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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 19:38

On doit bien se rendre à l'évidence, un pays où tout est écouté, lu, où l'on peut être arrếté, emprisonné, torturé, sans la moindre intervention d'un avocat ou d'un juge, où l'on peut être même légalement supprimé, juste parce que soupçonné de terrorisme, n'est en rien un pays démocratique.

 

Les Etats-Unis en sont là et la France, toujours à la traîne, en prend le chemin, avec la loi de programmation militaire qui permet de tout écouter, de tout lire, la constitution européenne qui permet de faire feu et de tuer tout manifestant.

 

La dictature se met en place, tranquillement, et tous ceux qui s'y opposeront seront classés comme "terrosristes", donc éliminables sans autre forme de procés.

 

2113 architectes et ingénieurs se sont regroupés aux USA pour mener une enquête scientifique sur l'éffondrement des trois tours ce jours là ( 2 avions mais 3 tours écroulées ). Voici leur vidéo. A voir pour comprendre ce qu'il s'est passé ce jour là.

 

http://www.reopen911.info/News/2013/12/22/11-septembre-2000-experts-pour-une-enquete-sur-la-chute-des-3-tours-du-wtc/

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 15:43

Ce documentaire de 15 minutes donne la parole à une pléiade d'experts hautement qualifiés qui se défendent de toute théorie du complot et expliquent pourquoi ils ne croient pas à la version officielle de la destruction des trois gratte-ciel du World Trade Center le 11 septembre 2001. Ils remettent en cause à la fois les explications techniques des Rapports du NIST (Institut National des Normes et de la Technologie) sur ces effondrements et les méthodes employées par le NIST pour les obtenir.

Richard Gage, le producteur de ce documentaire, est un architecte de l'AIA de plus de 23 ans d'expérience. Il a fondé l'association "Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11-Septembre" (ae911truth.org) qui regroupe aujourd'hui (au 12 septembre 2011) plus de 1500 membres. Tous ont signé une pétition demandant une nouvelle enquête sur les événements du 11/9/2001.

« La version officielle des attentats du 11 septembre 2001 s'effrite lorsque vous analysez objectivement les faits et appliquez les principes physiques fondamentaux pour les interpréter. Après que presque dix ans ce sont écoulés depuis la tragédie, n'avons-nous pas le droit de connaitre la vérité ? », déclare Richard Gage.

www.ReOpen911.info
Site d'information sur les attentats du 11-Septembre

 

 

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 09:38

Plébiscité par les médias italiens et sélectionné pour le Festival du cinéma de Rome en 2007, « Zéro » est sans conteste l’uPlébiscité par les médias italiens et sélectionné pour le Festival du cinéma de Rome en 2007, « Zéro » est sans conteste l’un des meilleurs films documentaires offrant une vue d’ensemble sur le 11 septembre 2001 et ses zones d’ombre.


Une véritable enquête d'investigation s’appuyant sur des interviews d’experts, survivants et témoins oculaires, et mettant en exergue un nombre alarmant d'inexactitudes et d'incohérences dans la version officielle des attentats du 11 Septembre.

À l'origine de ce film, Giulietto Chiesa qui fut journaliste pour les plus grands journaux italiens et député au Parlement européen. Giulietto Chiesa s'est entouré de plusieurs journalistes d'investigation, dont le journaliste Franco Fracassi, réalisateur du film, pour enquêter une année durant aux États-Unis et en Europe.

Vous pouvez commander « Zéro - Enquête sur le 11 Septembre » dans la boutique en ligne de l’association Reopen911 : http://www.reopen911.info/boutique/dvd-zero.html

www.ReOpen911.info

Le site français sur les attentats du 11 Septembre des meilleurs films documentaires offrant une vue d’ensemble sur le 11 septembre 2001 et ses zones d’ombre.

 


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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 18:36
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4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 10:04
Pascal SACRE

« Wishful Thinking », cette expression anglo-saxonne signifie « prendre ses désirs pour la réalité ». Pour n’importe quel sujet, de l’authenticité ou non du Suaire de Turin [1] aux attentats du 11 septembre 2001, comment s’approcher de la vérité, sans prendre ses désirs pour la réalité ?

