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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 20:39

Je pense que ce qu'il se prépare est très bien exprimé dans cet article...

 

John Galt
Activist Post, lundi 28 février 2011

Fermer le robinet: La réduction de population par un effondrement économique prévisible
 

Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, le grand massacre de l'humanité se déroule en ce moment. Il est malheureusement temps de songer à se préparer en vue de deux sombres scénarios : soit un lent effondrement de l'économie, soit une démolition catastrophique brusque.

Selon l'aveu même de l'élite, la Société Terre est décadente, ballonnée et doit être remise en place. En d'autres termes, ce qui mathématiquement ne peut pas continuer, ne se poursuivra pas, et il est temps de trancher dans le vif.

Les "Banksters" et le cartel pétrolier semblent prendre l'initiative de mettre en oeuvre la phase finale d'un plan à long terme. Wall Street fait monter les prix pour les produits de première nécessité comme la nourriture et l'énergie jusqu'au point de rupture, ce qui secoue jusqu'au coeur de toutes les nations de la terre. Le résultat d'une telle manipulation semble destiné à conduire vers une réduction sévère du nombre de la population humaine, et un resserrement du contrôle sur ceux qui restent.
La suite sur BBB
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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 22:25

Nous tous, blogs indépendants, soyons fiers d'avoir combattu cette ineptie, ce transfert d'argent public vers les laboratoires pharmaceutiques.

 

Je nous dis : BRAVO.

 

Un scandale sanitaire se fait jour... Mais il y en aura tellement, d'ici peu, que cela deviendra accessoire.

 

http://fr.news.yahoo.com/82/20110208/thl-des-cas-de-narcolepsie-constats-chez-5fdc042.html

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 14:59

Encore David... Merci.

 

Attention, c'est affligeant mais excellent.

 

En bien meilleure qualité, ICI...
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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 21:04

macku.gif

Merci Léa, pour le lien.

 

Mediator: Irène Frachon raconte aux députés des pressions et des menaces

 

Comme il y a un Copyright de l'AFP, je préfère donner le lien que copier l'article.

 

Faut désormais être très prudent, les bâtards montrent les dents...

 

http://www.romandie.com/ats/news/110126194147.2nvu88z2.asp

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 11:41

Merci Narf...

 

PAR AGNÈS ROUSSEAUX (16 SEPTEMBRE 2010)

Vitamines A, B ou C, Oméga 3, oligo-éléments, fer... Les nutriments sont indispensables à notre organisme et à sa longévité. Plusieurs études nous alertent sur la faiblesse des fruits et légumes « modernes » en nutriments. Alors qu’une pêche suffisait en 1950 pour absorber une bonne ration de vitamine A, il faudrait aujourd’hui en croquer une vingtaine ! Où sont passées ces vitamines ? Que disent les chercheurs ? L’industrie agro-alimentaire en profite-t-elle ?Basta ! a mené l’enquête.

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« Mangez au moins 5 fruits et légumes par jour », recommande le Programme national nutrition santé. Peut-être faudra-t-il bientôt en manger cinquante... Côté nutriments, nos aliments semblent montrer quelques faiblesses. Prenez une orange : celle des années 2000 aura sans doute meilleure mine que les oranges des années 50. Et pourtant… L’orange moderne contient cinq fois moins de fer. Idem pour les pêches. Plusieurs études révèlent cette perte de « densité nutritionnelle ». C’est la quantité de nutriments (vitamines, minéraux...) qu’un aliment contient comparé à son nombre de calories. Des chips ou une pizza ont, par exemple, une très faible densité nutritionnelle comparés à des lentilles ou des brocolis [1]. Ce problème commence à être soulevé aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne (voir en fin d’article). En France, silence radio du côté des pouvoirs publics et des instituts de recherche. Nos fruits et légumes échapperaient-ils à cette malédiction ?

