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12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 14:24
C'est une grande, une gigantesque gifle et pour la science, et pour la politique en général et pour l'humanité.

Al Gore et le GIEC prix Nobel de la Paix...

Le sommet de la manipulation est atteint.

Nobel est l'inventeur de la dynamite, cela ne me surprend donc pas...

Heureusement, une nouvelle n'arrive jamais seule.


Polémique en Grande-Bretagne autour du documentaire d'Al Gore, "Une Vérité qui dérange"

LONDRES - Certaines des affirmations avancées par le documentaire d'Al Gore sur les effets du réchauffement climatique, "Une Vérité qui dérange", ne sont pas étayées par des preuves scientifiques, selon une décision que vient de rendre un juge britannique.
Ce jugement, rendu public mercredi à Londres, donne toutefois son feu vert à la diffusion dans les collèges et lycées anglais du documentaire de l'ancien vice-président américain, à qui le prix Nobel de la paix a été décerné vendredi, conjointement au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), pour leur engagement en faveur de l'environnement.

Le juge Michael Burton, de la Haute Cour de Londres, a exigé qu'un document écrit soit transmis aux enseignants qui souhaitent utiliser le film, pour s'assurer que les opinions d'Al Gore ne soient pas présentées sans la moindre critique.

Le juge Burton a indiqué qu'il n'avait aucun doute sur le fait que les points soulevés dans le documentaire sur les causes et les effets probables du changement climatique étaient pratiquement exacts, mais selon lui, ils l'ont été dans un "contexte d'alarmisme et d'exagération".

Le film d'Al Gore "est en grande partie fondé sur la recherche et des faits scientifiques", a encore affirmé le juge Burton. "Malgré cela, la science est utilisée un homme politique et un communicateur de talent pour faire une déclaration politique et soutenir un programme politique."

Selon lui, le projet du gouvernement britannique de projeter le film dans les établissements scolaires enfreint les lois interdisant la promotion d'opinions politiques partisanes dans les classes, mais il peut se concrétiser si les professeurs s'assurent que les opinions politiques d'Al Gore ne sont pas approuvées par les écoles.

M. Gore s'est dit "satisfait" par cette décision de justice, observant que les "neuf erreurs scientifiques" recensées par le juge n'étaient qu'une "poignée" parmi "des milliers d'autres faits apparaissant dans le film".

Kalee Kreider, porte-parole de l'ancien vice-président américain, a estimé pour sa part que la décision du juge soutenait les principaux arguments du documentaire. "La décision soutient les éléments fondamentaux du film et le consensus scientifique selon lequel le réchauffement climatique est réel et causé par les activités humaines", a-t-il fait valoir.

Cette décision de justice constitue cependant une victoire non négligeable pour Stewart Dimmock, directeur d'une école du Kent, qui accusait le gouvernement britannique de "faire subir un lavage de cerveau" aux enfants en montrant le film d'Al Gore dans les classes. Il avait engagé une action pour faire interdire la diffusion du documentaire dans les écoles.

fr.news.yahoo.com/ap/20071012/twl-nobel-paix-gore-gb-documentaire-1be00ca_1.html
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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 03:06
Ben Laden v.r.p d'Al Gore?
Un extrait du dernier discours de Ben Laden...

"En ceci, il devient clair pour tous que ce sont elles les véritables tyrans terroristes. En fait, la vie de toute l’humanité est en danger à cause du réchauffement climatique qui provient pour une grande part des émissions des usines des grandes entreprises. Mais malgré cela, les représentants des entreprises à la Maison Blanche insistent pour que ne soit pas observé l’accord de Kyoto, tout en sachant que les prévisions parlent de la mort et de l’exode de millions d’êtres humains en raison [du réchauffement], en particulier en Afrique. La plus grande des plaies, la plus dangereuse des menaces à la vie a lieu de façon de plus en plus rapide, alors même que le monde est dominé par le système démocratique, ce qui confirme son échec massif à protéger les humains et leurs intérêts de l’avidité et de l’avarice des grandes entreprises et de leurs représentants."