 

En Occident, dans les pays dit développés, et dans les pays riches par opposition au Tiers-Monde, une conviction indiscutable est l’impossibilité qu’un de nos gouvernements, ou une de nos institutions officielles soient criminelles ou puissent couvrir des activités criminelles. Cela peut arriver en République Démocratique du Congo, en Iran, en Afghanistan mais pas chez nous, en Occident. Il peut y avoir une pomme pourrie [2], ou quelques-unes, mais cela ne concerne jamais tout le système et de toute façon, ces pommes pourries finissent par être éliminées. « Nous avons un système de contrôle et de correction digne de foi. » C’est un credo profondément enfoui dans notre inconscient que pourtant aucune recherche honnête (lectures, analyses, réflexions) ne viendra confirmer. Que du contraire, malheureusement. Cette conviction, que notre système, hormis des exceptions, est fondamentalement sain, n’est bâtie sur aucune confirmation objective, mais sur une croyance qui nous éloigne irrémédiablement de la vérité.

L’élection de Barack Obama en 2008 à la présidence des Etats-Unis est un parfait exemple du « wishful thinking » [3]. Sans rien connaître de son passé, de ses fréquentations, de ses bailleurs de fond, pour tous ces millions de gens, le premier président noir de ce pays ne pouvait être, forcément, que quelqu’un de bien (a good guy) qui s’efforcerait obligatoirement de réparer les pots cassés par l’administration précédente. C’était possible, effectivement, et l’espérer était une chose. Mais en quoi était-ce évident ? Parce qu’il est noir, et souriant ? Beau parleur et encensé par toute la presse ? Démocrate et la bouche remplie de promesses correspondant exactement à ce que tout le monde voulait entendre ?

 

Les expériences chimiques (gaz moutarde et gaz urticant) menées par le Pentagone sur 60 000 militaires étatsuniens dans les années 40 ne sont pas une légende urbaine. La source de cette information ne vient pas d’un site internet anti-nouvel ordre mondial, mais du Congrès des Etats-Unis lui-même, dans un rapport de 1994 [4]. Ce rapport précise que la plupart des cobayes ne furent pas informés de la nature de l’expérience et que parmi ceux qui l’on su, certains furent menacés d’emprisonnement s’ils en parlaient avec quiconque, y compris leurs épouses, leurs parents ou leurs médecins de famille. Le Pentagone et les responsables de cette expérience nièrent avoir ordonné ces recherches pendant des dizaines d’années [5].

 

Cela n’est pas une preuve irréfutable que tous les gouvernements nous mentent tout le temps, ou que si le Pentagone a déjà été criminel, c’est qu’il est forcément derrière les attentats du 11 septembre 2001, mais cela prouve que ces institutions officielles peuvent être criminelles, peuvent mentir sur de graves sujets et très longtemps.

La journaliste April Oliver, son intégrité professionnelle lui ayant coûté sa place à CNN, a rapporté les détails de l’opération Tailwind, durant la guerre du Vietnam, où l’armée US avait fait usage de gaz innervants pour éliminer ses soldats qui avaient fui au Laos [6].

 

Ce n’est toujours pas la preuve que le gouvernement ou que des institutions officielles d’un pays comme les Etats-Unis ont nécessairement joué un double jeu le 11 septembre 2001, s’attaquant à leur propre population, mais cela montre qu’elles peuvent en avoir la volonté et qu’elles en ont la capacité.

 

L’expérience de Tuskegee menée de 1932 à 1972 sur la syphilis affectant des Noirs en Alabama [7], l’opération Northwoods en 1962 [8] seulement déclassifiée en avril 2001, le mensonge de l’administration Johnson sur l’incident fabriqué du Golfe du Tonkin [9] , un mensonge qui a entraîné les États-Unis dans une « opération de police » désastreuse qui allait durer 10 ans, et coûter la vie à plus de deux millions de personnes, ne sont encore et toujours pas des preuves formelles d’une implication de responsables étatsuniens dans les attentats de 2001, mais prouvent que cela n’a rien d’impossible et qu’il n’y a rien d’outrageant, de délirant ni de stupide dans cette hypothèse.

