Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Ferlinpimpim
  • On vous prend pour des cons et j'en rajoute une couche...
 
 De peinture ou de décapant?...
 
 A vous de choisir.
  • On vous prend pour des cons et j'en rajoute une couche... De peinture ou de décapant?... A vous de choisir.

Le Soleil du jour

 

 

 

LASCO C2

LASCO C3

 

 

    RAYONS X

 



               Magnétosphère

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

At 12:50 UT
Sp
Density: 1.46 p/cm3

 

 
   
 
 

Recherche

30 derniers jours du Soleil

http://sohowww.nascom.nasa.gov/data/LATEST/current_eit_284small.gif

Archives

Sat24 Europe

Précipitations



Radar Meteox.com

Compteur

Prets pour le grand saut?

 
                   www.chutelibre.fr

A LA UNE

16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 05:59
Mathieu Kassovitz était l'invité des Grandes Gueules sur RMC le 15 octobre 2009. Après son intervention remarquée chez Frédéric Taddei puis au Café Picouly, Mathieu Kassovitz remet ça et invite les journalistes à faire comme lui, à se poser les bonnes questions sur la tragédie du 11 Septembre !
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 06:38
Pardon, j'ai un esprit ironique, ce matin...

L'USS New York, construit avec de l'acier des tours jumelles, a quitté le chantier naval
L'USS New York, bâtiment de guerre de la marine américaine construit avec des tonnes d'acier récupéré dans les ruines des tours jumelles du World Trade Center, a quitté mardi le chantier naval où il est né, à destination de la ville dont il porte le nom.

L'USS New York, construit en souvenir des attentats du 11 septembre 2001, et qui a coûté un milliard de dollars, a quitté le chantier de Northrop Grumman proche de Nouvelle Orléans, empruntant le Mississippi dans la brume avant de prendre la mer, destination New York, où il doit entrer officiellement en activité en novembre.

Près de 7,5 tonnes d'acier venu des tours jumelles ont été fondus pour la coque du navire, qui peut transporter jusqu'à 800 Marines, et accueillir des hélicoptères sur son ponton.

Source
Partager cet article
Repost0
11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 16:51
Voici une conférence de Ruppert, datant de fin 2001. Tout est dit, même le lieu central de la prochaine guerre mondiale.

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 13:53


Après les interventions de Mathieu Kassovitz et de Jean Marie Bigard, on fait intervenir Jean Marie Lepen (au micro de Guillaume Durand) sur son opinion sur le 911

 

http://www.dailymotion.com/video/xan90l_jeanmarie-le-pen-sur-le-11-septembr_news

 

…, et quelques jours, plus tard, hop !... Voici l’amalgame !, on associe les défenseurs pour une nouvelle enquête sur le 911 aux conspirationnistes en général et à Jean Marie Lepen en particulier !!, …

En conclusion de cette pitoyable diatribe, on nous dit que face à cela il n’y a même pas besoin de répondre puisque tout ceci n’est que sornette…

 

Platon et Socrate doivent se retourner dans leur tombe, lol !

En fait, de « pitoyable », c’est bien ce commentaire (négationniste par essence) de Thomas Legrand sur Rance Inter…

 

http://www.dailymotion.com/user/Rudy-D/video/xaqbsx_france-inter-les-conspirationnistes_news

 

D’un coté en France on se masque les yeux et de l’autre aux U$A on tend l’oreille : en Prime Time (s’il vous plait ! Dans le programme de Larry King sur CNN la canal pro officialiste par excellence !), Kadhafi, invité d’honneur, exprime ses doutes quant au 911… 

 

http://www.dailymotion.com/mychannel/Rudy-D/video/xapz2i_larry-king-invite-kadhafi-pour-parl_news

 

A noter que, la semaine dernière, l’invité d’honneur n’était autre que Hugo Chavez, la réincarnation d’Adolf Hitler en Amérique du Sud pour les étasuniens, qui expliquait tranquillement au micro et caméra de Larry K. que pour lui, les USA sont la cause de tous nos malheurs !...Ce vieux Larry, qui ne parait plus avoir toutes ses facultés de bon petit soldat pro système !...

Hmmm…, c’est plus que suspect tout cela…

 

http://www.dailymotion.com/relevance/search/chavez+larry+king/video/xalob7_larry-king-entrevista-hugo-chavez-p_news

 

http://www.dailymotion.com/relevance/search/chavez+larry+king/video/xalo9b_larry-king-entrevista-hugo-chavez-p_news

 

 

Etrange non ? Tant de bruit sur le 911 ?? Tant d’accusations contre le système ??

 

Serait-ce le moment de faire des révélations ?? Afin de brusquer encore un peu plus les consciences ?... Pour induire le chaos (la rébellion morale et idéologique des peuples) tant espéré et si difficile à provoquer ?...

 

Chevalier Jedi pour le Forum Mecanopolis

Note de Ferlin : Ne serait ce pas la même politique partout, de proclamer que les objecteurs de la version officielle sont des ennemis intérieurs, tout comme Chavez, Khadafi le sont à l'extérieur?...

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 11:32
Êtes-vous inquiet face à la "guerre au terrorisme", à l'érosion de vos libertés et aux conflits au Moyen-Orient ? Savez-vous que de nombreux experts dans le monde entier remettent en question leur prétexte même, à savoir la tragédie du 11 Septembre ?
Ne manquez pas cette opportunité d'écouter la candidate "Verte" aux élections présidentielles US, Cynthia McKinney, et l'ex-député européen Giulietto Chiesa, parler de leurs enquêtes sur ces sujets et bien d'autres encore.


