moore.

 

Dans le talk-show américain de Sean Hannity, Moore a estimé que le concept de réchauffement global provenait « d’un puissante convergence d'intérêts parmi une très large élite, y compris des politiciens qui aiment faire paraître qu’ils essaient de sauver le monde, d’organisations environnementales qui veulent collecter de l'argent et contrôler des questions telles que l’intégralité de notre politique énergétique, les médias pour le sensationnalisme, des universités et des professeurs qui veulent obtenir des bourses. On ne peut plus obtenir de bourses d’études scientifiques de nos jours, si elles n’ont aucun rapport avec le  réchauffement climatique». 

 

« Il y a des millions d'enfants qui meurent chaque jour de carences vitaminiques et de maladies que l’on pourrait éviter et nous dépensons des centaines de milliards de dollars sur un problème qui n’existe peut-être même pas », critique Moore.

 

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 16:02

C'est à lire sur Pensée Unique.

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13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 10:24

Alors que deux scandales ont entrainé en deux mois la démission successive de deux directeurs généraux de la BBC, leur dernier successeur à peine nommé n’aura pas eu droit à l’état de grâce. Trois distingués parlementaires britanniques, membres des trois principales formations politiques, ont fait l’union sacrée pour lui adresser conjointement le 14 décembre un courrier solennel dénonçant une vaste opération de supercherie et de manipulation de l’opinion sur le réchauffement climatique, au service d’intérêts souterrains depuis des années. Cette affaire vient d’éclater sous le nom de « 28 gate » en raison d’un groupe obscur de 28 membres ayant géré cette opération à la BBC depuis 2006.

 

Préjugés, ignorance, crédulité, dissimulation…

 

Les termes du communiqué publié le 17 décembre par la Fondation indépendante sur la politique du réchauffement climatique (GWPF), et ses trois administrateurs, Lord Lawson (conservateur), Lord Donoughue (travailliste) et la Baroness Nicholson (libérale), n’y vont pas de main morte.

 

On apprend dans leur courrier très dur à Lord Hall, le nouveau directeur général de la BBC, que cette question a été traitée « avec une ignorance considérable des problèmes posés », réduisant les problèmes à des questions simplistes sans rapport, alors qu’aucun consensus n’existe dans la communauté scientifique sur un réchauffement dans les 15 dernières années. La BBC  a pesé vers une seule explication partielle qui déforme la réalité et tend à faire croire à des phénomènes de réchauffement non fondés. Elle endosse une responsabilité considérable dans une gigantesque opération de manipulation de l’opinion.

 

A qui profite le crime ?

 

Le scandale se révèle sous le nom de « 28 Gate », 28 « personnalités » « experts de haut niveau » mais la BBC a tout fait pour cacher leurs noms et qualités. Pourquoi ? Après quelques investigations, il se révèle que seuls deux spécialistes du climat participaient aux travaux, et encore par hasard… On découvre surtout dans ce groupe des personnalités non scientifiques  intéressées par le développement des énergies renouvelables, (éoliennes, etc..) et deux activistes de Greenpeace pour toute ONG, alors qu’il en existe des dizaines.

 

La BBC est accusée officiellement de malhonnêteté et de s’être fait manipuler par des intérêts financiers sordides et cyniques

 

Grâce aux campagnes d’opinion sur le réchauffement climatique, un affairisme spéculatif mondial s’est développé à un niveau estimé à 135 milliards de dollars cette année, tout cela uniquement sur la base de quelques communiqués ou de quelques calculs extrapolés… Rien que pour 2012, les polices financières estiment  à 5 milliards d’euros les  fraudes sur les certificats carbone. Ces fraudes ont même provoqué la semaine dernière une descente musclée de 500 policiers au siège de la Deutsche Bank, première banque allemande, jusqu’à son président. Les promoteurs d’éoliennes et d’énergies renouvelables s’engouffrent dans la brèche pour exploiter le filon, mettant ainsi 7 millions supplémentaires de britanniques dans la précarité énergétique avec une augmentation de 40 % de l’électricité en à peine 30 mois.