Une grande partie du discours de Ben Laden sur:

contreinfo.info/article.php3
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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 03:00
C'est un dossier pdf.

C'est clair.

C'est net.

Sans ambiguïté.

www.conspiration.cc/climat/dossier_leroux_climat.pdf

En conclusion de ce dossier, nous pouvons lire:

"Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation qui ressemble à une imposture "scientifique", et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent des financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du GIEC."
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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 02:59

Le réchauffement électrique de Saturne


Les astronomes ont récemment découvert que leur « explication » antérieure sur le réchauffement anormal de l'atmosphère supérieure de Saturne ne marchait pas.

​​​​La température de l'atmosphère supérieure des planètes géantes a longtemps présenté une énigme pour les astronomes. Elle est plus chaudes que ne peut l'expliquer l'absorption de lumière solaire, et les autres tentatives pour expliquer les anomalies de la température en termes mécaniques se sont heurtées à un échec. Les théoriciens électriques sous-entendent que les problèmes de ce genre persisteront tant que les astronomes ignoreront l'électricité [dans le cosmos].

​​​​Depuis que les planètes géantes montrent des aurores spectaculaires dans leurs régions polaires, les scientifiques pensent qu'elles sont produites par la chaleur qui a été dirigée d'une façon ou d'une autre de l 'équateur des planètes. Sur Terre, un mécanisme semblable (l'énergie magnétique de la magnétosphère) est prétendu actionner les aurores boréales et réchauffer l'atmosphère supérieure.

​​​​Mais selon un rapport le mois dernier dans le journal Nature, le mécanisme proposé REFROIDIRAIT en fait l'atmosphère supérieure de Saturne aux basses latitudes [près de l'équateur]. Ainsi les scientifiques doivent s'occuper d'un phénomène météorologique énergétique pour lequel ils n'ont aucune explication prête. « Cette '' crise énergétique inexpliquée '' représente un vide important dans notre compréhension de l'atmosphère de ces planètes, » écrivent des scientifiques.

​​​​« Nous devons réexaminer nos postulats fondamentaux sur les atmosphères planétaires et ce qui provoque le réchauffement observé, » a dit Alan Aylward, membre de l'équipe d'étude de l'University College London.

​​​​Les adeptes de l'Univers Électrique font bon accueil à cette sincérité, bien qu'elle n'aille pas assez loin. L'« hypothèse fondamentale » qui dirige les sciences spatiales depuis presque un siècle est la croyance que l'espace est inerte électriquement. La plupart des astronomes et des météorologistes ne réalisent toujours pas ce qui a été déjà démontré par les récentes découvertes du lien Terre-Soleil : l'échange de charges est ininterrompu, et les aurores ne sont qu'un effet des échanges électriques continuels. Le théâtre planétaire est en fait rempli de circuits électriques à travers le milieu conducteur du plasma.

​​​​C'est le modèle électrique du Soleil qui nous permettra de comprendre les phénomènes météorologiques hautement énergiques que nous voyons sur de nombreuses planètes de notre Système Solaire. Dans cette perspective, les tempêtes électriques sur les planètes -- incluant la Terre -- sont alimentées par les courants interplanétaires qui convergent en grande partie vers le Soleil. L'augmentations du rendement solaire, ainsi que les courants entrants interceptés directement par les planètes, peuvent charger l'ionosphère des planètes -- le résultat étant le réchauffement « anormal » de leur atmosphère supérieure.

​​​​Dès que nous considérons la question sous le jour électrique, il devient évident que la recherche scientifique sur d'autres interrogations continuera à être mal orientée jusqu'à ce que la composante électrique soit reconnue. C'est un bon passe-temps pour les scientifiques d'avoir un nouveau regard sur le débat du « réchauffement global » sur Terre, par exemple, puisque pratiquement tous les articles publiés à ce sujet ont ignoré le rôle décisif du Soleil électrique.