Programme

Ven 9 Oct :
10h30 - Conférence de presse avec Cynthia McKinney
20h00 - Café L'Etincelle, Rencontre informelle

Sam 10 Oct :  La Bellevilloise, Grande Soirée
19h30 - Ouverture des portes
20h00 - Introduction, Annie Machon
20h10 - Film "American Blackout" (extraits)
20h25 - Conférence, Cynthia McKinney
21h30 - Giulietto Chiesa, ZERO, Q&R
23h15 - Surprise

Dim 10 Oct  :
11h00 - "Truth action", Place du Trocadéro

Pour tout savoir, c'est ICI
Partager cet article
Repost0
3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 05:57
Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 08:12

Mathieu Kassovitz, alors interrogé sur le plateau de « Ce soir ou jamais » paye aujourd’hui les frais de la pensée unique imposée par les médias.

En effet, l’acteur réalisateur a déclaré : « La version officielle du 11 septembre est obligatoirement questionnable (…) on ne peut pas prendre l’information officielle comme argent comptant (…) je ne parle pas de complot ou de choses comme ça, on n’en est pas là ».

La règle est telle, que celui qui défie les théories imposées par le pouvoir politico-médiatique doit en subir les conséquences

C’est ainsi qu’un journaliste de L’Express a déploré que le présentateur n’arrête pas le « délire » de Kassovitz, l’accusant de révisionnisme et qu’un autre journaliste du JDD a osé le comparer à Goebbels (ministre sous Hitler) ou Faurisson.


 Pourquoi remettre en cause la version officielle (de Bush) sur le 11 septembre s’assimile immédiatement à la mise en avant de la théorie du complot ?

En effet, il est étrange que des journalistes, qu’ils soient de la presse écrite ou de la télévision, condamnent systématiquement tous ceux qui s’écarteraient de ce consensus accepté par la majorité qui viserait à dire que les attentats sont le fait d’un groupe terroriste et qu’aucun autre ne peut être responsable de cette tragédie.

 Mais si ces journalistes ont de telles certitudes, pourquoi ne publient-ils pas les preuves exactes montrant que le 11 septembre s’est bien déroulé comme ils le prétendent.

De tous temps il y a eu des conspirations (Affaire Rainbowarrior, affaire clearstream…), mais le 11 septembre ne pourrait pas en être.


Je doute et je le dis !


Loin de moi l’idée qu’il y ait obligatoirement un complot derrière ce jour qui a marqué à jamais notre siècle, mais comme tout citoyen actif, j’ai le droit et le devoir d’exiger des preuves de ce qu’avancent les autorités pour avoir de véritables raisons de faire taire à jamais les adeptes conspirationnistes.

Or, aujourd’hui, des éléments troublants rappellent chaque jour que le dossier du 11 septembre n’est pas clos.


Dossier qui a été mené sans réelle investigation, sous l’emprise principale de l’émotion et du patriotisme américain, à défaut de lucidité et de raison.

Un article du Washington Post de 2006 relatait que les membres de la commission d’enquête soupçonnaient le Pentagone d’avoir menti sur les circonstances, et s’interrogeaient même sur l’opportunité d’engager une procédure judiciaire contre le Pentagone.

 Alors oui, je pense que le débat doit rester ouvert, pour qu’il y ait une vérité commune établie, et non des théories multiples qui ne fassent qu’entretenir le doute.

Accuser Kassovitz de révisionnisme est d’une stupidité déconcertante.

En effet, l’on devrait s’estimer heureux que certains qui, à regret ne sont pas des journalistes, mettent en relief des éléments troublants qui doivent susciter le débat.

Réviser l’Histoire, c’est ce que font chaque jour les historiens, justement pour la comprendre, l’interroger et l’interpréter.


Ce révisionnisme là est donc tout à fait louable, et il l’est encore plus quand les évènements ont à peine 8 ans et que le pouvoir conservateur des Etats-Unis vient à peine de tomber.

On sait bien que dans ce domaine les vérités peuvent être connues des décennies plus tard.

Accuser de négationnisme ceux qui remettent en cause la version officielle du 11 septembre, est le summum de la consternation

"Négationnisme" est un terme souvent utilisé pour qualifier ceux qui nient les camps de la mort lors de la Shoah.

Mais l’utiliser pour ceux qui veulent des réponses à des questions irrésolues sur le 11 septembre est aberrant. Cela voudrait dire qu’ils nient le fait qu’il y ait eu 3000 morts, et 3 tours intégralement détruites.


Or, Kassovitz et d’autres s’interrogent seulement sur les motivations et les commanditaires de l’acte, interrogations qui devraient être universelles.

Comment croire aveuglément le discours officiel de Bush ?

Quand ceux qui ont cru sa version des armes de destructions massives se rendent compte aujourd’hui que cela n’était qu’un mensonge d’Etat pour justifier les milliers de morts civils en Irak.

Tout ceci met en exergue le conformisme ambiant et la pensée unique que la majorité nous impose

En effet, les médias, la presse, les pouvoirs relayent des messages que nous devons croire, pour ne pas être marginalisés.


Et, dès lors que quelqu’un ose les remettre en cause, il est immédiatement lynché par la presse, qui par mimétisme va s’offusquer de ce comportement critique.