 

De nombreux groupes de pression se livrent à des procédés douteux. Le Vice Président de la Commission européenne, chargé de la lutte anti fraude, Siim Kallas, l’a dénoncé dans une communication toujours en ligne, datée du 16 juillet 2007. Les groupes mondiaux d’experts sont manipulés dans tous les sens. Il est possible de faire dire l’inverse et son contraire à propos de leurs travaux du GIEC, eux-mêmes objet d’un « climategate ». Les campagnes de mesure des satellites du Ministère britannique de la Défense depuis 1980, l’une des sources principales de données de ces groupes d’experts, montrent  pour certaines couches atmosphériques un réchauffement mais pour d’autres aussi nombreuses un refroidissement sensible de la température depuis plusieurs années.

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 05:55
Du fait d’une oscillation climatique naturelle multidécennale, le Dr Jianping Li de l’Académie des Sciences chinoise et ses collègues estiment que la température dans l'hémisphère nord va baisser doucement au cours des prochaines années.

« La température dans l'hémisphère nord sur la période 2012-2027 va selon notre prédiction baisser doucement au cours des prochaines décennies, ceci grâce à l'affaiblissement de l'oscillation nord-atlantique qui efface le réchauffement anthropique » annonce le Dr Jianping Li de l’Académie des sciences chinoise dans un papier qui vient d’être publié dans la revue Geophysical Research Letters, et dont les Dr Cheng Sun et Fei-Fei Jin sont également co-auteurs.

Voici donc que les scientifiques chinois s'en mêlent. L’étude des climatologues américaines Marcia Wyatt et Judith Curry sur la théorie de l’onde de stade (« Wave Stadium Hypothesis »), papier publié dans la revue Climate Dynamics, avait déjà sonné comme un coup de tonnerre dans la sphère climato-exagératrice euro-américaine lors de sa parution le 10 octobre 2013.


Reprenant notamment les riches travaux de l'école climatique russe sur les cycles climatiques à l’échelle multidécennale (travaux d'Ogurtsov, Klyashtorin et Lyubushin en particulier), ce papier peer reviewed, c'est-à-dire relu par des experts avant d’être validé, annonce que la pause du réchauffement va probablement durer jusqu’à la décennie 2030 et que la banquise Arctique va connaître une croissance de sa surface durant les décennies à venir.

Pas seulement une pause, mais un léger refroidissement

Mais l’équipe scientifique chinoise estime non seulement que la pause va durer mais qu’en plus la température pourrait légèrement baisser, au moins dans l’hémisphère nord, c'est-à-dire où vit la grande majorité de la population mondiale.

L’auteur principal de l’étude n’est pas un hurluberlu. Le Docteur Jianping Li est Directeur du State Key Laboratory de Modélisation Numérique pour les Sciences atmosphériques et les Dymaniques Géophysiques des Fluides à  l’Institut des Sciences Atmosphérique de l’Académie des Sciences Chinoise à Pékin. Il a publié 140 papiers dans des revues scientifiques, dirige deux importants programmes nationaux chinois de recherche sur le climat, est membre plusieurs commissions internationale sur le climat, notamment sur la Mousson, et est lead author au sein du GIEC (WGII).


« La température moyenne de surface de l’hémisphère nord durant le 20ème siècle  est caractérisée par une alternance de phases de réchauffement et de refroidissement, suivie par une période plate depuis environ l’an 2000 (le récent hiatus du réchauffement » constatent objectivement et sans tabou les scientifiques. « Nous démontrons dans notre étude que l’oscillation Atlantique nord (NAO) est impliquée et peut servir d’indicateur très utile pour la variabilité multidécennale de la température de l’hémisphère nord. »

L’oscillation nord Atlantique repose sur un changement de la pression atmosphérique près de la surface océanique, elle-même liée à un changement de régime des vents. La NAO se mesure généralement comme la différence de pression atmosphérique entre l'Anticyclone des Açores et la dépression d'Islande. Les climatologues italiens Adriano Mazzarella, Nicola Scafetta ont montré que la NAO montre une période d’oscillation d’environ 60 ans depuis au moins 1700. Ces changements de régime de la NAO ont par exemple des conséquences sur les pluies au niveau du Sahel.