«  Nous avons une tendance naturelle à rechercher les opinions et les faits qui confirment nos propres opinions et hypothèses et à ignorer ceux qui les infirment. Nous retenons les éléments qui nous confortent dans notre vision ou notre choix, les exemples qui nous arrangent par rapport aux contre-exemples qui nous dérangent. On fait plus confiance à la météo quand elle annonce du beau temps. Les journaux financiers se vendent mieux quand la Bourse monte. […] Cet effet est encore amplifié lorsque nous avons intérêt à croire ce que nous croyons. » [10]

 

Concernant les attentats du 11 septembre, pour certains (appelons-les « les croyants »), accepter sans broncher la version officielle du gouvernement n’était pas suffisant. Il fallait également décourager, violemment si nécessaire, toute contestation de cette version. La mauvaise foi, la sélection des données, le sarcasme, l’emploi de qualificatifs réducteurs et méprisants, l’acharnement sur les points faibles des thèses contestataires, tout a été utilisé.

Alors que, ayant accès à toutes les pièces et pouvant interroger tous les protagonistes, les institutions officielles (Commission nationale, NIST, FEMA, Pentagone) elles-mêmes avaient échoué à prouver tout ce qu’elles avançaient, il a été reproché aux citoyens contestataires de proposer des hypothèses dont ils n’avaient aucune preuve !

Un des arguments massues des « croyants » est la conviction fondamentale qu’un gouvernement occidental comme celui des Etats-Unis, même aussi imparfait et brutal que l’administration Bush-Cheney, ne pourrait s’en prendre à sa propre population. De même qu’il serait tout aussi impensable que n’importe quelle structure, dans nos pays civilisés, y compris l’impitoyable complexe militaro-industriel, puisse s’en prendre à des civils, des innocents, des compatriotes. Ce serait évident lorsqu’il s’agit de musulmans faisant exploser un bus bondé de leurs congénères, mais irréaliste lorsque nous parlons de l’Occident.

 

Thierry Meyssan, journaliste et analyste politique français, a publié en 2002 la première étude contradictoire et structurée de l’attentat contre le Pentagone [11], critiquant avec documents à l’appui les explications lacunaires de l’administration Bush.Cette première étude n’était peut-être pas parfaite ni exempte de faiblesses, mais elle a eu le mérite de faire voler en éclats l’inviolabilité indiscutable de la version officielle du gouvernement des Etats-Unis, défendue becs et ongles par certains détracteurs hystériques de Thierry Meyssan [12-13]. D’autres auteurs sérieux, comme Nafeez Mosaddeq Ahmed, universitaire à la tête de l’Institute for Policy Research & Development de Brighton, dans son livre « La Guerre contre la liberté » [14] publié six mois après les attentats, ont étayé et complété les travaux de Meyssan.

 

Ces publications et ces premières recherches, discutant du problème aussi bien dans son actualité que dans son contexte général, avec des dizaines de pages de références, bousculant nos croyances toutes faites, ont donné le point de départ au Mouvement pour la vérité sur le 11 septembre 2001 (9/11 Truth Movement), comptant par la suite des défenseurs comme le professeur émérite de philosophie des religions et de théologie de l’Université de Claremont, de renommée internationale, David Ray Griffin [15], le professeur d’économie à l’Université d’Ottawa Michel Chossudovsky [16], mais aussi des ingénieurs, des architectes, un professeur de physique de l’Université Brigham Young, des pilotes de ligne, des chimistes, des agents de l’administration et d’organes militaires US [17].

 

La naissance décalée du 9/11 Truth Movement, son développement progressif, avec des relais naissant dans tous les pays, en France avec le site ReOpen 911 [18], en Italie avec le film Zero de Franco Fracassi [19], était une réaction aux propres lacunes, incohérences, mensonges de la version officielle des Etats-Unis, de ses commission et instituts (NIST, FEMA) [20], et en aucun de ces cas un délire spontané et sans objet, qui aurait fusé en septembre 2001. Le 9/11 Truth Movement n’est pas un groupe antigouvernemental par nature, par sport, ou par hobby, une association de paranoïaques incurables qui auraient trouvé dans l’idée de complot gouvernemental un réconfort (sic) psychologique et un moyen de se rendre intéressant [21].