Mais acceptons de revenir sur des faits, sans exclure les hypothèses qui sont trop lourdes à imaginer. Le 11 septembre est récent. Le débat doit donc être le plus ouvert possible, pour éviter de se rendre compte plus tard que l’on était dans l’erreur.

Les camps de la mort lors de la seconde guerre mondiale ont longtemps été ignorés par la population. Il a fallu des pressions de différents endroits, pour qu’enfin on accepte de se pencher sur ce côté macabre et d’accepter Vichy ou d’autres ignominies de cette époque.


Cela montre bien que le message de la majorité peut être trompeur. Et que chaque personne doit remettre en cause et douter du bien fondé des messages officiels… simplement pour être sûr que ces messages soient bien des vérités.


D.Perrotin

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 07:43
par Hicham Hamza

Coup de boule de Mathieu Kassovitz, l‘homme qui a brisé la loi du silence sur le 11-Septembre. Traité de négationniste, l’acteur-réalisateur tient tête en déposant plainte pour diffamation publique à l’encontre de quatre médias dont l’Express et le Journal du Dimanche. En exclusivité, Oumma vous révèle l’identité des deux autres.


La caravane est passée et les nouveaux chiens de garde n’ont pas manqué d’aboyer. La semaine dernière, dans l’émission Ce soir ou jamais de Frédéric Taddeï, le réalisateur de La Haine, Mathieu Kassovitz, estimait  « obligatoirement questionnable » la version officielle du 11-Septembre après avoir dénoncé les expéditions guerrières et la « diabolisation de l‘Islam » qui avaient suivi les attentats. Au lendemain de ses déclarations, ô combien politiquement incorrectes, le trublion a été dépeint en dangereux complotiste par divers journalistes à la plume assassine, peu soucieux des nombreuses zones d’ombre de l’affaire.

Le pompon de l’esbrouffe a été remporté par Renaud Revel, rédacteur en chef de l’Express, qui n’avait pas hésité -c’est dans l’air du temps- à comparer le comédien engagé à l’historien Robert Faurisson. Assimiler le descendant d’une famille de déportés, et parrain du collectif  Devoirs de mémoire, à un négationniste patenté, voilà qui ne manque pas de sel. Cet amalgame abject consistant à mettre sur un même plan l’analyse critique du récit politico-médiatique du 11-Septembre et la négation de la Shoah a régulièrement d’illustres défenseurs parmi les faiseurs d’opinion, tel le directeur de Libération, Laurent Joffrin, qui a repris à son compte la même escroquerie intellectuelle lors d’une interview accordée à une radio suisse.


Propagandistes contre conspirationnistes

 Se rendant sans doute compte de sa bévue, Revel a tenté, par la suite, de relativiser, au micro de l’expert en investigation, Jean-Marc Morandini, le révisionnisme imputé à Kassovitz, en affirmant qu’il n’était pas, certes, comparable à celui relatif à la seconde guerre mondiale. Trop tard : Revel sera bel et bien poursuivi en justice. On remarquera pour l’occasion la gêne de son hebdomadaire incriminé sur le sujet, l’Express, qui a d’abord relayé vendredi à 18h l’information AFP du dépôt de plainte de manière neutre, avant de pondre, une heure plus tard, un autre papier plus orienté, sous la rubrique intitulée « conspirationnisme », où la différence de ton apparaît dès le titre de l’article : après avoir indiqué dans sa première version de l’info que Kassovitz « poursuit en diffamation », l’Express rectifie subtilement le tir en titrant dans le second papier : « S’estimant diffamé, Kassovitz contre-attaque ». Quel paranoïaque, décidément, ce Kassovitz, à « s’estimer » diffamé pour de telles peccadilles…

Quant à la médaille de la médiocrité journalistique, nulle hésitation : le second heureux élu à la poursuite judiciaire se nomme Lilian Massoulier, auteur d’un blog sur le site du Journal du Dimanche. Ce délicat chroniqueur l’accusait, ni plus ni moins, que de « redonner des couleurs à Goebbels » en raison de l’affirmation, déclarée à l’antenne, de Kassovitz pour qui l’adage associé à la propagande nazie, « plus le mensonge est gros, plus il passe », pouvait éventuellement s’appliquer au récit conventionnel des attentats du 11-Septembre. Le JDD, ayant saisi depuis l’ampleur de la gaffe commise par leur scribouillard, a fait retirer l’article mais une capture d’écran du papier délictueux est toujours visible sur Internet.


Facebook, plus fort que l’AFP

La nouvelle d’un dépôt de plainte à l‘encontre de l‘Express et du JDD, annoncée de source judiciaire, a été publiée par l’AFP vendredi vers 16h. Mais cette information circulait déjà la veille, au soir, sur le web, à travers certains sites  : en effet, le réalisateur avait annoncé en primeur sur sa page Facebook, jeudi dès 19h, qu’il  « poursuit en justice 4 journalistes et leur média  pour diffamation ». Ses 600 amis sur le fameux site de réseau social ont donc appris, avant les rédactions, la contre-attaque de Kassovitz. Depuis la diffusion de l’entretien de Taddeï, celui qui « s’estime diffamé », pour reprendre l’expression fallacieuse de l’Express, n’avait pas fait de commentaire dans la presse sur ses déboires.