Un modèle basé sur les observations

 « Une analyse basée sur les observations montre que la NAO devance tout autant la température (température « detrended », c'est-à-dire quand on a supprimé la tendance de fond linéaire au réchauffement ndlr) de l’hémisphère nord que l’Oscillation Multidécennale de l’Atlantique (AMO) de 15 à 20 ans. Une analyse théorique illumine le fait que la NAO précède la variabilité multidécennale de la température nord-hémisphérique à travers son effet sur l’AMO après un certain délai, ceci étant du à une large inertie thermique des processus océaniques. »

Ces considérations permettent aux scientifiques d’établir des prédictions reposant sur une base très sérieuse concernant l’évolution de la température de l’hémisphère nord dans les décennies à venir. « Un modèle linéaire basé sur la NAO est ainsi établit pour prévoir la température nord-hémisphérique, et ce modèle donne une excellente prédiction pour la période de1971-2011, avec la récente période plate (pause) également bien prédite. »

Ceci permet aux chercheurs de prévoir que la température de l’hémisphère nord va baisser de quelques dixièmes de degrés dans les décennies à venir.

D'après le Bulletin (page 6) du Ministère fédéral allemand de l'éducation et de la recherche, l'Institut Max Planck de Météorologie à Hambourg prévoit un refroidissement imminent de l'Atlantique nord.

Le soleil n’a pas dit son dernier mot

Etant donné que l'activité solaire baisse, comme confirmé par la NASA le cycle 24 actuel est très peu intense, il est possible que la température dans les décennies à venir soit encore un peu plus fraîche qu’estimée par cette équipe chinoise. Selon les scientifiques russes de l’observatoire Pulkovo, après une phase de croissance de l’activité solaire depuis environ la révolution française (sortie du « petit âge glaciaire »), nous sommes en train d’entrer dans une phase froide du cycle solaire de 200 ans, et le plus froid va probablement commencer vers 2030-2040. « Mais cette période froide ne sera pas aussi intense que dans la fin du 17e siècle » a néanmoins pondéré le chercheur Yuri Nagovitsyn.

Le forçage anthropique n’a pas disparu pour autant

Bien entendu, le forçage anthropique reste présent, mais il est sans doute moins puissant qu’estimé auparavant étant donné que la variabilité interne multidécennale est capable de l’effacer. Le réchauffement relativement important qui a eu lieu entre les années 80 et 90 s’explique ainsi en bonne partie par cette variabilité naturelle, et en partie par les gaz à effet de serre et le carbone-suie.

Selon plusieurs études récentes, un doublement de la concentration en CO2 atmosphérique (par exemple passer des 0.04% actuels à 0.08%) pourrait conduire à un réchauffement moyen global en surface de l’ordre  d’1,5 °C, et non de 3°C. Et cela change tout.

Dans le résumé à l’attention des décideurs (SPM) du rapport du GIEC AR5-2013, les auteurs ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur la meilleure estimation (« best estimate ») de sensibilité climatique. « Aucune valeur de l’estimation de la sensibilité climatique d’équilibre ne peut être donnée maintenant à cause d'une absence d'accord sur les valeurs provenant des différentes études » peut-on lire dans ce résumé page 11, en note de bas de page.

Plus que jamais les débats d’une part sur le réchauffement climatique, c'est-à-dire par définition de l’atmosphère, et d’autre part sur le réchauffement océanique, sont libres et ouverts.

 

Par Olivier Daniélo


A LIRE AUSSI : Etude américaine : la longue pause du réchauffement qui dure depuis 17 ans pourrait se prolonger jusqu'à 2030-2040

 

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 12:26

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Le récent typhon aux Philippines a vu un déferlement médiatique pour nous faire pleurer, nous faire cracher de l'argent et surtout pour en remettre une couche sur le "réchauffement". Le même qui n'existe plus depuis plus de 15 ans.

 

Le travail des pseudos journalistes a encore été bâclé, comme d'hab. Heureusement, il reste quelques personnes qui travaillent un peu dans ce pays. Le site pensée-unique l'a fait.

 

http://www.pensee-unique.fr/news.html#typh

 

J'y ai appris l'existence de la grande tempète sur les Caraïbes, en 1780...

 

On peut aussi y voir un tableau des plus meurtrières tempêtes recencées sur le globe et qui ridiculise les propos rapportés par les agences de presse et les médias, sur le "plus puissant typhon de l'Histoire".

 

Une bien triste époque, je vous le dis...

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 12:49

Les tactiques des alarmistes du climat – l’exagération, les représentations biaisées, le mépris et le dénigrement – ont plus nui au mouvement qu’ils ne l’ont aidé. Ce n’est pas surprenant. Les membres d’une secte sont toujours les derniers à reconnaître la folie de leurs entreprises.