Vitamine A : 1 pêche de 1950 = 26 pêches de 2010

Depuis 1950, des chercheurs mesurent le contenu nutritionnel de l’alimentation. À côté des glucides, protides et autres lipides, la présence de micro-nutriments – vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras et acides aminés – est indispensable à notre santé. Or dans les années 1950, manger une banane, une orange et une pêche, suffisait à pourvoir les « apports journaliers recommandés » (AJR) d’une personne en vitamine A. Aujourd’hui, vu les teneurs en nutriment, il faudrait 5 bananes, 10 oranges, et 26 pêches pour avoir sa dose de vitamine A ! C’est ce que révèle une étude menée au Canada en 2002 et publiée par le premier quotidien du pays, The Globe and Mail, et la chaîne de télévision CTV News. Cette étude compare les tableaux de nutriments publiés à différentes époques, avec les taux de vitamines et minéraux contenus dans 25 fruits et légumes.

Résultats ? En un demi-siècle, la pomme de terre a perdu plus de la moitié de sa vitamine C et de son fer, plus d’un quart de son calcium. Et 100 % de sa vitamine A, un nutriment indispensable au développement des cellules et au fonctionnement du système immunitaire ! Selon cette étude canadienne, quasiment 80 % des aliments testés ont vu leur teneur en calcium et en fer diminuer.

Où sont passées nos vitamines ?

Des chercheurs remettent en question ces analyses, au motif que les mesures se sont grandement affinées depuis un demi-siècle. L’évolution des méthodes de test et le manque de fiabilité des données historiques fausseraient donc les résultats. Mais des études récentes, qui consistent à planter des variétés végétales modernes et historiques côte à côte, avec des pratiques agronomiques comparables, viennent confirmer la perte d’éléments nutritifs dans les aliments. Le rapport Still No Free Lunch de Brian Halweil, du World Watch Institute (États-Unis), publié en 2007 fait le bilan des études existantes. Et met en évidence cette « dilution en nutriments » généralisée.

Quelles sont les causes de ce phénomène ? Les méthodes agricoles d’abord : l’utilisation intensive de pesticides et d’herbicides, les excès d’engrais qui augmentent la vitesse de croissance des plantes et diminuent proportionnellement le temps de fixation des micronutriments. Les techniques intensives épuisent aussi les sols, dont la teneur globale en nutriments diminue dans certaines zones. En cause également, selon Brian Halweil, les traitements de conservation et les rallongements du temps de transport. Un aliment parcourt en moyenne 2.500 kilomètres avant d’être consommé ! Certains fruits, cueillis trop tôt, n’ont pas le temps de développer les nutriments liés à l’ensoleillement, comme les anthocyanines ou polyphénols, ces composants qui nous protègent contre le cancer ou la détérioration des cellules du cerveau. Quant au taux de vitamine C dans les pommes et abricots cueillis verts : il est proche de zéro !

Obèse et sous-alimenté

En cause également, les pratiques de sélection des plantes selon leur rendement. Les agriculteurs préfèrent les plantes qui poussent vite, produisent beaucoup et ont une belle apparence. Mais plus le rendement est élevé, moins la plante dépense d’énergie à absorber des oligo-éléments, et plus la teneur en nutriments est faible.

Nos régimes alimentaires sont déjà pauvres en nutriments. 70 % de ce que nous mangeons provient de produits industriels, beaucoup moins riches en vitamines. Nous consommons de plus en plus de « calories vides » : des aliments contenant des quantités élevées de gras et de sucre ajouté et très peu de nutriments par calorie. Si même les fruits et légumes ne nous assurent plus notre ration quotidienne...

Pour Brian Halweil, il s’agit d’un « paradoxe moderne unique » : nous pouvons à la fois trop nous nourrir (en calories) et rester sous-alimenté (en nutriments). Si près d’un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde, plus de 3 milliards – soit la moitié de la planète – subissent une déficience en nutriments. Avec des conséquences qui vont de l’anémie, en cas de déficience en fer, à la cécité pour ceux qui manquent de vitamine A. L’étude Suvimax (Supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants) menée de 1994 à 2003 en France par l’Inserm, a testé l’effet d’un apport en vitamines et minéraux antioxydants [2] à des doses proches de celles qu’on peut attendre d’une alimentation saine. Au bout de sept ans et demi, on observe chez les hommes une diminution de 31 % du risque de cancers et une diminution de 37 % du risque de décès. Les nutriments, c’est vraiment bon pour la santé !