Par contre, il a régulièrement utilisé Facebook pour exprimer à ses amis et fans tout le mal qu’il pensait des médias, coupables à ses yeux d’incompétence et de légèreté sur le 11-Septembre. A la date du 20 septembre, il défiait ainsi « n’importe quel journaliste et média de pouvoir prouver de façon précise et claire que la version officielle de la commission 911 est la vérité », avant d’ajouter, excédé, à l’adresse des journalistes : « Faites votre travail au lieu de baver sur ceux qui le font à votre place. Vous êtes des lâches sans éthique et sans morale ». Une rancoeur vigoureuse et ancienne : Kassovitz complète le propos sur sa page Facebook, indiquant qu’il avait « déjà dénoncé » les médias en 1997 avec son film Assassin(s) et qu’il continue, « aujourd’hui encore ». Seuls Frédéric Taddeï et Eric Zemmour défendront publiquement, au sein de la profession, le droit au doute exprimé par le réalisateur.


Au bal de l’outrance

L’avocat de Mathieu Kassovitz, William Bourdon, a  fait également savoir à l’AFP que deux nouvelles plaintes allaient suivre dans les prochains jours. Contacté directement, le réalisateur a consenti à dévoiler à l’auteur de ces lignes, avant les autres « journalistes officiels » dont il se méfie particulièrement, une partie du mystère : les deux autres médias dans le collimateur sont France 5 et France Info. Après les groupes privés (Express-Roularta et JDD-Lagardère), c’est donc au service public d’être à son tour poursuivi en justice pour diffamation. Démarche rarissime, et courageuse de la part d’un artiste, également producteur, dont les contrats et la promotion peuvent souvent dépendre du bon vouloir de France Télévisions ou de Radio France.

Sur la chaîne France 5, censée être dédiée à l‘éducation et au savoir , c’est la chroniqueuse Nathalie Lévy qui avait, effectivement, fait tout en finesse et en pédagogie, dans l’émission C à vous, par l’usage de ces mots  : « Kassovitz en Faurisson du 11-Septembre, ça fait froid dans le dos, quand même ! ».

La bêtise odieuse de certains commentateurs provoque parfois le même effet glacial au niveau de l‘échine…Lors de ce débat de pacotille, s’est illustré un autre coupeur de têtes, Nicolas Poincaré, possédé par l’esprit inquisiteur de Torquemada et décidément acharné contre Kassovitz, puisqu’il a réitéré son verbiage offensif dans une émission matinale diffusée sur France Info et présentée par David Abiker, à la fin de laquelle il poussera l‘ignominie jusqu’au bout. En digne émule de Joseph McCarthy, il conclura sa diatribe en s’en prenant sournoisement au responsable de l’entretien détonant, Frédéric Taddeï, accusé sans vergogne de connivence idéologique avec le réalisateur. A noter qu’Abiker, qui reproche, de manière saugrenue, au réalisateur d’avoir mis « en débat la réalité du 11-Septembre » aura, lui aussi, utilisé sa page Facebook pour commenter le sujet du jour et caricaturer Mathieu Kassovitz, avec le recours au langage pathologique, se gaussant du « cas-sovitz »…Sur la même station de radio, Patrice Bertin, l’ex-patron de la rédaction de France Inter, n’a pas hésité, pour sa part, à traiter Kassovitz de « révisionniste », allant jusqu’à faire une allusion, à peine voilée, à Jean-Marie Le Pen et son « point de détail ».


MediaDelirium Tremens

Le délire n’a plus de limites sur certaines antennes. Sur Europe 1, le chroniqueur Frédéric Bonnaud, en tandem loufoque avec Jean-Marc Morandini, a développé le plus sérieusement du monde sa propre théorie du complot selon laquelle l’interview de Kassovitz par Taddeï était en réalité, tenez-vous bien, un coup monté pour faire de l’audience à l’antenne et du buzz sur le web. La station Lagardère comme dernier refuge d’une nouvelle espèce de conspirationnistes radiophoniques, qui l’eût cru ?

Au-delà de ce lynchage médiatique, récurrent dès qu’une personnalité publique revendique l’exercice du doute méthodologique sur le déroulement des attentats de Manhattan et du Pentagone, il sera intéressant d’observer l’évolution de la procédure judiciaire inaugurée avec aplomb par Mathieu Kassovitz. Si la diffamation est reconnue, une jurisprudence en la matière sera établie, libérant la parole critique sur le sujet tabou ; à l’inverse, si la plainte devait être rejetée, il est à craindre que l’omerta ne se renforce, diabolisant davantage quiconque osera pointer du doigt les multiples incohérences et anomalies relatives à la mythologie officielle du 11-Septembre.

Derrière le bras de fer qui alimentera la rubrique people, il en va surtout de la liberté d’expression en France, de ses bastions de résistance comme de sa trahison permanente par ceux, en première ligne, qui sont censés pourtant la défendre : les journalistes. « C’est l’histoire d’une société qui tombe et qui, au fur et à mesure de sa chute, se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici, tout va bien, jusqu’ici, tout va bien », pourront-ils également clamer, à l’instar du narrateur du film La Haine, qui concluait la scène culte par ces mots : « Ce qui compte, c’est pas la chute…C’est l’atterrissage ». Les effondrements du World Trade Center n’ont pas fini de causer leur ravage.