 

Un article de Walter Starck sur Quadrant Online, traduction jmr / Skyfall

 

Lorsqu’elle a surgi, l’idée d’un dangereux réchauffement climatique d’origine anthropique (RCA) provoqué par les émissions des combustibles fossiles, a trouvé un terrain fertile au sein d’une vaste variété d’intérêts. Pour les chercheurs, cela signifiait financement et reconnaissance. Pour les médias, la formidable captation de l’attention reposant sur la peur. Pour les militants, la mater dolorosa de toutes les menaces écologiques. Les entreprises y ont vu l’opportunité d’énormes profits tandis que les bureaucrates y ont perçu la possibilité  d’une récupération massive de puissance et de contrôle.

Pour les politiciens ce fut encore plus évident, avec d’un côté la promesse d’une forte popularité, et de l’autre, seulement des dénigrements.

 

L’impressionnante locomotive du RCA, vite mise sur les rails, a commencé à tracter un luxueux convoi de centaines de milliards de dollars. Fin 2009, tout était prêt pour une éblouissante manifestation des forces RCA au sommet sur le climat de Copenhague, ouvrant la voie triomphale du très vert et très propre nouveau monde promis par les éco-prophètes.

C’est alors que survint le Climategate. Et voilà que les roues du convoi ont commencé à se déglinguer.

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En réalité, la vaste structure du RCA s’est construite sur une base fragile de prophéties très douteuses, élaborée par une petite coterie d’universitaires de troisième ordre dont la réputation et la carrière ont été presqu’entièrement basées sur des prédictions catastrophistes à propos du changement climatique, qui se sont révélées soit fausses, soit douteuses, et dans le meilleur des cas à vérifier. L’expression « troisième ordre » est utilisée en connaissance de cause. Les déclarations retentissantes concernant le RCA ont été à la fois pleines d’incertitudes et confrontées à un certain nombre de critiques incontournables. La crédibilité et la réputation bien fondées de la recherche ne sont pas basées sur des spéculations incertaines et des prévisions non vérifiées. Les scientifiques compétents évitent de telles spéculations et prennent bien soin de quantifier clairement les limites et les incertitudes relatives aux opinions ou aux prédictions qu’ils peuvent mettre en avant.

 

À de rares exceptions près, tous les principaux promoteurs scientifiques du catastrophique RCA ont été des universitaires inconnus jusqu’à ce qu’ils s’embarquent sur le train en marche du changement climatique, et ils ont commencé à élaborer les prédictions dramatiques d’une catastrophe imminente. Les quelques personnalités qui avaient une réputation en dehors du catastrophisme climatique semblaient s’être déjà engagées sur des vues catastrophistes d’autres menaces environnementales parmi lesquelles le RCA n’était que la dernière, la plus importante et la plus populaire. Celle-ci présentait également l’avantage supplémentaire d’être de loin la plus gratifiante.

En outre, la climatologie était un domaine d’études peu connu, hautement interdisciplinaire, dans lequel des chercheurs de presque n’importe quelle discipline pouvaient participer et se faire appeler climatologues. S’y intégrer en proposant quelques alertes effrayantes sur le RCA procurait une publicité certaine dans les news avec l’onction du qualificatif d’«expert» attribué par les médias. De généreuses subventions suivraient.

 

Pour un universitaire ayant plutôt une réputation limitée à risquer, il s’avérait difficile de résister à la tentation – particulièrement pour ceux souffrant de cette maladie universitaire courante, l’opinion exagérée de sa propre importance et de sa capacité intellectuelle. L’opportunité d’une voie royale pour la gloire et la fortune en contournant la corvée normale et fastidieuse de l’expertise reconnue était certainement pour ceux-là trop évidente pour leur apparaître comme un simple coup de chance. Cela devait avoir un parfum de Destin et devait donc être défendu avec toute la férocité de vrais croyants.

 

Dans l’alarmisme climatique, l’évidente justesse de la cause a conduit à un abandon total de ce qui était considéré comme une pratique scientifique indispensable. Dans la recherche climatique, ont été acceptées et généralisées les pratiques consistant à refuser de révéler les méthodes et les sources, d’ignorer les preuves contraires, de déformer les résultats, d’exagérer la confiance, d’empêcher la publication d’études contradictoires et d’utiliser le dénigrement personnel pour discréditer quiconque ose poser des questions à propos du flux sans fin des derniers résultats et affirmations. Et ces pratiques déviantes devenues omniprésentes impliquent généralement des questions techniques tellement complexes qu’elles exigent un niveau considérable de connaissances de base pour en comprendre les arguments.

