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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 10:53

Cet animal rare, libre et sauvage, et sans aucun prédateur est le roi de nos forêts. Son territoire, quatre vingt dix sept pour cent du territoire français, rien que ça, mais en fait, surtout les forêts. Il entre actuellement en sa période d’appel à la reproduction et l’idée d’aller l’écouter dans la nuit ramène à sa modeste condition tous les humains les moins mégalomanes. Ceux qui le sont encore plus comparent, hautains, ce cri de défi dans la nuit à une puissante motocross du genre de celle qu’ils maitrisent en partie. Par comparaison, un moteur de camion fait douze litres de cylindrée et à mille tours déploie un volume important mais assourdi par un silencieux conséquent. Chez le cerf, point de silencieux. C’est bien simple, le son dont j’ai trouvé qu’il s’approche le plus de l’animal en rut est la Porsche trois litre Carréra, voire le Caterpillar de deux cent chevaux, c’est vous dire la puissance, et surtout l’image.

Son moteur, la plèvre, cette membrane pliée à l’intérieur de ses poumons, ses cordes vocales de plus de dix centimètres, son diaphragme tendu comme le filet d’une catapulte, son ventre qui se vide, se recroqueville et pousse sur son périnée qui lui étreint la verge en quête d’une ovule.

La membrane intérieure couvre une surface de près de quatre vingt mètres carré, huit sur dix, c’est à dire que ses poumons déployés auraient un volume total de près de trente mètres cubes ou trente mille litres, dix fois la cuve à fuel. Même si elle est pliée, cette capacité détermine la résonance dont il se sert fièrement pour épater, effrayer, voire, épouvanter ses semblables. Son geste pneumonique est équivalent à celui que pratique pour sa survie, celui qui s’est enfouie la tête sous l’eau quelques dizaines de secondes jusqu’au point critique ou s’impose le besoin imminent de la dose d’oxygène. En ressortant de l’eau, sa bouche s’ouvre brutalement et admet immédiatement dans un râle impressionnant le volume suffisant à reprendre lumière. Le râle est dû à la contraction des cordes vocales qui vibrent et répercutent comme une trompe dans le vide de sa cage thoracique. Si vous n’avez jamais fait cette expérience, vous pouvez passer la tête dans une cuve de cave à vin vide, d’un volume équivalent, et pousser un petit cri sans prétention. Ce son qui en plein air s’éloigne à l’horizon et disparaît de suite, mat, creux, dans un espace clos devient immédiatement répétitif et à l’écho impressionnant. Le son qui parcours trois cent mètres à la seconde dans un espace clos vous agresse cent fois et toujours tout droit. C’est l’effet d’une bombe, et à devenir fou.

Les plus téméraires des humains mériteraient d’aller se frotter, seuls et en pleine nuit, à cette force de la nature dans son milieu sauvage, et à l’heure du rut. L’animal en combat pour appeler femelle, n’a pas de coupé sport, ni de Rolex au bras. Il fait résonner les ondes par le sol de toute la forêt sans aucun mégaphone. Vous ne me croyez pas, allez y vous verrez, vous entendrez le son vous monter par les pieds. Les femelles effrayées se regroupent vers lui et sont si affolées que leur organe aussi subit une détente et l’appel du ventre est prêt à partager. La portée du brame peut être entendu sur plus de dix secondes, dans les vallées profondes, ce qui fait au bas mot qu’il discutent entre eux jusqu’à trois kilomètres. Se sentant défiés les grands mâles se rapprochent, se comparent, s’évaluent et enfin se percutent de leurs puissants pare-chocs. Ces cornes qui leur poussent dans l’année, qu’ils vont perdre en février, sont faites de la même matière approximativement que vos ongles mesdames, sauf qu’elles pèsent jusqu’à cinq kilos. Quand enfin ils se battent, tous ces bois qui se claquent sont tout aussi impressionnants. Le vainqueur au matin ayant repoussé tous ses rivaux se trouve entouré des plus belles gazelles et dans une aura de phéromones positives, saute sur la première qui feint l’esquive. Le geste d’ensemencement dure au bas mot, une simple seconde, et la femelle s’enfuit, féconde.

Déjà dans les bois sombres par les nuits sans lune, faites cette expérience seul. Engagez vous dans un chemin sur cinquante mètres en plein bois, garez vous, éteignez tout et descendez de voiture. Posez vous contre le capot avant et après deux ou cinq minutes à vous habituer, faites cinquante pas en avant dans l’exacte direction que montraient vos lumières allumées...vous n’y arriverez pas. En période de brame, c’est encore pire, malgré l’absence totale de danger l’animal n’ayant qu’un seul but de chasse, vous n’oserez pas lâcher votre poignée de porte, tellement le noir est pur et le silence angoissant entrecoupé de cris monstrueux répercutés par l’écran noir du bois. La saison des amours dure un bon mois et est bien commencée. Je vous souhaite un bon dimanche plein d’émotions.


Source


Retrouvez les textes de Lisa Sion ICI

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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 17:28

L’hommanimal, à l’état serein, utilise cinq pour cent des capacités de son cerveau dans ses activités rituelles quotidiennes. Seule, une alarme occasionnée par la détection d’un danger extérieur quelconque, ou la présence d’un élément étranger interne, déclenche le processus d’alerte généralisée, caractérisée par la fin de la veille ordinaire. Celle-ci, en fonction de la menace, déploie les quatre vingt quinze autres facteurs endormis, mais instinctivement disponibles au secours de la vie.