Source

Partager cet article
Repost0
22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 11:33
Malgré la consigne de black-out, très largement observée par la presse occidentale, sur le travail d’investigation de Thierry Meyssan au sujet des évènements du 11 septembre 2001, ce journaliste émérite persévère dans l’inlassable quête de vérité, malgré une campagne de dénigrement orchestrée contre lui par d’innombrables de ses propres confrères, et une formidable chape de plomb qui pèse sur le moindre de ses écrits.
L'histoire retiendra son nom et l’oeuvre utile qu’il réalise comme elle signalera le combat admirable qu’il mène contre des forces inimaginables de moyens et de sournoiserie. Lorsqu’elle s’écrira dans ses pages de vérité, l’histoire marquera du sceau de infamie tous ces plumitifs rémunérés, ou trop lâches pour faire leur devoir, et qui se terrent dans un silence aussi lâche qu’il cherchent à se parer des atours du professionnalisme sourcilleux et de la réserve prudente.
 
 Les forces qui mènent le monde, cette pieuvre tapie sous des monceaux de dollars et derrière l’honorabilité menteuse des dirigeants visibles du monde, une organisation inhumaine et fondée sur la pratique du mal pour le mal, au prétetxte de vouloir régir les grands équilibres sur lesquels repose un Ordre implacable, ont réussi non seulement à bâillonner ceux qui savent, par les moyens subtilement dosés de la corruption et de la violence, mais aussi et surtout, à enfermer l’humanité entière dans une sorte d’autisme, une incompréhension ouatée où ne parviennent plus les évidences, pourtant criantes, de l’effroyable complot permanent.
 
 Ces forces mauvaises, pour tourner en dérision les révélations stupéfiantes qui parviennent, trop rarement, à déranger leurs criminelles entreprises, ont mis en œuvre une vaste campagne de désinformation qu’ils ont intitulée « La Théorie du complot ».
 C’est une laborieuse entreprise de conditionnement des masses qui consiste à rendre risible et tout à fait invraisemblable la divulgation d’informations qui nous renseignent sur leurs méfaits. Et c’est ainsi que des informations farfelues, une inflation médiatique organisée, sur tout et n’importe quoi, sur des forces démoniaques, la franc maçonnerie, les extraterrestres et autres organisations secrètes, sont savamment distillées au sein des opinions publiques par leurs propres agents, pour diluer dans une vaste fumisterie les rares révélations qui seraient susceptibles de les démasquer.
 
 Les investigations de Thierry Meyssan sur le complot du 11 septembre tentent de secouer la torpeur des opinions publiques occidentales, bourrées d’informations contradictoires dont le but est justement de les désorienter.
Thierry Meyssan, avec une patience de pédagogue, ne cesse de nous expliquer le scénario macabre de la cabale du 11 septembre. En démontant un à un les épisodes qui ponctuent le film des évènements. En nous rappelant, avec le recul du temps, tous les mensonges grossiers des personnalités visibles qui officiaient à la mise en scène, mais qui n’en étaient pas moins le Président des Etats Unis d’Amérique, son Ministre de la Défense nationale et autre secrétaire d’Etat.
 
 Pourtant, malgré ces vérités criantes, malgré un faisceau de présomptions troublantes, pour rester mesuré, malgré le refus catégorique de l’administration américaine de diligenter une enquête sérieuse sur ces évènements, parce qu’elle sait que ce serait ouvrir la boite de Pandore et révéler ainsi, au monde entier, l’inimaginable réalité des vraies forces qui dirigent le monde, les opinions publiques continuent de gober les grosses couleuvres qu’on leur fait ingurgiter, article après article, émission après émission, discours creux après harangue patriotarde, épouvantail islamiste après menace terroriste. Thierry Meyssan, dans cet autisme ambiant, dans cette incompréhension crasse, continue de se consacrer à la recherche de la vérité, parce que sa foi en l’Homme n’est pas entamée, parce que sa confiance en la victoire ultime, du Bien contre le Mal, est restée intacte.
Malgré tout ce qui lui a été infligé de tourments et d’humiliations. Sa vigilance contre le Mal qui préside aux destinées de l’humanité entière a fait de lui une sentinelle de la Vérité.
 
 Lisez cet article qui nous a été signalé par notre Abdelkader Dehbi. Mais ne vous contentez pas de le lire. Vous aussi que cet article et d’autres encore qui tentent de se frayer un chemin jusqu’à votre bon sens, et jusqu’à votre dignité humaine, vous devez vous engager aux côtés de ces héros des temps modernes, ces héros bien réels qui luttent contre l’hydre et qui veulent nettoyer les écuries d’Augias. Le bruissement deviendra clameur, et brisera les murs du silence.
 
 Voici le lien de cet article de Thierry Meyssan:
 
 http://www.voltairenet.org/article162054.html
 
 Par D.Benchenouf
 Le Quotidien d'Algerie

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 11:49
11-Septembre : George Bush vous a-t-il dit la vérité ?
par Thierry Meyssan*

Huit ans après les attentats du 11-Septembre, Thierry Meyssan —qui avait initié la contestation mondiale sur la validité de la version bushienne des événements— récapitule l’état du débat pour le nouveau magazine russe Odnako.
Le dissident français dénonce le « rideau de fer » hermétique qui sépare les peuples de l’OTAN du reste du monde. Soumis à un matraquage médiatique, ils ignorent tout des débats qui se développent hors de l’Occident et continuent de croire que la contestation du 11-Septembre est limitée à quelques associations activistes.
Thierry Meyssan s’interroge aussi sur la naïveté des Occidentaux qui croient à un scénario infantile de comics américain selon lequel une vingtaine de fanatiques aurait pu blesser au cœur le plus grand empire militaire du monde.