Original : http://www.thunderbolts.info/tpod/2007/arch07/070905saturnheating.htm
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info

 

NDT : La théorie de l'Univers Électrique permet d'expliquer de manière simple et compréhensible, à l'aide des phénomènes connus de la physique du plasma, quasiment tous les phénomènes observés dans le cosmos. Elle permet surtout d'éliminer les hypothèses extraordinaires et invérifiables de l'astrophysique moderne, comme l'expansion de l'univers, le Big Bang, les trous noirs, les supernovae, les étoiles à neutrons, l'énergie fantôme et la matière sombre (invisible).

​​​​Voir quelques articles de vulgarisation en français sur l'Univers Électrique :

http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?t=5706&sid=e8aef09132e63e9c4cfa5596d67197bd

​​​​Voir aussi : Une découverte à l'UCSD pose un énigme cosmique : Comment un quasar « lointain » peut-il se trouver à l'intérieur d'une galaxie proche ?

​​​​Il s'agit d'une découverte comme en a fait l'astronome Halton Arp par centaines, qui réfute l'explication selon laquelle le « redshift » serait un effet de l'expansion de l'univers, et donc l'existence du Big Bang.

​​​​Voir aussi Perspective galactique, l'une des découvertes similaires d'Halton Arp.

Original:www.alterinfo.net/Le-rechauffement-electrique-de-Saturne_a10981.html

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:28
Allez, va... ça n'arrive pas qu'aux ordinateurs américains de donner des mesures contradictoires...

Les russes s'y mettent aussi...



Je vous ai déjà présenté le même, hier...
Notez bien l'échelle de grandeur, à gauche, qui va de -3 à 2,5.
Le même graphique, sur le même site, il y a cinq minutes...



L'échelle ne va plus que de -3 à 0...
Le pic d'hier à disparu... comme prévu...
Et ce n'est pas la première fois...

Font mumuse à quoi nos "scientifiques"?...

cr0.izmiran.rssi.ru/mosc/main.htm
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:27
Il se passe des choses bizarres ces jours ci...
Voici deux tableaux issus du même site, du même satellite...


Vous ne voyez pas comme une erreur entre le 28 et 29 août en comparant les deux tableaux???










Nous ne pouvons donc plus nous fier aux données de la NASA...

Je dirais même que nous ne pouvons plus nous fier à aucune donnée officielle...
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:22
Une vérité inconfortable: Les années 30 sont la décennie la plus chaude.
Ces derniers jours, on a vu 4 "vérités qui dérangent" supplémentaires pour les alarmistes du réchauffement climatique. La première a provoqué un gros embarras au GISS de la NASA (Goddard Institute for Space Studies) en exposant une faille sérieuse dans ses séries de température de surface des Etats-Unis. L'erreur est tellement énorme que le 7 août, le GISS a dû poster les chiffres révisés qui montrent que, au lieu d'avoir les températures les plus hautes lors de la dernière décennie, l'année la plus chaude n'est pas 1998 mais 1934. Parmi les années les plus chaudes depuis 1880, il s'avère que 4 sont dans les années 1930 et seulement 3 sont dans la dernière décennie.L'importance de ceci est que James Hansen, directeur du GISS, a été l'allié scientifique le plus proche d'Al Gore pendant presque 20 ans dans la promotion de la panique du réchauffement climatique. Les chiffres révisés concernent seulement l'Amérique du Nord mais le fait qu'un éminent scientifique champion de l'orthodoxie fasse la promotion de données erronées a des implications considérables.L'expert responsable de la découverte des erreurs du GISS est Stephen McIntyre, un analyste canadien qui a marqué la plus grande victoire dans l'histoire du débat en démolissant la fameuse "crosse de hockey" - le graphique sensé montrer une courbe de température plate pendant des siècles jusqu'à ce qu'elle commence soudainement à monter exponentiellement à la fin du 20e siècle. La "crosse de hockey" a été adoptée comme l'icône suprême du lobby du réchauffement global, mené par le Groupement Intergouvernemental pour l'Etude du Climat (GIEC) qui l'a utilisé pas moins de 5 fois dans son rapport de 2001. Depuis que McIntyre a exposé la masse des erreurs de calculs de base sur laquelle elle est basée, le GIEC l'a abandonnée en toute discrétion dans son tout dernier rapport.