 

Pourquoi vous recommande-t-on de rencontrer votre pharmacien avec votre collecte, parce qu’il connait très bien les champignons et leurs différents poisons, pour la bonne raison qu’il utilise ces molécules complexes, à infimes doses dans certains de ses médicaments. En effet, comme vous vous pincez très fort la cuisse pour oublier l’effet d’un coup douloureux sur la tête, lui, vous inocule une fine dose de ce poison vénéneux, par intra-veineuse ou simple cachet, afin de réveiller votre organisme et les facteurs cérébraux endormis. Ils entrent alors en alerte interne intense et s’engagent en lutte intestine contre les deux maux d’un coup, l’intrus à l’origine du malaise et le médicament catalyseur. Simple.


Tout irait pour le mieux pour tout le monde s’ils n’oubliaient pas leurs seringues en partant, mais la consignaient bien dans des emballages prévus dans les officines et les hôpitaux...qui, eux, les rejettent en vrac dans les décharges publiques, alors qu’ils peuvent les recycler ou les nettoyer par ultra son et UHT. Evidemment, ce geste inconscient ou prémédité contamine les futurs clients de ces marchands de poisons, et favorisent la contamination par l’émergence d’une certaine forme de drogue civile, et de maladies transmissibles.

En effet, celui qui s’est sorti indemne d’une chute mortelle, a sûrement connu un moment T où le cerveau moteur a répondu présent en une étincelle pour accorder tous ses organes à adopter ensemble, instinctivement, le geste bienvenu qui l’a détourné de l’obstacle ou du trou au fond duquel il se serait fracassé. Cet instant T correspond au facteur 1OO % du réveil cérébral qui commande le geste salvateur. Dans certains cas révélés par ceux qui ont connu cette prise de risque, sentant son dernier instant venir, le cerveau déroule en une fraction de seconde le défilement complet de la vie du sujet et refait le circuit inverse de toutes les connexions synapsiques enregistrées depuis sa naissance, et cela, en un flash.

Le sport à haut niveau peut entrainer un mécanisme d’addiction aux drogues puisqu’il fait appel à toutes les capacités corporelles et cérébrales réunies dans un effort constant et soutenu, déclenchant les salves d’adrénalines et autre molécules jouissives, générées par le cerveau lui-même. La première fois que l’on franchit les deux mètres en saut à ski, on en ressent une joie intense d’avoir d’abord dominé sa peur, et ensuite repoussé plus loin le curseur de l’idée de danger.


Des décoctions de plantes naturelles permettent de ne plus ressentir la fatigue ni la peur, comme en anesthésiant la sensibilité nerveuse, et autorisent à des prises de dangers intensifs, tels des vitesses hors limites sur des descentes de bosses aléatoires. Dans un moment T pareil, le cerveau moteur calcule la trajectoire optimale en analysant le terrain bousculé avec les yeux, à pleine vitesse, tracant une ligne en courbes trois bosses plus loin, fixant la trajectoire quinze mètres plus loin, que l’ensemble des autres organes suit à dix centimètres près. Quinze mètres secondes, dans un champs de bosse de fin de saison, c’est palpitant.

Seulement, la première fois est la première fois. Le curseur cérébral extrême, atteint dans cet exercice, verrouille et sclérose très vite, et jamais plus le cerveau n’acceptera la même alerte. Il faudra augmenter la dose pour atteindre un degré, néanmoins moindre, de bien-être. Le souvenir d’une telle décharge intérieure de molécules jouissives, de lumière dans la nuit, de 1OO % moi, restera un souvenir éternel. En effet, la mémoire est motrice d’habitude qui tue et réduit à peau de chagrin l’effet tout en augmentant toujours plus la dose pour essayer de l’atteindre en vain, car le cerveau a juste besoin de renouveau constant et d’auto-nourriture pour s’extasier, sans exstazy !


C’est la recherche permanente de ce souvenir qui devient le moteur des actes du drogué, et seul le champion sportif voit ses efforts d’entrainements quotidiens couronnés par ce petit centimètre en plus. Les millions d’outsiders, en espérant toujours l’atteindre, ne cessent de multiplier les doses ou changent de produit.

Les plus naturels étant les plus rares, et ne circulant que dans les milieux sportifs autorisés, les dealers et les jet-setters, ou chez les petits producteurs privés, ne reste donc disponible sur le marché populaire et parallèle que les moins bons qui se dégradent progressivement jusqu’au pire de tous, produits d’entretien chimiques, en vente dans les grandes surfaces. Seuls les petits producteurs privés échappent à ce trafic mondial de poisons publics et paradoxalement, sont souvent les plus incriminés.


les fanatiques du sport à là télé entrent dans l’aspirale infernale des matières aux noms semblables à ceux dont parlent les infos du soir, et suivent la mode en mouvement. Mais sous les appellations semblables se cachent des produits bien différents, et sous la même forme de poudre blanche ou rose qui se sniffe, se cachent souvent de simple cachets d’aspirine ou autres, mais simplement pilés. Encore une fois, la pharmacie intervient de façon indirecte dans cette dégradation sociale, et si elle est distributrice de produits servant à éteindre des feux, elle participe pourtant, de manière indirecte, à les allumer.


depuis quarante ans j’entends la même rengaine, plus le temps passe, plus les poisons sont violents, moins l’Etat ne trouve de solutions, plus les mafias en profitent, plus les sectes s’installent, plus notre jeunesse en bave, et toujours pas l’once d’une voie salutaire à l’horizon. Ce sont ceux qui n’y connaissent rien sur le sujet qui ont la parole et prennent les décisions. Résultat, elles vont à l’encontre des souhaits exprimés, et les effets néfastes sont de plus en plus graves. L’éternel même débat s’engage régulièrement dans des commissions d’Etat, dans des émissions télévisées, depuis des décennies et toujours rien de concret. Pendant ce temps là, on voit des stars qui vont, avec un rail de coke dans le nez, saluer Ingrid Betancourt dans son noble combat contre la corruption et le trafic de drogue mondiale issue de Colombie. Pendant ce temps là, la musique pauvre envahit la scène musicale en plein air au point que pour la supporter, il faut au moins une surdose d’exstazy et autres cochonneries issues parfois directement de la pharmacie du coin, cet empoisonneur légal...