Faut-il manger 3 kg de brocolis par jour ?

« Pour se développer et fonctionner au mieux, les humains ont besoin d’une diversité d’aliments et de nutriments dans leur alimentation. Notre système immunitaire ne fonctionne pas de manière optimale quand nous sommes déficients en certains nutriments. Notre capacité à éviter les maladies, du cancer au simple rhume, est compromise », souligne Brian Halweil. Selon le ministère de l’Agriculture états-unien, notre « régime alimentaire est plus compromis par la consommation de nourriture industrielle que par le déclin des niveaux de nutriments dans les fruits et légumes » [3]. Est-ce une raison pour laisser nos fruits et légumes se vider de leurs substances ?

Certains scientifiques pointent le fait que la densité en nutriment baisse dans chaque grain de blé ou la moindre feuille de salade. Mais grâce aux progrès en terme de rendement, il y aurait au final plus de nutriments produits par hectare. Ce qu’illustre le généticien Mark Farnham, spécialiste du brocoli au « US Vegetable Laboratory » : grâce à la taille plus importante des brocolis modernes, on trouve sans doute plus de calcium et de magnésium dans chacun d’entre eux, nuance-t-il. « Mais la plupart des gens ne mangent pas un brocoli entier en une seule fois », rétorque Brian Halweil.

En France, on s’enthousiasme pour les nano-capsules...

Du côté de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), ce genre de débat semble bien lointain. « La baisse de densité nutritionnelle des fruits et légumes ? C’est une rumeur, le type d’information qui circule… mais est-ce avéré scientifiquement ? », s’interroge Jean-Michel Chardigny, directeur de l’Unité nutrition humaine de l’INRA à Clermont-Ferrand, la plus grosse unité s’occupant d’alimentation humaine. « Je n’ai pas connaissance d’études là-dessus, ce n’est pas un sujet très documenté », explique-t-il à Basta !... Au moins sept études sur le sujet ont été publiées depuis 15 ans (lire ci-dessous).

À l’INRA, on travaille surtout sur « le nutriment ». Les chercheurs « sont mal armés pour mesurer la complexité des apports des aliments », justifie Jean-Michel Chardigny. « La question de la densité nutritionnelle ne se pose pas. Il est important que les gens consomment des quantités élevées de fruits et légumes. C’est lié au volume global, pas à la densité », ajoute Cécile Renard, directrice de recherche à l’INRA et responsable d’une équipe qui travaille sur la qualité des fruits et légumes.

On préfère s’occuper « d’adressage » ou de « vectorisation » : trouver la formulation qui permette au nutriment – des Omégas 3, par exemple – d’aller sur la bonne cible plutôt que de se diluer dans l’organisme. Une façon d’associer les molécules entre elles pour qu’elles ne se dégradent pas de la même façon une fois ingérées. Des recherches qui incluent aussi les nanotechnologies. « Il faut être prudent. On peut court-circuiter la régulation mise en place par l’organisme, avertit Jean-Michel Chardigny. Le fer par exemple, ingéré à l’échelle nano, est absorbé à 100 %, alors que ce taux est de 30 % normalement car il ne franchit pas la barrière intestinale. Avec les nanos, c’est comme si on avait une perfusion en intraveineuse. Cela peut être positif ponctuellement ». Réjouissant, non ?

Éveillez votre « conscience nutritionnelle » !