L'article complet sur skyfall.free.fr/
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:04
Radio Paris ne ment pas toujours, et même si c'est une exception qui confirme la règle, je me dois de la souligner...

L'insolation de l'hémisphère nord réchauffe le climat de l'Antarctique
PARIS (AFP) - L'augmentation de l'énergie solaire reçue en été dans l'hémisphère nord est suivie, quelques millénaires plus tard, par un réchauffement en Antarctique, suggère une étude franco-japonaise publiée jeudi dans la revue scientifique britannique Nature.

A partir du forage effectué dans la base antarctique japonaise du Dôme Fuji, les chercheurs de laboratoires spécialisés en glaciologie et en climatologie du CNRS, du CEA et des universités de Grenoble et de Versailles Saint-Quentin, dirigés par Frédéric Parrenin (Grenoble), ont daté les couches successives des carottes de glace extraites.

Cette datation, expliquent les scientifiques, a pu être faite par l'analyse de bulles d'oxygène et d'azote contenues dans la glace, le rapport de concentration entre ces deux gaz variant au cours du temps.

Les résultats obtenus sur une période de 360.000 ans "ont mis en évidence une corrélation entre les variations climatiques de cette région et l'énergie solaire (insolation) reçue en été dans l'hémisphère nord", précisent-ils.

"Les augmentations de l'insolation d'été de l'hémisphère nord, poursuivent les glaciologues, sont suivies quelques milliers d'années plus tard par des augmentations de gaz à effet de serre et un réchauffement climatique en Antarctique", particulièrement visibles lors des quatre dernières ères glaciaires.

Les variations de l'insolation dues au mouvement de l'orbite et de l'axe de rotation de la Terre sont datées avec précision grâce aux calculs de mécanique céleste. Selon les chercheurs, la circulation des masses d'eau océaniques, qui est un facteur important de chaleur, pourrait expliquer le lien entre l'insolation et la température de l'Antarctique.

Lors de la fonte des calottes glaciaires de l'hémisphère nord, l'eau douce rejetée modifie la salinité des océans, ce qui fait varier la densité de l'eau, dont les variations sont le moteur des mouvements des masses d'eau.

fr.news.yahoo.com/afp/20070822/tsc-sciences-climatologie-antarctique-x-c2ff8aa_1.html
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 20:01
Deux mesures phares pour lutter contre le réchauffement climatique dû au Co2: Buter les touristes et détruire les téléviseurs.
Deux articles qui, sortis du contexte mensonger du Co2=réchauffement climatique, sont intéressants.

Environnement, les vacances augmentent le réchauffement climatique

Chacun d'entre nous exerce dans sa vie quotidienne des pressions sur l'environnement, dont nous n'avons pas toujours conscience. Ces pressions, qui paraissent négligeables à l'échelle de l'individu, peuvent avoir, collectivement, de forts impacts sur l'environnement. C’est ainsi que les vacances participent à l’augmentation du réchauffement climatique, selon l'Institut français de l'environnement (Ifen).

 

16% des émissions annuelles de gaz carbonique (CO2), le principal gaz à effet serre responsable du réchauffement climatique, provoquées par les déplacements des français en voiture, soit 12,4 millions de tonnes, correspondent aux déplacements de ceux qui partent en week-end ou en vacances. La moyenne de CO2 dégagé par un départ en vacances est de 187 kilos par français.

 

Pour l'Institut français de l'environnement (Ifen), les dynamiques en œuvre dans les activités touristiques des ménages en vacances évoluent et ont des effets croissants sur l’environnement et l’économie. Les motifs personnels (agrément, famille, amis…) amènent les Français à se déplacer en masse en France ; 165 millions de séjours (2005) s’ajoutent à environ 57 millions d’excursions (2004). En 2005, 65% des citadins, dont 23% habitant l’agglomération parisienne et 30% vivant dans des agglomérations supérieures à 100 000 hab., partent en vacances.