Ce sont les mêmes dominants mercantiles et législateurs initiés qui interdisent la production autonome personnelle de végétations naturelles, et ainsi, génèrent le trafic mondial de poisons artificiels, et la résurgence de solutions parallèles nuisibles dont ils profitent sur le long terme.

 

Lisa Sion

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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 20:16
Un article très interessant de Gilles, notre célèbre Lisa Sion...

36/15 Ulla, et O892.69.69.69, pour ne prendre que ces exemples, sont les deux mamelles de la transe. Comme un virus contagieux, ces portes ouvertes aux maisons closes interdites par la loi, se sont retournées vers les nouveaux modes de communication modernes et ont fleuri sur tous les supports. Ces deux réseaux, au départ administratifs, informatifs ou commerciaux, se sont pliés sous le joug du racolage à caractère clairement sexuel, et ont accumulé les plus forts taux de connexion devenus vite incontournables. Tapez au hasard, n’importe quel des numéro spéciaux O892..., vous n’avez plus qu’à demander Natacha, avocate aux barreaux du lit...

Qui ne se souvient pas du plus célèbre 36/15, relayé dans le Paf par des émissions « société », où était invitée la plus célèbre représentante du sujet, et qui s’est vu imprimé sur des millions de journaux gratuits au centre d’une page entière spécialisée ? Quel est le plus célèbre numéro vert gratuit, mais ensuite repeint en rose payant plein pot (3fr la mn), en remorque d’un réseau au départ administratif et devenu coquin, à tel point qu’il est sûr maintenant, que le semi a fait un tête à queue. Quel est ce commerce de chair qui investit les organes de communications de toutes sortes et qui finit par reléguer son usage d’origine, à de simples portes-drapeaux pour fil à lingerie fine ?


Cet excellent sketch qui fera moins rire les innocents piégés, mais qui est un modèle du genre, témoigne des nombreux méandres qui se cachent derrière le serpent du vice caché, mais là, c’est le client qui se mord la queue. C’est bien simple, l’administratif était au 12, gratuit d’une cabine téléphonique, ce que le compliqué est au 118, c’est vous dire la proportion de l’embrouillamini.

A qui donc profite ce juteux marché, à la femme libérée de l’enfer de sa cuisine, mais devenue aujourd’hui, lavandière à mi-temps, et son souteneur technicien installateur en télécommunication. Le plus moderne réseau de communication au service du plus vieux métier du monde fait des petits. Ces juteux marchés ont financé l’essor de la prostitution mondiale avec le vibrant secours de la mode et ses castings souvent prometteurs, et de la presse pipole.


Ces réseaux entrelacés ont donné naissance à la plus puissante Industrie_du_sexe, dont les plus célèbres actrices sont élevées au rang de « Stars ». Mais, pour une célébrité et quelques autres escort-girls, travaillant à domicile dans les plus chics appartements des beaux quartiers, ou les derniers étages des hôtels qui entourent le parlement européen, combien de petits papillons se font brûler les ailes sur les torches de la renommée


Berlusconi n’a-t-il pas dit, lui même, à une étudiante qui lui évoquait ses inquiétudes sur l’avenir : « vous n’avez qu’à vous marier avec un millionnaire. » Sur ce conseil noble, les jeunes filles italiennes qui réussissent leur Bac, demandent à leurs parents prêts à les récompenser, une opération chirurgicale d’ajout d’implants mammaires. La Mafia se réjouit de cette mode puisqu’elle règne sur les cliniques privées italiennes, et la nouvelle réforme de l’hôpital en France en prend le chemin. La médecine tourne étrangement et avec insistance autour des organes sexuels féminins, par une tentative de dépistage du cancer de l’utérus des jeunes filles dès l’age de treize ans, mais la méthode n’est pas nouvelle. Ces réformes à-tout-va des institutions françaises sont menées au profit des instances mondiales, et par la pression des lobbies sur les parlementaires.


La dernière du genre, la loi sur les droits d’auteurs, n’est curieusement pas défendue corps et armes, par nos chanteurs nationaux. On entend très peu les principaux concernés, et personne, à part Souchon, n’a composé le retentissant pamphlet revendicateur comme savaient le faire brillamment, bien des râleurs ou défenseurs de la liberté de penser...Alors, qui donc a le plus à craindre qu’un acheteur d’un produit du marché spécialisé, le diffuse dès le lendemain gratuitement sur la toile où désormais tout s’échange ? Quel est le diffuseur parallèle, n’ayant qu’un réseau de points de vente confidentiel, qui ne diffuse que des produits vendus sous le manteau, impossibles à vulgariser en grande surface, et que l’on trouve à foison sur la toile ? Qui a le plus à perdre quand ses produits circulent gratuitement sur les supports numériques, derrière la barrière du contrôle parental, malgré toutes les tentatives de recyclage apportées par des émissions télévisées de fins de soirée, et qui ne se plaint pas ouvertement sur les médias informatifs ?


C’est l’industrie du sexe qui a le plus à perdre de l’ouverture offerte par Internet, et il n’est pas surprenant que nos législateurs ne l’aient pas décrypté. Le haut du panier des artistes commerçants, en mal d’inspiration, amis du président, voient leur vieux tubes s’user. Les jeunes peuvent profiter de la publicité que leur musique inspire et la nouveauté, est qu’ils-peuvent-tous-etre-producteurs.