 

A cet égard, l’aveu de David Ray Griffin dans l’introduction d’un de ses livres, est un camouflet pour toutes ces personnes de Popular Mechanics (9/11 : Debunking the Myths, 2005), de la revue Skeptic (États-Unis, Vol.12, Numéro 4, 2006) ou pour Alexander Cockburn (traduit dans Le Monde diplomatique, décembre 2006) [22], aveu que ces derniers se gardent bien de citer lorsqu’ils construisent leur théorie selon laquelle tous les membres du 9/11 Truth Movement seraient des paranoïaques se méfiant instinctivement et sans raisons de l’Etat, préférant vivre dans le fantasme rassurant d’un complot gouvernemental (sic), que dans celui d’un complot mené par Ben Laden.

Trouvez-vous, vous aussi, comme la revue Skeptic, qu’il soit plus rassurant d’imaginer de vivre dans un pays dont le gouvernement pourrait être aussi malfaisant, plutôt que de se laisser bercer par la version officielle qui nous désigne le méchant musulman barbu comme coupable ?

 

Dans cet aveu, « Ma propre histoire », Griffin relate avec humilité et honnêteté les différentes étapes de son changement de point de vue sur les attentats [23]. Il a commencé, comme tous les autres, par accepter la thèse officielle, sans éprouver la nécessité maladive (et tant pis pour Cockburn et Cie) de chercher par lui-même une autre explication.

 

Griffin avait admis l’interprétation selon laquelle les attentats étaient le contrecoup de la politique étrangère des Etats-Unis, en particulier dans le monde arabe et musulman. Les connaissances particulières de Griffin, notamment sur les guerres menées contre le Mexique, les Philippines et le Vietnam par son pays, lui avaient cependant mis la puce à l’oreille sur la capacité au mensonge de son gouvernement. Comme il le dit : « Mais le fait d’en être conscient ne m’a pas immédiatement conduit à conclure que le 11 Septembre avait lui aussi été orchestré pour servir de prétexte. Cette pensée m’avait bien traversé l’esprit, mais je ne l’avais pas prise au sérieux. » Lorsqu’un professeur d’un autre pays le confronta à cette éventualité, en 2002, Griffin lui a répondu qu’il ne croyait « pas l’administration Bush – même l’administration Bush- capable d’un acte aussi odieux. » Griffin finit par visiter quelques sites internet renseignés par son ami professeur mais ne les trouva pas convaincants et retourna à ses certitudes rassurantes car conforme à ses croyances de base, celles d’un gouvernement fondamentalement bon, même imparfait. Ce n’est qu’une fois aiguillé sur le site de Paul Thomson, qui reprend en détails l’énorme chronologie de tous les événements du 11 septembre 2001 [24], que Griffin, pris de doutes inconfortables, commença à réellement chercher par lui-même, non pas une façon de confirmer, conforter à tout prix ses croyances de base, mais de s’approcher de la vérité, quelle qu’elle soit. Il s’est mis à lire aussi bien des auteurs comme Nafeez Mosaddeq Ahmed, que des documents officiels du gouvernement comme le rapport de la Commission Kean-Hamilton. Vous connaissez la suite [25].

L’évolution des croyances de David Ray Griffin vis-à-vis des attentats de 2001 est la même que celle de la plupart des citoyens qui ont fini par rejeter la version officielle. Intéressez-vous vraiment, et personnellement (ceux qui l’ont fait comprendront) à la version officielle servie par les Etats-Unis, dans tous ses aspects, et inévitablement, vous évoluerez comme David Ray Griffin.

 

Cette évolution ne procède pas d’une paranoïa instinctive qui pousserait à trouver dans les théories du complot selon Cockburn et Cie un réconfort psychologique, ni d’un goût maladif pour le « conspirationnisme », mais bien de la prise de conscience, une fois qu’on y réfléchit, en mettant de côté les dogmes, les codes, et les croyances, de l’impossibilité de la version officielle, en tout cas de son caractère incomplet, mensonger et orienté dans tous ses aspects principaux. Comme le dit honnêtement Griffin, tant qu’il n’y a pas réfléchi, vraiment, l’esprit ouvert et lucide, il s’est contenté de ses croyances de base notamment celle d’un gouvernement occidental normalement incapable de telles vilenies, évidence pourtant infirmée par les faits précités et par toute l’Histoire.