 

Selon l'Institut français de l'environnement (Ifen), les départs en vacances restent concentrés en été et les fins de semaine. Les séjours se raccourcissent. 29% des séjours annuels se déroulent sur les 2 mois d’été. En 2005, chaque Français est parti pour 5,4 week-ends et pour 2,66 excursions dont 60% les jours de fin de semaine et jours fériés. Les Français sont plus nombreux à partir en congés (+24% entre 1990 et 2004), mais les courts séjours (de moins de 3 nuitées) se multiplient (+14% entre 1998 et 2004), tandis que les longs et moyens séjours se raccourcissent (de 14 à 10 nuitées en moyenne en 15 ans).

 

Ces mouvements ont des implications locales : accroissement des nuisances routières (embouteillages, bruit, pollution de l’air), accentuation de l’utilisation des équipements collectifs des communes réceptrices (traitements des eaux usées, déchets, alimentation en eau potable), augmentation des loisirs ayant la nature pour support, tout en s’accompagnant d’un gain économique local indéniable.

 

Les déplacements liés aux vacances, effectués en voiture, génèrent environ 12,4 Mteq CO2, principal gaz à effet serre responsable du réchauffement climatique, soit 16% des GES émis sur le territoire national par les véhicules particuliers. Plus le déplacement est de courte durée, plus le poids du transport se fait ressentir dans les émissions de gaz à effet serre, comme dans le budget vacances des ménages. Pour l’ensemble des séjours, quelle que soit leur durée, un voyage en voiture représente en moyenne 187 kg eq CO2, sans considérer les déplacements quotidiens pendant la durée du séjour. Une seule excursion en voiture à la journée émet 93 kg de CO2.

 

Pour l'Institut français de l'environnement (Ifen), les voyages en train représentent 13% des déplacements touristiques sur le territoire national. Un voyage en train génère 12 fois moins d’émission de GES qu’un voyage en voiture à distance égale. En revanche, 53% des départs vers l’étranger (20 millions de séjours) s’effectuent en avion, ce qui représente environ 13 Mteq CO2.

 

Avec les arrivées de touristes, la démographie de certains départements peut doubler voire même tripler. Les Français se rendent essentiellement en ville, à la campagne (34% et 33%), pour des séjours relativement courts (en moyenne 4,5 nuitées). À l’opposé, ils sont moins nombreux à se rendre sur le littoral (26% des destinations) et à la montagne (14% des destinations), mais leurs séjours y sont plus longs (en moyenne 8 et 7 nuitées). Cet apport démographique temporaire, mais parfois considérable (surtout quand on rajoute les étrangers), pose des problèmes dans les milieux où la ressource en eau est fragile (mer et montagne). Des stations d’épuration, calibrées sur les populations de pointe, fonctionnent en "sous-régime" une partie de l’année.

 

Enfin, d’après l'Institut français de l'environnement (Ifen), les activités des ménages sur leur lieu de vacances tirent partie des ressources offertes par la nature. En 2005, les activités terrestres représentent 38% des activités déclarées, parmi lesquelles la promenade est évoquée à 22%, la visite de sites naturels à 5,5% et la randonnée 3,1%.

 

Parmi les activités nautiques déclarées (9,6% en 2005), la natation vient en tête. Certains espaces peuvent connaître un cumul d’activités créant des conflits d’usage soit entre loisirs (promeneurs et usagers de loisirs motorisés, ou chasseurs, pêcheurs par exemple), soit au détriment d’une ressource (la ressource halieutique pour la production conchylicole et la pêche à pied ou bien le nautisme…, la ressource en eau restreinte en période de sécheresse entre agriculteurs et usagers de l’eau potable). C’est en mer et en montagne que ces conflits peuvent être exacerbés, compte tenu de l’attractivité de ces espaces, de la fragilité des milieux et des aménagements durs qu’ils supportent (ports, stations de ski…).