Nos législateurs, non content de ne pas s’attaquer à la racine du problème par une répression soutenue en cryptant les dossiers reconnus sales, et en poursuivant les contaminateurs de cet art mineur et stérile qu’est devenue la pornographie, baissent leur culotte et se retournent contre les petits contrevenants en les pénalisant. La priorité ne semble pas être cette proposition-de-loi-sur-l-inceste qui a failli être repoussée aux calendes grecques, et c’est l’absence de législation sur la première qui entraîne la dérive directe de la seconde. La loi Hadopi n’est peut-être donc, qu’un tapis rouge, pour la mafia du sexe ( et du tapis vert ) qui ne dit pas son nom.

Agoravox

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 05:38

Un article du 2 septembre 1950, extrait du plus célèbre hebdomadaire people de l’époque, Paris Match, numéro 76, vendu cinquante francs, et voici ce que j’en ai extrait des trois doubles pages.

Deux millions de morts : c’est le tribut que le monde

paie chaque année au cancer. Voici, traduit de la langue

des savants dans le langage de tout le monde, ce qu’en

savent aujourd’hui ceux qui se sont promis de l’abattre.

... « De toutes les maladies que la médecine n’a pas encore vaincues, le cancer est assurément la plus mystérieuse. Tout ce qui concerne le cancer est du domaine du paradoxe. En 1900, la proportion des décès dûs au cancer et autres tumeurs était, aux Etats Unis de 3,7%. En 1946, elle était de 13,5%. Autrement dit, à mesure que les médecins s’efforcent de contenir la maladie, celle-çi semble étendre son champs d’action. »... ...« Que sait-on de sa nature réelle ? A peu près rien, du moins rien de certain. Dans ce cas, comment peut-on espérer la guérir ? De la même façon qu’on guérit la pneumonie par la pénicéline, c’est à dire sans savoir exactement comment s’opère cette guérison. De même, on ignore les mécanismes exact du diabète ? On combat l’anémie pernicieuse avec de l’extrait de foie bien qu’on ne sache pas au juste ce qu’est l’anémie pernicieuse.  » 

A l’entête de la page suivante, en majuscule souligné :

 

SUR LA VOIE DE LA GUERISON LA PLUS RECENTE ETAPE, LA DERNIERE PEUT ETRE : LES HORMONES.
 

La punaise auxiliaire de l’alchimie moderne

« ... Les expériences menées à partir de l’un des acides, l’acide nucléide désxyribrose ( plus communément appelé D.N.A.) _ que l’on trouve dans les chromosomes du noyau de toutes toutes les sortes de cellules connues_ ont donné des résultats assez extraordinaire. En présence du D.N.A., un groupe de chercheurs de l’Institut Rockfeller a réussi à transformer un type de micro-organisme de punaise en un autre type de micro-organisme du même insecte. C’est plus que n’en révaient les alchimistes d’autrefois. On peut se faire une idée de l’importance de ce résultat si l’on songe que, par rapport au micro-organisme, cette expérience équivaudrait, à l’échelle du chien, à la transformation d’un épagneul en berger allemand, et ceci, par une simple opération chimique... » « ...On pourrait, par des moyens artificiels, c’est à dire en utilisant des substances chimiques, arrêter l’évolution anormale et réorienter la croissance et la différenciation des cellules vers la normale. Mais, pour le moment, ce n’est pas là qu’une hypothèse de travail. Supposé qu’elle se vérifie un jour, il reste d’ici là beaucoup d’expériences à tenter et à réussir.... » « ...Il a peut-être été démontré, par le docteur Albert Tannenbaum, de Chicago, que s’il y avait moins d’obèses parmi les humains, le cancer y ferait moins de ravages... » « ... Toutefois, on admet aujourd’hui qu’il paraît y avoir un rapport ( qu’on na d’ailleurs pas pu préciser ) entre le cancer et les brûlures profondes, l’action prolongée de l’arsenic, certaines formes d’inflammation chronique. Il a été également reconnu que l’exposition médicinale aux rayons X et au radium a déterminé chez certains malades irradiés ( cependant, autant que l’on sache, l’examen des poumons ou d’autres organes au moyen des rayons X ne présente pas de danger, ou très peu... »

L’ypérite a fourni un remède de plus

« ...Quand pour une maladie, il existe de nombreux traitements, il est à peu près certain qu’aucun de ces traitements n’atteint le degré d’efficacité souhaitable. Cette constatation s’applique plus au cancer, pour lequel il existe des quantités de remèdes, qu’à n’importe quelle autre maladie. Le Dr Woglom, de Columbia, a énuméré parmi les plus anciens : la soupe aux crabes ( cancer est un mot latin signifiant : crabe ), les purgations, les emplâtres, la terre de pipe, l’argent, l’or, le mercure, le froid, le cuivre, le phosphore, l’arsenic, l’électricité, les feuilles de violette, les crapauds, les venins de serpent et bien d’autres encore... » « ...Parmi les traitements en usage aujourd’hui, il faut citer certaines substances radioactives ( au sujet desquelles il est prématuré de faire des conclusions ), des hormones, des composés antagonistes de l’acide follique et des chlorates de méthylamine. Mais aucun de ces remèdes n’est considéré comme un moyen de guérison. Ils peuvent avoir un effet momentané sur la maladie, ils ne peuvent pas la stopper définitivement. C’est également le cas de la « moutarde à l’azote », découverte par les Français avant la guerre, puis synthétisés par les Allemands et les Américains.... » « ...Les Américains étaient au courant des travaux des Allemands sur les gaz asphyxiants et, en particulier, sur une nouvelle forme de l’ypérite. De peur que les nazis ne l’utilisent, ils entreprirent d’intenses recherches sur cette substance dans l’espoir de lui découvrir un antidote. Ces recherches aboutirent à la découverte de « Nitrogen mustard » ( moutarde à l’azote ), Substance d’une importance capitale dans la lutte contre le cancer. En effet, dans certains cas, elle exerce une action remarquable sur la cellule cancéreuse. Mais, cette action n’est que temporaire. Autrement dit, même si la « moutarde à l’azote » est aujourd’hui l’un des principaux remèdes du cancer, elle n’est pas « le » remède... » 

 

A l’entête de la suivante. 