 

La réaction des délégations étatsunienne et européenne à l’intervention du président iranien Ahmadinejad à la tribune de l’ONU, tout récemment [26-27], montre bien, neuf ans après les attentats, combien ces croyances limitantes de base sont encore à l’œuvre aujourd’hui. Certains représentants occidentaux ont même justifié leur attitude puérile [28] en invoquant l’insulte faite aux familles des victimes du 11 septembre par le discours prétendument provocateur d’Ahmadinejad. Cela est en contradiction parfaite avec le fait que ce sont les familles de certaines victimes du 11 septembre elles-mêmes qui ont le plus critiqué la version officielle de l’administration étatsunienne, en en soulignant tous les manquements et toutes les contradictions [29]. C’est parmi les familles des victimes du 11 septembre 2001 que se trouvent les témoignages les plus virulents de tous à l’encontre de leur gouvernement, de leur administration et de leur enquête officielle à propos des attentats.

 

Ceux qui tentent de se libérer de leurs croyances infondées, de ne plus prendre leurs désirs pour la réalité, et qui abordent la version officielle du 11 septembre 2001 avec un esprit critique et non rempli de préjugés, en « portant un nouveau regard », comme le dit l’édition du 11 septembre 2009 du Time magazine elle-même [30], augmentent leurs chances d’approcher la vérité.

 

Nos croyances, qui ne sont en rien des preuves, ni des vérités, mais des généralisations issues de nos multiples conditionnements, sont bien les plus grands obstacles entre nous et la réalité.

Pourquoi, après un bon départ, le Mouvement pour la vérité sur le 11 septembre stagne-t-il toujours, neuf ans après, même si le doute se répand de plus en plus et si de nouveaux mouvements naissent tous les ans [31] (Scientists for 9/11 Truth, US Military Officers for 9/11 Truth, Actors & Artists for 9/11 Truth) ? La routine s’est-elle installée ? Des documents sont ajoutés, des rappels publiés, des manifestations et conférences ponctuelles, programmées… Certains des membres du 9/11 Truth Movement finissent par utiliser les mêmes armes que leurs détracteurs : sarcasmes, insultes, attachement excessif à leurs théories du moment. Est-ce dû à l’infiltration promise de ces mouvements [32] suivie de leur neutralisation par des provocations et des débats stériles où les idées de chacun ne sont là que pour annuler celles des autres ?

 

De nombreuses illusions entourent toujours ce drame, illusions dont se servent encore les leaders occidentaux pour justifier leur attitude et leur lâcheté, comme en témoigne leur fuite à l’ONU face aux questions de Mahmoud Ahmadinejad [33], questions déjà posées par les familles de certaines victimes du 11 septembre à leurs institutions et à leur gouvernement, le comble ! Ce dernier, caché derrière des croyances qui ne sont pas des preuves et préférant la technique de l’outrage, n’a toujours pas daigné répondre, ni à l’un, ni aux autres.

Les responsables, non pas du drame du 11 septembre, car cela reste encore à prouver, mais de l’enquête sur ce drame, ne vous ont toujours pas répondu.

 

Pascal Sacré

 

Les notes sur le GrandSoir

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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 13:31

 

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 18:48


Le rapport officiel de la National Transportation Safety Board (NTSB) relatif aux deux aéronefs qui ont percuté le World Trade Center le 11 septembre 2001 fait apparaître qu’ils volaient respectivement à 945 km/h et 796 km/h.

Or, l’association états-unienne Pilots For 911 Truth relève que selon le fabriquant, les Boeing 767 ne sont plus manoeuvrables et se disloquent à basse altitude au-delà de 660 km/h. Ces données ont été confirmées par un des anciens dirigeants de la NASA, Dwain Deets.

Il s’ensuit que les aéronefs qui ont percuté le World Trade Center ne peuvent pas être les avions de ligne des vols United 175 et American 11.

Dans L’Effroyable imposture, Thierry Meyssan avait évoqué la possibilité que des aéronefs militaires aient été substitués aux avions de ligne selon la procédure de l’Opération Northwoods (p. 168 de l’édition originale).