Quand il n’y aura plus de nutriments dans les produits agricoles, on pourra toujours se les injecter manuellement, via des nano-capsules… De quoi révolutionner la configuration des repas de familles ! Autre solution proposée par l’industrie : manger des nutriments artificiels ou des aliments enrichis. « Depuis quelques années et grâce à la mobilisation de l’ensemble des acteurs – corps médical et scientifique, pouvoirs publics, industriels – la conscience nutritionnelle des consommateurs français s’est éveillée », se félicite le Syndicat de la diététique et des compléments alimentaires.

Selon un sondage mené en 2008 pour cet organisme par TNS Sofres, 37% des Français « consomment des compléments alimentaires afin de conforter leur capital santé ». Un marché qui représente un chiffre d’affaires annuel de plus d’un milliard d’euros (en 2008). Quitte à gérer la santé comme un capital, il peut paraître plus rentable d’acheter des doses de vitamines ou d’oligo-éléments, que d’essayer de repenser les politiques agricoles et alimentaires. Surtout quand cela arrange l’industrie agro-alimentaire. Au moins pourrait-on espérer que les instituts de recherche en France puissent nous dire exactement ce que nous mangeons, et surtout si ces aliments nous nourrissent encore. Ce qui n’est même pas le cas.

Agnès Rousseaux

Notes

[1] Voir la définition du Programme national nutrition santé (PNNS)

[2] Vitamines E et C, zinc et sélénium, bêtacarotènes.

[3] United States Departement of Agriculture, Agricultural Research Service : USDA Nutrient for Database Reference, Release 13, 1999

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 20:14

Une sélection de vidéos effectuée par David, que je remercie.

 

Cela nous fait prendre conscience de la folie du système actuel, de son non sens, et de sa finalité imparable.

 


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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 12:57

J'ai vu ça, hier soir, chez un ami... Effarant!

 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 09:53
Nouvelles censurées du Golfe

http://www.whoi.edu/cms/images/jpeg-red-tide_400_83376.jpg

 

Source : Examiner, 19 septembre 2010, Deborah Dupré, trad. NewsOfTomorrow.org

 

L’inhumanité de l’opération lancée dans le Golfe par le complexe pétrochimico-militaro-industriel (PMIC), la guerre contre les américains par l’utilisation de son dispersant, arme chimique de destruction massive fabriquée aux Etats-Unis, devient plus claire chaque jour. L’un des derniers rapports fait état de communautés entières atteintes d’hémorragies internes en Louisiane.


Dans une interview de Dahr Jamail par Intel Hub Radio le 17 septembre 2010, Jamail a déclaré que "tous les jours le long du Golfe, d’énormes catastrophes se produisent et l’impact sur l’homme - les éruptions cutanées et autres répercussions liées aux dispersants - deviennent monnaie courante."

 

http://1.bp.blogspot.com/_DnmjuQRMFfc/TBsS3bKWgFI/AAAAAAAACUg/vRSrAfbnFlg/s1600/bpgas_dees.jpg


Jamail a déclaré que des communautés entières en Lousiane du sud, "vomissent du sang et rejetaient du sang dans leurs selles."


"Les gens sont très très malades. La situation ici est très très grave."


Dans une interview récente des Médecins aux pieds nus du Golfe, Delia LaBarre a déclaré, "Nous devons le faire savoir au monde."


Selon LaBarre, un soutien urgent est demandé par les Médecins aux pieds nus du Golfe pour aider à la distribution des Kits de Survie à la Toxicité, qui sont par ailleurs débordés de demandes d’aide à la survie.


L’armée et l’Agence de protection de l’environnement (EPA) travaillaient sur les dispersants depuis des dizaines d’années. On ne peut pas l’attribuer à la négligence.