Fait divers ou événement historique ?

Le 7 octobre 2001, les ambassadeurs des États-Unis et du Royaume-Uni informent par courrier le Conseil de sécurité des Nations Unies que leurs troupes sont entrées en Afghanistan en vertu de leur droit à la légitime défense après les attentats qui avaient endeuillé l’Amérique, un mois plus tôt. L’ambassadeur John Negroponte précise dans sa missive : « Mon gouvernement a obtenu des informations claires et indiscutables que l’organisation Al-Qaeda, qui est soutenue par le régime taliban en Afghanistan, a joué un rôle central dans les attaques ».

Le 29 juin 2002, le président Bush révèle au cours de son « discours annuel sur l’état de l’Union » que l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord soutiennent en sous-main les terroristes car ils ont conclu un pacte secret pour détruire les États-Unis : « l’Axe du Mal ». Certes, ces trois « États voyous » se montrent prudents depuis que Washington a écrasé les taliban, mais ils n’ont pas renoncé à leurs intentions.

JPEG - 17.3 ko
Le 11 février 2003, le secrétaire d’État Colin Powell intoxique la « communauté internationale » pour justifier l’invasion de l’Irak. Il affirme au Conseil de sécurité que Saddam Hussein abrite un chef d’Al-Qaida, Abou al-Zarkaoui, et une usine d’armes chimiques.

Les accusations se font plus précises le 11 février 2003. Ce jour-là, le secrétaire d’État US Colin Powell expose en personne devant le Conseil de sécurité le soutien apporté par l’Irak aux responsables des attentats. Après avoir brandi une fiole sensée contenir un concentré d’anthrax en poudre capable de dévaster un continent entier, il montre une photo satellite de la base installée par al-Qaeda au nord de l’Irak, incluant une usine de fabrication de poisons. Puis, organigramme à l’appui, il détaille le dispositif des terroristes à Bagdad sous le commandement d’Abou Al-Zarkaoui. Sur la base de ces informations « claires et indiscutables », les troupes des États-Unis et du Royaume-Uni, assistées de celles du Canada de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, entrent en Irak, toujours en vertu de leur droit à la légitime défense suite aux attentats du 11-Septembre.

L’argument du 11-Septembre est si commode, que le 15 octobre 2003, alors qu’une pluie de bombes s’abat sur les Bagdadis, le Congrès des États-Unis place à son tour la Syrie en accusation pour son soutien au « terrorisme international » et accorde au président Bush le droit d’entrer en guerre contre elle lorsqu’il le jugera nécessaire. Toutefois, la Syrie n’est destinée qu’à être le « hors d’œuvre » du festin qui s’annonce et dont l’Iran sera le plat principal. En juillet 2004, la Commission présidentielle sur les attentats rend son rapport final. Au dernier moment, elle y ajoute deux pages de révélations sur les liens entre l’Iran et Al-Qaeda. Le régime chiite entretient depuis longtemps des liens avec les terroristes sunnites, les laisse librement circuler sur son territoire et leur a offert des infrastructures au Soudan. Sur cette base, une nouvelle guerre paraît inéluctable. Ce scénario tiendra la presse internationale en haleine durant deux ans.

Seulement voilà : huit ans après les attentats du 11-Septembre, les « preuves claires et indiscutables » de la culpabilité d’Al-Qaeda n’ont toujours pas été transmises par les États-Unis au Conseil de sécurité des Nations-Unies, qui d’ailleurs a oublié de les exiger. Pis, plus personne ne considère Al-Qaeda comme une organisation structurée, mais on en parle désormais comme d’une vague et impalpable « mouvance » ; la plus grande armée du monde n’a toujours pas retrouvé Oussama ben Laden et la CIA a dissous la cellule chargée de sa traque ; le pacte secret entre l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord apparaît comme un conte à dormir debout et plus personne n’ose évoquer d’Axe du Mal ; l’ex-secrétaire d’État Colin Powell a admis publiquement que les informations qu’il a présenté au Conseil de sécurité étaient des balivernes ; enfin l’état-major US ne cesse de solliciter l’aide bilatérale de la Syrie et de l’Iran pour gérer le bourbier irakien. Pourtant, le « diplomatiquement correct » exige que tout le monde continue à faire comme si les choses étaient limpides, comme si un illuminé barbu, terré dans une grotte en Afghanistan, avait pu blesser au cœur le plus grand empire de l’Histoire et échapper à sa vengeance.

Tout le monde ? Pas tout à fait. En premier lieu les dirigeants des États concernés, en Afghanistan, Irak, Syrie, Iran et Corée du Nord ne se sont pas contentés de démentir toute responsabilité dans les attentats, ils ont explicitement accusé le complexe militaro-industriel US de les avoir lui-même organisés et d’avoir délibérément assassiné 3 000 de ses concitoyens. En second lieu, les dirigeants d’États en froid avec Washington, comme le Venezuela et Cuba, ne se sont pas gênés pour ridiculiser la version bushienne de ces événements. Enfin, les dirigeants des États qui entendent conserver de bonnes relations avec Washington sans pour autant avaler stoïquement tous ses mensonges ont affirmé que les attaques de l’Afghanistan et de l’Irak n’ont pas de base juridique, tout en s’abstenant de se prononcer sur les attentats eux-mêmes. C’est le cas de pays aussi divers que les Émirats arabes unis, la Malaisie, la Fédération de Russie, et maintenant le Japon. On le voit, la liste des États sceptiques n’a rien à voir avec un clivage pro ou anti-US, mais avec l’idée que chacun se fait de sa souveraineté et des moyens dont il dispose pour l’affirmer.