Les documents du NTSB déclassifiés à la demande de Pilots For 911 Truth avaient déjà montré que la porte du cockpit du vol American 77 étaient restée fermée depuis le décollage jusqu’à ce que l’on perde sa trace et qu’on le déclare écrasé sur le Pentagone. Il s’ensuit que cet avion n’a pas pu être détourné en vol.

==

Pour en savoir plus : consultez le site de Reopen 911.

 

Reseau Voltaire

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 10:23

 

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 06:53
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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 21:52
La plupart d'entre nous connaissent le 11 septembre 1973, où le président élu chilien, Allende, fut destitué par un coup d'état appuyé par les U.S.A. et conduit par le sinistre et insipide Pinochet.

Mais, en faisant des recherches sur l'activité solaire dans l'Histoire et par rapport à l'Histoire, je suis tombé sur un autre 11 septembre, beaucoup plus significatif, et que j'ignorais.

Bataille de Brandywine
http://fr.academic.ru/pictures/frwiki/84/The_death_of_general_warren_at_the_battle_of_bunker_hill.jpg

La bataille de Brandywine est une bataille de la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique qui s'est déroulée le 11 septembre 1777.

Cette bataille s'est déroulée presque simultanément à la bataille de Saratoga dans le nord de l'état de New York et de celle de Fort Stanwick.

La guerre d’indépendance américaine opposait les insurgents, organisés en milices et en une armée continentaleGeorge Washington, aux Britanniques aidés par des mercenaires hessiens. À partir de 1775, les Américains remportent quelques batailles (Lexington et Concord, siège de Boston, bataille de Trenton) mais essuient également des revers (campagne d’invasion du Canada, bataille de Long Island). dirigée par

Après s’être emparé de New York en 1776, les troupes britanniques du général Howe décident de prendre la ville de Philadelphie en Pennsylvanie, qui était alors le siège du congrès continental et la capitale de facto des États-Unis d’Amérique. Le débarquement de 15 000 soldats eut lieu en août 1777 sur la rive nord de baie de Chesapeake. Le général américain George Washington plaça ses troupe entre Philadelphie et les armées britanniques : l’affrontement eut lieu à Brandywine le 11 septembre 1777.

En fait, la bataille de Brandywine était une diversion car William Howe du King's Own Regiment et son immense armée aurait du être de la triple attaque lancée dans le nord.

Cette triple attaque a été menée par ­Burgoyne en partant de Montréal et en descendant le Richelieu vers Albany et par Barry St-Léger le Britannique qui devait rallier Albany en provenance du Lac Ontario en passant par la rivière Mowhawks. Cette triple attaque aurait du être complétée par la montée de William Howe vers Albany à partir de New York par la rivière Hudson  ; mais Howe préféra marcher sur Philadelphie pour attaquer le congrès continental qui en 1776 avait signé la déclaration d'indépendance américaine.

Les Américains perdirent 300 hommes au cours de la bataille, contre 89 du côté britannique.

Suite à la défaite américaine de Brandywine, le congrès continental dut s’enfuir de Philadelphie d'abord pour Lancaster (Pennsylvanie) puis pour York (Pennsylvanie). Le matériel de guerre fut lui aussi déplacé vers Reading (Pennsylvanie). Les affrontements se poursuivirent dans la région pendant une semaine. Après avoir occupé Philadelphie en septembre 1777, les Britanniques concentrèrent 9 000 hommes à Germantown, située à 8 km au nord de Philadelphie.

La bataille de Brandywine est célèbre car elle est la première bataille du jeune marquis de La Fayette (20 ans) qui y sera blessé à la jambe mais qui y gagnera l'admiration de George Washington, Lafayette venait à peine d'arriver en Amérique.

Elle est aussi notoire par le fait que des Québécois y ont participé avec le Congress Own Regiment de Moses Hazen.

Bien que ce fut une défaite américaine, cette diversion des forces britanniques permettra à Horatio Gates de battre Burgoyne près d'Alabany à la bataille de Saratoga (où se trouvait l'autre régiment québécois de James Livingston) ce qui entraînera la France dans la guerre, la défaite des anglais à Yorktown en 1781 et le Traité de Paris de 1783


Wikipédia.


"En fait, la bataille de Brandywine était une diversion"...


J'adore les bégaiements de l'Histoire...

Visiblement, je ne suis pas le seul.

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