 

Mais il n’y a pas qu’en vacances que les français participent au réchauffement climatique, c’est aussi le cas dans la vie de tous les jours. Ainsi, chaque français consacre à ses déplacements 55 minutes par jour. Cette durée est la même qu’il y a 20 ans. Mais les motifs et les moyens de cette mobilité ont évolué : dispersion des destinations et motorisation individuelle des modes de transport. Les pressions sur l’environnement liées à cette mobilité s’accroissent et touchent directement le cadre de vie et la santé des ménages (pollution urbaine locale et bruit). Le recours quotidien accru à la voiture met en jeu des émissions croissantes de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.


 

www.actualites-news-environnement.com/11342-environnement-vacances-rechauffement-climatique.html


 

La consommation domestique d'énergie s'accroît et impacte l’environnement 

 

L’énergie a de nombreux usages dans un logement, mais parmi ceux-ci, le chauffage prédomine. La consommation domestique d'énergie représente en 2004, tous usages confondus, 15% des dépenses des ménages consacrées au logement, ou 3,7% de leurs dépenses totales selon une nouvelle étude de l'Institut français de l'environnement (Ifen).

 

La consommation domestique d'énergie moyenne, toutes sources d’énergie confondues, est de 20,8 MWh/an par résidence principale, soit 229,5 kwh/m²/an (ou 1,9 tep/an/logement). Multipliée par 30,8 millions de logements, la demande moyenne énergétique des ménages depuis 30 ans correspond au tiers de la consommation totale d’énergie en France.

 

Pour l'Institut français de l'environnement (Ifen), la consommation domestique d'énergie a donc des incidences majeures sur l’environnement : émissions dans l’air de gaz polluants ou à effet de serre et autres impacts liés au mode de production de l’énergie.

 

Le chauffage des logements émet dans l’atmosphère des gaz précurseurs d’ozone (oxydes d’azote, composés organiques volatiles non métalliques (COVNM), et monoxyde de carbone), des particules (de diamètre de 1 à 10 µm - PM10, PM2,5 et PM1) et des gaz acidifiants (oxydes de soufre SOx, oxydes d'azote NOx, ammoniac NH3). Il est responsable de 25% des émissions nationales de COVNM et de 29% de celles de monoxyde de carbone (CO). Le secteur résidentiel est à l’origine en 2004, de 20% des PM10 émises au niveau national, 32% des PM2,5 et 53% des PM1. Les impacts sanitaires de ces dernières sont majorés, car plus fines, elles pénètrent plus profondément dans les voies respiratoires, prévient l'Institut français de l'environnement.

 

Le chauffage des logements contribue également à 14% des émissions nationales de gaz à effet de serre. En 2003, les émissions d’un logement sont de 3,8 tonnes équivalent CO2 (estimation selon le bilan Secten pour la France). Le principal gaz émis est du CO2, puisque 58% de l’énergie totale utilisée est d’origine fossile (gaz, fioul et charbon). Par ailleurs, le développement de la climatisation génère des émissions croissantes de gaz (HFC) au fort pouvoir réchauffant.

 

Pour l'Institut français de l'environnement (Ifen), la réduction des émissions de GES est un enjeu majeur pris en compte dans les politiques publiques (plan Climat et loi d’orientation énergétique de 2005). La maîtrise de la consommation d’énergie dans le bâtiment en général (logements et bâtiments du secteur tertiaire) est un levier essentiel. La mise en place de crédits d’impôts sur des équipements incite les ménages à maîtriser la consommation d’énergie et encourage l’approvisionnement en énergies renouvelables.

 

En 2004, 11% des ménages ont fait des dépenses pour des travaux de maîtrise de l’énergie. Ils ont dépensé, en 2004, 75 milliards d’euros (2 738 € en moyenne); les 2/3 pour l’isolation, le reste pour l’acquisition d’équipement de chauffage. En 2005, 90 000 chaudières individuelles sur les 450 000 remplacées chaque année sont performantes et à basse température, environ 31 250 chauffe-eau solaires individuels ont été achetés entre 2000 et 2004. Enfin, le réglage de la température intérieure en hiver à 19°C au lieu des 21°C, grâce aux thermostats dont sont équipés 64% des ménages, est aussi conseillé d’un point de vue sanitaire et environnemental.