 

LA PREMIERE BATAILLE, CELLE DU DIAGNOSTIC EST GAGNEE

 

L’estomac est l’organe le plus exposé

 

... « Malheureusement, lorsque ces symptomes se présentent, à supposer qu’ils décèlent effectivement la présence d’un cancer, souvent il est déjà trop tard, sinon trop tard pour l ’intervention chirurgicale ou les rayons. C’est pourquoi les médecins sont préoccupés de trouver des tests capables de donner des indications sur la maladie avant même l’apparition des symptomes. D’ores et déjà, ils en ont trouvé, de plus ou moins sûrs, de plus ou moins compliqués. Un des succès les plus remarquables que l’on ait enregistré, ces dernières années, est dû aux recherches du Dr Papanicolaou, de New York, sur le cancer de l’utérus. Dans les pertes utérines d’une cancéreuse, ce médecin avait remarqué la présence de cellules affectant des formes bizarres. Il acquit la certitude qu’il s’agissait de cellules cancéreuses. Cela signifiait-il que le cancer de l’utérus perdait des cellules ? Si oui, il suffisait d’examiner les pertes utérines de n’importe quelle femme, pour savoir si elle avait ou non un cancer de l’utérus. Papanicolaou travailla pendant quinze ans avant de communiquer sa découverte. D’abord, il prouva que dans tous les cas de cancer de l’utérus, le même phénomène se produisait. Puis il appliqua son test. Sur 5261 femmes examinées, 317 s’avérèrent atteintes. Le test Papanicolaou permit d’en dépister 69 sur lesquelles les autres méthodes n’avaient donné aucune indication. Par contre, il échoua sur 37 autres qu’il ne put dépister. L’épreuve n’en était pas moins satisfaisante, le coéfficient d’erreur ne fut finalement que de 13 %...  »

Le test électrique prédit la maladie

« ...Le docteur Burr démontrait qu’une cellule normale en train de croître possède une certaine électricité et cette charge est différente quand il s’agit d’une cellule cancéreuse. Ses expériences, faites sur des souris, lui réservait une grosse surprise.

A plusieurs reprises, certaines souris jugées parfaitement saines présentèrent les mêmes effets électriques que des souris atteintes de tumeurs. Burr vit des tumeurs se développer chez les souris saines qui paraissaient échapper à la règle. Loin d’être douteux, le procédé électrique avait prédit la naissance d’un cancer.

Burr et Langman l’appliquèrent alors à des centaines de femmes, en limitant leurs recherches, pour commencer, au cancer de la région génitale. Les résultats furent impressionnants... »

Gilles Couturier

 

 

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12 avril 2008 6 12 /04 /avril /2008 10:33

Il y a quarente ans, la jeunesse française, la première génération née après la guerre, et atteignant sa majorité, déclara son désaccord avec le système social. Son goût pour la musique planante et les festivals en plein air, dans un nuage de chanvre naturel, jusqu'au lever du jour, entraina l'âme du jeune en quète de liberté, à leviter avec le soleil du matin. 

Les Beatles, Génésis, ces musique déformatées dont certains morceaux rentrent à peine sur la galette de trente trois tours, dix neuf, vingt minutes, sortent complètement du cadre. Evidemment, aucune radio « libre » aujourd'hui, n'a jamais pris le risque de les programmer, éloignant de trop loin, le soutien publicitaire permanent dans lequel il faut absolument maintenir l'auditeur-consommateur commun. Rendez vous compte, en engageant l'un d'eux après le journal télévisé, il finit à l'heure du film...

Le pacifisme entretenu par les musiciens voyageurs entraina cette jeunesse à faire le grand saut vers l'Orient et sa sagesse légendaire. Evidemment, ceux qui en sont revenus, habillés de larges chemises en coton léger et pantalons bouffants, tatouages, percings et autres fleurs dans les cheveux, sont définitivement inadaptés aux impératifs sociaux. Mais, armés de ce respect vital entourant chaque geste de leur vie privée, ils se butérent au monde de l'industrie inhumaine et imposèrent, sans violence, toutes les règles qui permettent d'être fier de travailler.

C'est leur mouvement qui est à l'origine des textes incitant à la propreté des locaux, les vestiaires corrects, les douches et lavabos, les fleurs sur le parking, enfin, tout ce qui écarte le déshonneur et permit à la femme de s'y intégrer sans honte. Ils ont également fait reculer la tendance à « l'Etat policier », coupant les pattes, sans un mot grossier, à l'autorité cherchant à éteindre les feux dès vingt heures, à courir après les deux chevaux peintes de toutes les couleurs, à jeter un oeil inquisiteur sur tout ce qui bouge. Ce sont eux qui déstabilisent l'autorité en rigolant alors qu'ils viennent pour faire taire cette musique de dingues, parallèle et jugée aliénante. D'ailleurs, c'est celle-çi qu'on écoute aujourd'hui, accompagnant trente secondes, les messages d'information sur les excellents principes adoptés par tous ces nouveaux produits, espérant par ce biais, les réconcilier avec la consommation. Ceux-çi, soit dit en passant, n'auraient pas besoin de ce matraquage, s'ils étaient tout simplement...bons ! 