Le 12 juillet, Dupre rapporta, "Une guerre chimique contre les américains dans la région du Golfe et au-delà a été planifiée et étudiée par l’EPA, le Département de la Défense et les compagnies pétrochimiques depuis des dizaines d’années selon des documents du gouvernement." (Voir : Nouvelles censurées du Golfe à propos du dispersant : Acte de guerre (Partie II) L’art de la guerre chimique. Examiner)


"Il est tragiquement naïf de penser que la pulvérisation aérienne de ces pesticides dans le Golfe s’arrêtera avant la fin de la mission. L’Agence principale pouvant mettre fin au génocide, l’Agence présentée comme l’antenne du gouvernement protégeant le public et l’environnement, l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA), a collaboré avec des fabricants de produits chimiques et avec le Département de la Défense (DoD) depuis des dizaines d’années plutôt que de protéger le public de leur plan d’extermination. Cette collaboration s’est intensifiée durant l’administration Bush, ses fruits apparaissent finalement au grand jour dans l’opération d’Obama dans le Golfe."


Plus tôt durant l’opération, Hugh Kaufman, un conseiller et whistleblower de l’EPA, a affirmé que des millions de gens seront atteints d’hémorragies internes car "c’est ce que le Corexit est censé faire." (Voir ; Dupre, Nouvelles censurés du Golfe : Les gens ont des hémorragies internes, des millions de personnes empoisonnées selon un whistleblower de l’EPA’)


Le PMIC a continué de pulvériser le poison ce mois-ci.


Ce traitement inhumain des américains est intentionnel.


Selon Griffith, ces actions font partie de l’Agenda 21, qui comprend le relogement, la prise de possession des terres, le contrôle total des survivants et le dépeuplement.


"L’empoisonnement aérien délibéré des américains avec une arme chimique de destruction massive, maintenant évident dans le Golfe du Mexique et dans les régions côtières, n’est pas seulement un acte de guerre contre la population américaine. Comme l’eau et l’air empoisonné va faire le tour de la planète, cette opération présente un risque de sécurité nationale pour les pays de par le monde." (Dupre, 12 juillet)

 

Toute l'interview de Dahr Jamail: http://www.youtube.com/watch?v=1Dd9NyeRgVo&feature=related
More videos: http://www.youtube.com/watch?v=85EE7u6ja6g&feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=GwBYbAi8gbc&feature=player_embedded

 

Photo: http://www.whoi.edu/

 

http://www.newsoftomorrow.org

More links here: http://www.floridaoilspilllaw.com/reporter-entire-communities-theyre-vomiting-blood-very-very-serious-situation-video

http://www.floridaoilspilllaw.com/reports-deadly-flesh-eating-bacteria-gulf-only-touching-seafood-having-feet-water-video

 

Dossier marée noire de BP

http://2.bp.blogspot.com/_gfVSzRokjJE/SNyitQMOZBI/AAAAAAAABT0/8W-VFGLStsM/s400/Oil.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://www.internationalnews.fr/article-maree-noire-de-bp-des-communautes-entieres-vomissent-du-sang-58046476.html

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 05:16
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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 18:44

1!....

 

Les blogs d'information avaient raison sur la Grippe A, c'est officiel.

 

Par Cyriel Martin

 

Six mois de travail, quarante-six personnes auditionnées, des déplacements aux quatre coins de l'Europe... Les vingt sénateurs de l'opposition et de la majorité qui planchaient sur le rôle des industries pharmaceutiques dans la gestion de l'épidémie de grippe A sont venus à bout de leur enquête. Leurs conclusions, qu'ils présentent ce jeudi et que Le Point.fr révèle en exclusivité, sont accablantes. Si l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est accusée d'avoir surestimé la menace, la France est soupçonnée au mieux d'incompétence, au pire de conflit d'intérêts.

Les sages du palais du Luxembourg ont passé au crible les contrats signés entre l'État français et les différents groupes pharmaceutiques. Il s'agit des fameuses 94 millions de doses commandées en catastrophe par Roselyne Bachelot à partir d'avril 2009 et dont la facture avoisinerait les 670 millions d'euros. "L'ensemble de ces contrats se caractérise par leur remarquable déséquilibre et par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses", écrivent les sénateurs sans détour. Et de détailler les reproches.