 

Cependant, les questions éthiques fondamentales sont quelque chose que chacun peut comprendre et c’est là où les alarmistes ont fait le pire pour se discréditer. Chaque fois que des preuves claires d’un comportement malhonnête par les promoteurs du RCA ont été exposées, au lieu de simplement condamner cette faute, ils ont suivi le schéma suivant : ils ont d’abord essayé de la nier, puis, en cas d’échec, tenté de la justifier. Enfin, lorsque l’information défectueuse a été mise en pleine lumière, ils ont cherché à banaliser l’ « erreur » comme étant sans véritable importance. En faisant cela, ils ont démontré clairement que tout ce qui pourrait concerner la vérité était subordonné à la justesse de leur Cause.

Avant que l’inconduite scientifique systématique généralisée ait commencé à apparaître dans la recherche climatique, la science bénéficiait d’un niveau élevé de confiance. En abusant de cette confiance les alarmistes ont acquis un avantage de courte durée. Cependant, les inévitables révélations [d’erreurs ou de déformation des faits, NDLR] ont causé un préjudice grave et de longue durée à la fois pour leur propre cause mais aussi envers la réputation de la science elle-même. Cela sera difficile à réparer.

Le Honzec ClimateGate 2.0Aujourd’hui il semble que l’élévation des températures, l’extinction des espèces, les conditions météorologiques extrêmes, la fonte des glaciers, l’accélération de la montée du niveau des mers, les épidémies, les mauvaises récoltes et diverses autres calamités climatiques commencent à être considérées comme de sinistres prédictions qui ont échoué. Les alarmistes, après avoir nié toute possibilité de variabilité naturelle dans la légère hausse de la température moyenne mondiale observée dans la dernière partie du 20e siècle, ont désormais du mal à expliquer pourquoi leurs plus sûres certitudes ne se sont pas matérialisées. Qu’ils aient pu s’être trompés pendant tout ce temps est pour eux, bien sûr, impensable.

 

Pour faire face à une contradiction de plus en plus évidente avec la réalité des faits, leur réponse a été simplement d’élever le niveau de l’alarme et d’affirmer encore plus de certitude. Cela semble une stratégie bizarre, surtout de la part d’un groupe qui prétend être composé de scientifiques de haut niveau. Ils doivent sans doute estimer que la réalité, elle-même, obéit à une théorie douteuse ratifiée seulement par le consensus d’un groupe.

 

De l’extérieur, cela ressemble à un retranchement dans des fortifications pour le dernier combat des partisans fanatiques d’une secte extrémiste, se préparant au martyre dans un paroxysme final vertueux. C’est probablement la bataille prophétique d’Armageddon, les partisans droits dans leurs bottes du postmodernisme affrontant l’idée satanique d’une réalité objective, indépendante de tout ce qu’on peut décider de croire. Ou peut-être est-ce simplement que la représentation constamment erronée de la réalité, devenue la norme dans la recherche climatique, est tellement ancrée dans leurs esprits que ses adeptes ont du mal à différencier la réalité de l’imaginaire, un peu comme dans la maladie que les psychiatres nomment mythomanie.

imgscan contrepoints 2013767 climatCependant, cela est évident, les tactiques actuelles des alarmistes dans le débat public ne font rien pour restaurer leur crédibilité, ce qui ne sert qu’à les faire apparaître de plus en plus stupides et indignes de confiance. S’ils sont vraiment aussi sûrs d’eux qu’ils prétendent l’être, la meilleure chose qu’ils pourraient faire à ce stade serait de se taire. S’ils ont raison, la réalité devrait les conforter assez rapidement. Et si la science est établie, comme ils le prétendent, il n’est, de toute façon, pas nécessaire d’intensifier la recherche. Évidemment ils ne feront rien de la sorte. Se taire reviendrait à accepter de renoncer à toute cette attention flatteuse et aux financements qu’ils sont venus rechercher pour leur juste cause.

 

Donc, selon toute probabilité, le spectacle se poursuivra, non pas comme un débat mais comme une farce, avec des personnages principaux de plus en plus follement satisfaits d’eux-mêmes jusqu’à ce que le public soit fatigué de payer les factures et trouve quelque chose de mieux à faire avec l’argent de ses impôts.

 

Source : Walter Starck dans Quadrant on line – traduction jmr.

 

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