 

L’électricité est la seconde source d’énergie domestique. Sa consommation annuelle a doublé entre 1982 et 2005 pour atteindre 273 TWh. Outre la pénétration de l’électricité comme source de chauffage, le développement de l’équipement électrique des foyers est une des raisons de cet accroissement : entre 1973 et 1998 la consommation d’électricité de l’électroménager a été multipliée par 29, celle de l’audiovisuel par 18. Les impacts environnementaux de la consommation d’électricité sont indirects car ils dépendent de la façon dont elle est produite.

 

Par exemple, la production électronucléaire génère des déchets radioactifs : en 2003, la consommation par le secteur résidentiel (134,6 M KWh) a été à l’origine de 121 tonnes de déchets radioactifs  à vie longue (durée de vie supérieure à 10 000 ans). Les centrales électronucléaires ou hydrauliques perturbent aussi le fonctionnement des cours d’eau (rejets d’eau plus chaude, barrages…). Les centrales thermiques classiques qui fonctionnent au gaz, au fioul ou au charbon sont une source d’émission de carbone. En fin de vie, les appareils électroménagers deviennent des déchets spécifiques difficiles à recycler. L’acquisition d’équipements électroménagers avec une étiquette énergie A+, l’emploi de programmes froids pour le lavage du linge permettent de réduire de 20% à 40% la consommation d’électricité de ces équipements, conclu l'Institut français de l'environnement (Ifen).

 

www.actualites-news-environnement.com/11343-consommation-energie-environnement.html


 

 

 


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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 19:55
Un blogueur de Toronto embarrasse les experts du climat de la Nasa 

Un météorologue amateur habitant à Toronto a embarrassé les scientifiques de la NASA en découvrant une erreur dans des données récentes concernant le changement climatique.

 

Grâce aux calculs de ce blogueur de Toronto, Stephen McIntyre, les météorologues de l’Institut de Science de l’Espace Goddard à NewYork, le GISS de la NASA (Goddard Institute of Space Science) ont avoué que c’était l’année 1934 qui avait été l’année la plus chaude de l’histoire des Etats-Unis, et non l’année 1998, comme cela avait été affirmé précédemment.

 

Le blogueur de Toronto, Stephen McIntyre, a commencé par envoyer un mail à la NASA le 4 août, disant qu’il avait découvert une erreur dans les données de la NASA concernant le changement climatique. Il a remarqué des sauts inexplicables des températures autour de l’année 1999 et s’est rendu compte que les bilans de température de la NASA avaient été trop élevés depuis lors, excédant les températures réelles de 0.15°C maximum.

 

La NASA a depuis revu ses données à la baisse. Ces données montrent maintenant que l’année 1998 est la deuxième année la plus chaude de l’histoire des Etats-Unis et que 5 des 10 années les plus chaudes aux Etats-Unis datent d’avant 1939. A l’échelle mondiale, les données restent inchangées, les années 1998 et 2005 étant les plus chaudes depuis les premiers enregistrements météorologiques.

 

Les découvertes du blogueur de Toronto ont fait plus qu’embarrasser les scientifiques de la NASA. Elles ont provoqué une tempête de critiques provenant des personnes sceptiques quant à la véracité du changement climatique qui accusent maintenant la NASA de revoir à la hausse leurs chiffres pour promouvoir l’hystérie mondiale à propos du réchauffement climatique. D’autres accusent la NASA d’avoir essayé de passer sous silence leur erreur.

 

De leur côté, les météorologues du GISS affirment que les critiques sont exagérées et que les différences entre les données erronées et les températures recalculées sont trop peu importantes pour qu’elles aient un impact sur la tendance d’ensemble au réchauffement climatique. Les scientifiques de la NASA pensent que le responsable de cette erreur est le nouveau système de collecte des données établi en 2000, qui utilise des méthodes différentes des précédentes.

 

Dans tous les cas sceptique ou pas, à par la température, il est évident que de nombreuses manifestations climatiques et dans le milieu naturel prouvent que le réchauffement climatique est bien en marche.

 

www.actualites-news-environnement.com/11319-blogueur-Toronto-experts-climat-Nasa.html

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