 

 

"Doublement automatique des commandes"

L'État s'est, par exemple, plié aux exigences des laboratoires sur des "commandes fermes et non révisables". Cela aurait pourtant permis de diviser par deux les commandes de vaccins dès lors qu'il s'avérait qu'une dose par personne suffisait au lieu de deux. Une clause que la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, auditionnée par la commission d'enquête, a justifiée en ces termes : "Les industriels ont besoin de visibilité pour leur production." Et les auteurs du rapport d'écrire, non sans ironie : "Les producteurs, dans quelque secteur que ce soit, sont rarement assurés par avance du volume de leurs ventes"...

D'autant qu'une subtilité sémantique aux conséquences spectaculaires s'est glissée dans certains des contrats. Alors qu'en 2005, lors de la grippe aviaire H5N1, les commandes de vaccins avaient été passées en termes de "traitements" (pouvant contenir plusieurs doses), cette fois-ci, l'État a commandé des "doses". Pourtant, "le schéma de vaccination contre la grippe A était aussi incertain que l'était en 2005 celui de la vaccination H5N1", assurent les sénateurs, qui assènent : "L'administration ne semble pas s'être émue de ce doublement automatique du montant des commandes.

 

"

Une confidentialité abusive

Lors de la signature de ces contrats, d'autres "petites lignes" semblent avoir mystérieusement échappé aux autorités françaises. Ainsi, l'État a accepté d'endosser la responsabilité de la réparation des dommages subis par les victimes d'accidents pharmaceutiques. Alors qu'en droit français, c'est le labo qui doit assumer cette charge. "Considérant les conséquences exceptionnelles qui caractérisent l'objet du présent marché, l'État s'engage à garantir le titulaire contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire", peut-on lire dans le contrat signé avec Novartis. Lors des négociations avec les laboratoires, Roselyne Bachelot s'était élevée contre cette "clause scélérate" qui, pourtant, figure bien sur tous les contrats.

Autant d'erreurs qui auraient pu être repérées si les contrats avaient été transparents. Mais il aura fallu attendre une enquête du Point, en octobre 2009, pour que la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada) oblige le ministère de la Santé à rendre publics des documents estampillés "confidentiels", au nom de la "protection des intérêts essentiels de l'État". "Il est difficile de comprendre pourquoi les gouvernements européens ont accepté cette exigence de confidentialité, qui semblait peu compatible avec le droit à l'information des citoyens", dénoncent les sénateurs dans leur rapport.

 

 

L'expertise sanitaire française écornée

C'est toute l'expertise sanitaire française que la commission d'enquête écorne dans son rapport, plus critique que celui de l'Assemblée nationale, rendu public le 13 juillet dernier. "Très forte surestimation de la gravité de la pandémie par les experts", "estimation du nombre de personnes qui souhaiteraient se faire vacciner conduite dans des conditions scientifiquement discutables"... Les sénateurs se disent "frappés" par "l'absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée". Et d'enfoncer le clou : "Les modèles utilisés n'ont en effet pas envisagé l'hypothèse selon laquelle le virus A pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière." Au final, l'Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu'à 96.000 morts en France, alors qu'on en a dénombré 312.

Les sénateurs préconisent donc "d'améliorer la modélisation mathématique des problématiques sanitaires". Pour lever tout soupçon sur la probité des experts, les élus proposent également un "fichier national des contrats entre l'industrie pharmaceutique et les médecins". Les parlementaires estiment que "la pandémie de grippe A a été l'occasion d'une remise en cause sévère de l'expertise publique dans l'opinion en raison des liens d'intérêt de la majorité des experts avec l'industrie pharmaceutique", tout en précisant n'avoir trouvé aucune preuve appuyant ces craintes. Et le rapport de conclure de manière implacable : "Ces soupçons sont particulièrement dommageables tant pour l'expertise elle-même que pour les décisions publiques qu'elle contribue à définir." Et c'est bien là le plus grave.


Cliquez ici pour consulter en exclusivité le rapport d'enquête du Sénat sur la grippe A

 

Le Point

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