Même sans y être allé, ils ont entretenu le mythe du bouddisme qui perdure aujourd'hui chez bien des intellectuels, stars du show bizz et modes de l'habillement et de la parure.

C'est dans ce même esprit que l'on peut l'affirmer, s'il avait réussi à imposer à la Société un régime de stabilité général, en opposition avec cette croissance obligatoirement dopée d'un flux tendu dévastateur, que les jeux olympiques auraient conservé leur empreinte noble. Mais également, bien des alternatives auraient pu se développer et enrichir la palette de la concurrence et de la comparaison rendue ainsi possible. Le plus révélateur de ce totalitarisme général, et malgré les débats soutenus et l'accord accepté en final, est l'absence de la publicité comparative.
 

« cette forme de communication est autorisée en France depuis plus de dix ans par la loi du 18 janvier 1992, modifiée en 1997 à la suite de directives européennes. Le régime actuel de la publicité comparative est précisé par l’ordonnance du 23 août 2001 transposant la directive européenne de 1997.

Publicité autorisée mais surtout publicité très encadrée ! Tous les coups ne sont pas permis. La loi définit strictement les conditions de licéïté de ce type de publicité en précisant qu’elle doit être loyale, véridique et permettre une comparaison objective. »

Celle-çi hésite à s'engager, sachant que seule une justice proportionnée garantit aus petits de résister aux gros. Car, seules les entreprises les plus puissantes peuvent s'entourer de cabinets d'avocats dévorants.

En limitant les inégalités sociales, entre la ville et la campagne, les salaires et les rôles hiérarchiques, le maintien de l'ordre aurait pu enfin se limiter à un rang de discrétion, et l'on aurait vu la cérémonie de la flamme, l'organisation de la procession des sportifs olympiques vers cette réunion de tous les peuples du monde dans un noble combat pacifique et loyal...confiée aux tibétains, ces sages dominants naturels, habitant le toit du monde.


Gilles Couturier


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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 18:49

Hier soir, à une heure de grande écoute, France trois, audiovisuel public, deux millions de téléspectateurs, un français sur trente, vingt et une heures, Mireille Dumas, dans son illustrative émission, Vie privée, vie publique, a invité un certain monsieur Régis D.
 

Ce monsieur, a révélé, en une demi heure, avec preuves vidéos professionnelles à l'appui, tout ce que je cherchais à dénoncer, sur simple conviction personnelle, après trente ans d'observations, sans plus aucunes preuves, dans divers sites généralistes non encore censurés.


Ce monsieur a courageusement dénonçé ceci : 

Le métier le plus facile à exercer, aujourd'hui, sans aucun diplôme, est milicien...heu pardon, vigile. C'est à dire, qu'il n'y a pas besoin d'être intelligent, il suffit d'être costaud. Cela veut également dire que lorsque vous faites deux ans ou cinq ans d'études après le bac, vous pourrez peut-être trouver tout de suite un boulot de caissier de supermarché au smic, voire rien du tout, mais dans la plupart des cas, serez moins bien payé que notre gendarme – civil – ripoux – complice - privé.

C'est le même, qui quitte le dernier la boite de nuit et peut emmener quelques jolies filles dans sa belle voiture allemande ou italienne, les mêmes qui ont refusé de danser avec vous, ne vous ont même pas regardé. N'ayant d'yeux que pour le Dieu'd'j, et le grand malabar qui traverse la piste tranquille. Il leur semble empreint de cette martialité tempérée, elles ne comprendront que plus tard dans la nuit, quel était, ce calme qui précède la tempète. 

Mais, après tout, les femmes croient en ce D'jieu comme le papillon en sa bougie. Bien heureuses sont celles qui ne croient qu'en leur mari, et pour la vie.

Embauché pour détecter les comportements douteux des clients et surtout, du personnel, assis devant les batteries de télésurveillances de son supermarché, notre homme fit preuve d'un zèle efficace. D'un oeil vif, Il parvint à débusquer le manège, que ses collègues avaient mis au point, pour sortir en grande quantité le matériel le plus lucratif de l'établissement commercial. Il obtint donc rapidement une promotion et c'est là que commence la réelle révèlation sur les agissements qu'utilisent les grandes enseignes pour se libérer de leur contraintes légales. Notre homme exerça trois ans sans lesquels, il lui aurait été impossible de témoigner de ces faits incroyables. 

L'entreprise mit à sa disposition des matériels ultra performants, les micro-caméras ( du matériel h/f, sans fil ), posées la veille et retirées le lendemain, dans les toilettes, les vestiaires, etc...Il lui fut confiée la mission de découvrir les failles dans les discours, ou les fautes professionnelles, des anciens cadres du magasin à la limite de la retraite. Et ce, afin de définir les erreurs que ceux-çi pourraient bien commettre. Celles-çi interressent particulièrement les entreprises qui doivent remercier leurs anciens collaborateurs, de solides indemnités dûes à leur ancienneté, après vingt huit ans de bons et loyaux services. Cela peut effectivement dépasser le demi million d'euros, voire friser le million. 

Dans le cas où notre cadre serait irréprochable, notre homme a déclaré avoir reçu des directives orales de la part de ses supérieurs, voire, directement du grand patron. Il fut chargé de tendre lui-même des pièges, afin que l'heureux futur retraité puisse être licencié pour faute grave, et donc délesté de son dû, durement acquis durant son long et pénible labeur de près de trente ans de carrière. Afin d'obtenir de celui-çi la faute réelle devant témoins, il était convenu, discrètement, tacitement, d'user sur lui de harçèlement moral, jusqu'à ce qu'il vienne à craquer. 