JPEG - 11.7 ko
Le 11 janvier 2008, la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Chambre haute du Japon refuse d’envoyer de nouvelles troupes en Afghanistan après que le conseiller Yukihisa Fujita ait dénoncé les mensonges US du 11-SEptembre.

Que s’est-il donc passé le 11-Septembre ? Les journalistes n’étant pas astreints à la même réserve que les diplomates, nous allons vous le révéler.

Gros budget hollywoodien, mais scénario bâclé

Selon la version officielle, un islamiste diabolique, Oussama Ben Laden, qui reproche aux « infidèles » états-uniens d’avoir souillé le sol sacré d’Arabie saoudite en y installant des bases militaires, organise une opération terroriste de très grande envergure, avec des moyens matériels insignifiants, mais en recourant à un commando de 19 fanatiques.

Il réside dans une grotte aménagée, digne des films de James Bond. Il infiltre ses kamikazes aux États-Unis, comme dans le film de Chuck Norris à l’intrigue et au titre prémonitoires Ground Zero.
Quatre d’entre eux suivent une formation dans un club d’aviation. Ils négligent les cours sur le décollage et l’atterrissage pour se concentrer exclusivement sur la direction des appareils en vol. Le jour dit, divisés en quatre équipes, les fanatiques détournent des avions de ligne en menaçant d’égorger les hôtesses de l’air avec des cutters à moquette.

A 8h29, American Airlines reçoit un appel radio se présentant comme émanant du personnel de bord du vol 11 (Boston-Los Angeles) informant du détournement par des pirates de l’air. La procédure officielle prévoit la notification immédiate par l’aviation civile à la Défense et le décollage de chasseurs-intercepteurs dans un délai maximal de 8 minutes. Mais lorsque 17 minutes plus tard a lieu le premier impact sur le WTC, les chasseurs n’ont toujours pas décollé.
A 8h47 le transpondeur du vol United Airlines 175 (également Boston-Los Angeles) est coupé. Son identification minéralogique disparaît des écrans radars civils où il n’est plus observable que comme un point. Cette opération donne l’alerte, sans qu’à ce stade l’aviation civile puisse savoir s’il s’agit d’une avarie ou d’un détournement. Pourtant lorsque a lieu le second impact à 9h03, aucun chasseur n’a encore été envoyé pour établir un contact visuel.

À 8h46, un Boeing 757 s’écrase sur la tour nord du WTC. L’avion percute le centre millimétrique de la façade. Sachant qu’elle fait 63 mètres de large et que sa vitesse est supérieure à 700 km/h, la précision de la manœuvre se joue à 3 dixièmes de secondes ; un exploit dont très peu de pilotes de chasse sont capables, mais qui aurait été réalisé par un apprenti-pilote. Le même exploit est réalisé une seconde fois à 9h03 avec un autre Boeing 757 sur la tour sud, qui plus est, dans le sens contraire du vent cette fois.

Au moment exact du second impact, un missile traverse le champ de vision de la caméra de la chaîne New York One. Il est tiré par un aéronef masqué par la fumée de l’impact et se dirige en diagonale vers le sol. On n’entendra plus jamais parler de ces images incongrues.

Les premiers témoins déclarent que les deux aéronefs qui ont percuté les tours sont des avions cargo sans fenêtre, mais les appareils sont plus tard assimilés aux vols réguliers AA11 et UA175. On ne dispose que d’une vidéo du premier impact, mais de six du second impact. Aucun agrandissement ne permet d’observer des hublots.

Par contre, les agrandissements permettent d’observer un objet sombre accroché sous chaque carlingue. La vision image par image des vidéos fait apparaître deux éclairs lumineux provenant des points d’impact juste avant que les appareils ne percutent les gratte-ciel. Les avions ne s’écrasent pas sur les façades, mais ils s’engouffrent à l’intérieur des bâtiments et y disparaissent totalement, les façades et les piliers intérieurs n’exerçant aucune résistance.

À 8h54, le vol American Airlines 77 (Washington DC-Los Angeles) modifie son trajet sans autorisation tandis que son transpondeur cesse d’émettre. Les radars civils perdent sa trace.

À 9h25, conscient d’un événement majeur, le centre de commandement de Herndon interdit le décollage de tout nouvel avion civil sur le territoire des États-Unis et ordonne à tous les avions civils en vol d’atterrir. Les vols transatlantiques sont déroutés vers le Canada. De son côté, le Port de New York ferme tous les ponts et tunnels reliant Manhattan.
Au même moment débute une vidéo-conférence de crise présidée par le conseiller anti-terroriste de la présidence, Richard Clarke. Elle réunit la Maison-Blanche, les département d’État, de la Justice et de la Défense. L’aviation civile et la CIA s’y joignent.