Notre cadre en question, interviewé dans l'émission, a raconté comment, après une journée de travail, pour satisfaire les exigences de son harceleur, resta toute la nuit au boulot avant de craquer, au petit matin. C'est face à la connaissance aigüe des espions qui l'ont filmé dans sa vie privée, dans ses sorties de détente, et qui ainsi usaient de vérités susceptibles de réduire à néant tous les arguments qu'il cherchait à utiliser pour se défendre et justifier sa bonne foi. C'est pour avoir craqué et jeté l'éponge, pour avoir délaissé son emploi qu'il a pu donner raison à son employeur et partir sans rien. C'est pendant sa dépression qu'il a été soutenu par sa famille et le prud'homme qui a obtenu de la part de l'enseigne commerciale, quatre vingt mille euros. Mais, s'il a retrouvé une petite part de son dû, il n'est jamais remonté de sa profonde chute de moral. On peut tous comprendre comment, à l'âge de s'extraire du monde du travail de longue haleine, on nécessite tous de profiter de la tranquillité que l'on mérite, et comment, secoué par cette haute trahison, on n'a plus la force de se battre. 

Quant à notre homme, notre joyeux délateur, large et carré, le sourire de Jocond, le regard fin et pointu, il a, bien sûr, quitté le métier pour se faire une nouvelle carrière de masseur à domicile...

Dans la même émission, on a pu apprendre comment, le «  fiancé « , de la première Miss France a avoir été touchée par des photos intimes, sensées être vendues à une revue de mode, s'est grassement enrichi en les vendant à la célèbre revue américaine de nu pornographique. C'est la même histoire qui est arrivée à Laure Manaudou, que son «  amoureux «  italien a trahi...

Evidemment, toutes ces histoires sont bien plus tristes que les séries américaines où le noble héros réduit à néant tous les prétendants à la belle princesse et la marie, pour la vie...Mais elles sont vraies et arrivent tous les jours autour de chacun d'entre nous. Un tel témoignage pardonne de moitié son auteur, ayant ainsi délivré sa conscience du pire des malheurs. Car, en effet, observer sans dénoncer, c'est s'assurer d'entretenir son cancer mental, le plus contagieux, et qu'aucun docteur ne pourra jamais soigner...

à votre place !

Gilles Couturier.

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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 09:25
La décision du gouvernement pour la fermeture des 262 triages français « libère » ( façon de parler ), en une signature, près de QUINZE MILLE HECTARES, ( UN KILOMETRE SUR CENT CINQUANTE KILOMETRES !), à quelques centaines de mètres du centre de toutes les principales villes françaises.
 ac033l0107.jpg

Seulement, bien avant cette décision, le triage de Vaires sur Marne ( est parisien ) a cédé un dixième de sa surface qui a vu éclore, je vous le donne en mille...des géants du commercial, des ronds points effarants, des quatre voies inutiles et du batiment de masse. Nul doute qu’aucun effort pour l’environnement n’a été respecté dans cette réabilitation de surfaces disponibles, il est probable que le programme de bétonnage actif soit déjà engagé sur le papier et que peut-être aujourd’hui sont déjà dressés les plans de consommation massive qu’on nous imposera.

 

Vous avez tous, vous, lecteurs de ce site, un lieu tel près de chez vous. Alors, si l’on ne peut pas faire grand chose de chez nous contre la désertification du Brésil, si nous ne sommes pas directement responsable de la prédation sur ce pays, il en est tout autrement sous nos fenêtres...

On peut observer sur Google map la partie nord et ouest de ce triage et imaginer les dégats qui restent à construire.

 

Un seul homme, à lui seul, a poussé devant la justice le géant d’Epamarne ( Organisme de bétonnage infernal de Marne la Vallée ) et pu faire reculer des projets gigantesque de destruction de champs, bois et préserver ainsi un poumon de verdure entre Torcy et Lagny sur Marne. Cet organisme de poids engageait des réalisations sans permis de construire et usait d'appuis pour faire passer des décrets au journal officiel en plein mois d'aout.

 

Je n'ai pas précisément chiffré un tel dossier, mais je perçois déjà la mesure des profits. soyez vigilants, amitiés à tous.

 

Cent cinquante kilomètres X vingt cinq voies X 2rails X 80 kilos le mètre ,X00.000 tonnes d'acier. pour la Chine...peut être ?

Gilles Couturier

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:21
Professeur, HOURRA!
Nous avons découvert une planète habitée!


Calmez vous les petits,
Je sais ce que c’est…
Cela m’est déjà arrivé!


Non Professeur, GARANTI!
Le spectre des couleurs indique des températures proches de zéro.
On aperçoit des villes polluées,
des autoroutes surchargées,
Des nuages.


Bien les jeunes, alors:
Repérez ses coordonnées et nommez la…
J’ARRIVE!


Le professeur entre,
Un demi sourire aux lèvres,
Se penche sur l’écran carré d’un mètre de côté,
Et demande;

Quelle échelle?

Environ mille kilomètres, professeur!

Bien.
Après une courte réflexion, il déclare:

Voulez vous noter le compte rendu.

On aperçoit près d’une centaine de volcans de toutes tailles
Les trois plus importants peuvent être classés P…L…M…
Sur l’échelle Riche Terre.
Chacun est apparemment actif, émet des fumées diffuses
Et donne naissance à des faisceaux de coulées de lave incandescente.
Dont la plus importante traverse tout l’écran vers le bas…
On peut observer une formidable activité de type côtière..

Désolé de vous décevoir,
Mais à votre place,
Je l’appellerais

ENFER!


Mais puisqu’elle vous appartient…

Il nous semble qu’aux confins de l’Univers,
Se trouvait peut-être un miroir dans lequel nous étions en train de nous observer nous-mêmes
Et d’un commun accord,
Nous l’avons appelé

REFLET

CELA ENTRAINE REFLEXION, n’est-ce pas?
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 19:48

MANIFESTONS INDIVIDUELLEMENT LE 31 AOUT,

REPRENONS LE FLAMBEAU DE L'ALMA,

DE LA PAIX,

POUR DIANA.

 

Alterinfistes, activistes pacifistes, (et non passifistes...)


LADY DIANA, après avoir tourné le dos à tous les vendeurs d'armes, les financiers de toutes les guerres du pétrole et de la drogue, les producteurs de mines anti-personnelles et autres prédateurs humains, les dirigeants, rois, et puissants de la planète dont elle a croisé le regard, pour se pencher sur les petits mutilés, les uni-jambistes, les estropiés, les borgnes, les défigurés dont elle a aussi croisé le regard, ELLE qui a franchi le plus large fossé qui sépare les premiers des seconds,, ELLE, qui connut, en une seule vie, l'extrème silence froid qui entoure les tenants du pouvoir, et l'extrème douleur qui atteint ceux qui pleurent en silence, ELLE qui était la seule à avoir embrassé les deux extrèmes vivants sur la même planète, ELLE qui a déclenché le formidable rebond humanitaire qui atteint aujourd'hui, Hollywood et tous les chanteurs du Showbizz...

 

 

au moment où ELLE allait parler, craquer sa révolte, s'engager dans le combat, accuser, dénoncer, et prendre la tête de la lutte contre l'inégalité odieuse que quelques uns font peser sur tous les autres, à la veille du sommet de la crise qui devait ravager son duel intérieur...........................................................fut assassinée par la presse people et l'opportunisme d'une grande enseigne commerciale avide de marier son Noble Nom.


DI...Lady Di...DIANA...Lady Diana...Les marques d'un milliard de clients potentiels...Ils en rêvaient...!

Afin de faire savoir l'indignation que suscite encore ce drame dans nos esprits, et après dix ans de réflexion, témoignons de notre souvenir.

Gilles Couturier

 

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 19:45

Petites corruptions locales.

Coût pour les contribuables : un million d'euros.


Il n'y a plus de journaliste chez moi, mais je n'en ai pas besoin. J'agis.

Le petit maire de mon petit village voit arriver le remembrement. Ravi, il en profite pour virer un plus petit paysan et s'approprie un joli bout de terre touchant les siennes, certes, mais virant l'autre à un litre de gazoil de chez lui. Il souhaite ensuite engager un projet de sablière, au bord du Cher, sur ses terres gagnées et pour ce faire, les fait impunément déclasser de première en troisième catégorie. Il monte le dossier et le dépose pour l'enquête d'utilité publique quinze jours à la mairie.

 

Je consulte le premier jour, et constate tous les inconvénients et aucun avantages. Pas de base nautique en fin de travaux où je puisse, à vélo, emmener ma fille, pas de baisse d'impôts communaux dûs à une si belle activité professionnelle, je ne sais combien de camions au stop sous les fenêtres de ma maison du douzième siècle et une sérieuse déterrioration du site adorable choisi pour traverser le canal.

 

Je souligne que j'habite ce sympathique petit bourg où Alain Fournier s'inspira de son roman « Le Grand Meaulne ».

 

Je reviens le quatorzième jour, ouvre le cahier d'observations publiques, où deux petits commentaires se réjouissent ( des parisiens voisins ) et un de la DDE renâcle ( alors que j'ai rameuté toute la ville ). J'ajoute mon point de vue et m'inquiète de savoir pourquoi le tracé ne rejoint pas directement la nationale à deux kilomètres de là, de l'autre coté du Cher et évitant ainsi les traversées de deux bourgs. Monsieur le maire renvoie le dossier qui reste en suspens. « Oui mais » réponds le Préfet

 

Puis il contacte le maire de l'autre commune responsable du pont qui objecte un arrêté, limitant à dix neuf tonnes sauf transport scolaire. Il entreprend de tracer une autre piste à travers un bois au frais de la commune qui n'aura jamais servi. L'autre maire finit par installer des bornes plastiques rouges et blanches pour limiter les croisements de deux véhicules. Une rangée contre le trottoir du pont à droite et une rangée au milieu à gauche. L'interdiction passe à six tonnes. Après avoir risqué l'accident surplace, j'entreprends de repousser cinq bornes, avec mon pneu avant, au milieu du pont, au niveau du pilier central, pour autoriser le croisement et interdire la manoeuvre de recul jusqu'au virage d'entrée, très dangereuse. À chaque fois que je repasse, les bornes ont été remises. Puis un jour, un tas de sable est installé tout le long du pont juste derrière les bornes. J'ai compté, ayant travaillé moi-même dans des sablières, quinze godets de deux tonnes...ajoutez quinze tonnes d'eau et vous comprendrez pourquoi six mois plus tard, le pont, ayant supporté quarante cinq tonnes de sable mouillé.... a été jugé à refaire.

 


 

Après six autres mois de travaux et un million d'euros, le pont a pu être refait à neuf et le dossier sablière accepté.

 


 

Vivement que je sois maire que je puisse faire accepter et financer ma piste de cross pour 4 / 4 dans ma joyeuse carrière de glaise personnelle...Sûr, tous les parisiens et les paysans locaux vont se réjouir...ils en ont tous au moins un !

 

Je suis sûr que rien qu'en pensant à moi, il vont en écraser et pouvoir se défouler...! (pensez donc, à quinze euros de la demi heure...dans un an...j'ai le mien...! )

 


 

Prochain épisode : l'élevage de deux mille cinq cents cochons.

Gilles Couturier.

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