La journaliste vedette de Fox News, Barbara Olson, se trouve à bord du vol AA77. Avec son portable, elle téléphone à son mari, Theodore Olson, qui fut l’avocat de George W. Bush devant la Cour suprême et qui est devenu procureur général des États-Unis. Elle lui raconte comment des pirates de l’air viennent de détourner l’avion et échange d’ultimes mots d’amour avec lui.
À 9h30, l’aviation civile déclare le vol AA77 manquant. Il se serait écrasé dans une réserve naturelle en Virginie occidentale sans jamais rencontrer de chasseurs de l’US Air Force.
Cependant, au même moment, un appareil non identifié, ayant les caractéristiques de vitesse et de maniabilité d’un aéronef militaire, est observé par les radars civils de l’aéroport de Dulles-Washington. L’engin pénètre dans l’espace aérien protégé du Pentagone. Les batteries automatiques de contre-missiles qui protègent le bâtiment ne réagissent pas. Après avoir opéré un virage à angle droit pour contourner un échangeur routier, l’engin pénètre dans le Pentagone, perfore le blindage de six murs d’enceinte et explose, tuant 125 personnes. Les témoins décrivent un missile. Les horloges du bâtiment restent figées, indiquant 9h31.
Un quart d’heure plus tard, la partie endommagée du bâtiment s’effondre. Présent sur le lieu de l’attentat, le correspondant de CNN témoigne qu’il n’y a aucune trace d’avion sur place. Puis CNN montre le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld aidant personnellement les secouristes à évacuer un blessé en portant une civière. Peu après, il indiquera à ses collaborateurs être entré dans le bâtiment en flammes et y avoir vu l’épave d’un Boeing. Le missile sera donc assimilé au vol AA77 manquant.

JPEG - 30 ko
Le secrétaire à la Défense des États-Unis, Donald Rumsfeld, déserte son poste pour aller porter secours aux victimes (document CNN, M. Rumsfeld est au centre en complet veston, aidant à porter une civière).

La Maison-Blanche reçoit un appel anonyme utilisant les codes de transmission ultra-secrets de la présidence des États-Unis. Le correspondant déclare parler au nom des assaillants. Il indique que la Maison-Blanche sera la prochaine cible.
À 9h35, Richard Clarke active le programme de continuité du gouvernement. Le président Bush, qui était en visite politique dans une école élémentaire de Floride, interrompt son programme et rejoint l’avion présidentiel, Air Force One. De son côté, le vice-président Cheney est emmené dans le bunker anti-atomique de la Maison-Blanche. Tous les parlementaires et ministres sont contactés pour être mis à l’abri dans des bunkers prévus à cet effet.

À 9h42, la chaîne ABC diffuse en direct des images du feu qui ravage deux étages de l’annexe de la Maison-Blanche abritant les bureaux des collaborateurs du président Bush et du vice-président Cheney. Les autorités ne donneront jamais la moindre explication de cet incendie qui a depuis disparu de la mémoire collective. Des équipes armées de lance-roquettes sont déployées autour des bâtiments de la présidence pour prévenir tout débarquement de troupes aéroportées. Tout se passe comme si l’on craint un coup d’État militaire.

À 9h24, l’aviation civile reçoit un message de l’équipage du vol United Airlines 93 (Newark-San Francisco) l’informant d’une intrusion dans le cockpit. La communication étant vite interrompue et le transpondeur cessant d’émettre, le vol est considéré comme détourné. À 10h03, le Boeing disparait des écrans civils. Il aurait explosé en vol ou se serait écrasé en Pennsylvanie. Sur place on relève un grand cratère vide et des débris éparpillés sur plusieurs kilomètres.

Donnant une conférence de presse tout en marchand dans les rues de Manhattan, le maire de New York Rudy Giuliani évoque un possible effondrement des tours jumelles et demande de les évacuer.

À 9h58, un explosion survient à la base de la tour sud du WTC et dégage un immense nuage de poussière. Puis de plus petites explosions détonnent dans le bâtiment de haut en bas, dégageant latéralement de petits nuages de poussière. En dix secondes, le bâtiment s’effondre sur lui-même noyant tout Manhattan sous la poussière.

Les bâtiments des Nations Unies à New York et ceux des ministères à Washington sont évacués. On craint qu’ils soient les prochaines cibles.

À 10h28, la tour nord du WTC s’effondre selon le même schéma.

L’État d’Israël ordonne la fermeture de toutes ses missions diplomatiques dans le monde (10h54).

Vers 11h00, l’ordre d’évacuation d’un autre bâtiment du WTC, la tour n°7, est donné. Ce gratte-ciel n’a pas été touché par les avions et pendant longtemps les autorités ne lient pas son effondrement aux attentats, au point qu’il ne sera pas même évoqué dans le rapport final de la Commission présidentielle.

À 13h04, les chaînes de télévision diffusent un court message enregistré du président Bush. Il garantit à ses concitoyens que la continuité du gouvernement est assurée et que le pays sera défendu.

À 13h30, l’état d’urgence est proclamé à Washington DC, tandis que le Pentagone place deux porte-avions et leurs flottes en état d’alerte maximum pour prévenir un débarquement naval ennemi au large de Washington. Les États-Unis se pensent en situation de guerre.

À 16h00, CNN confirme que les autorités US ont identifié le Saoudien Oussama ben Laden comme étant le commanditaire des attentats. Il ne s’agit donc ni d’un coup d’État, ni de la Troisième Guerre mondiale.

À 17h21, la tour n°7 du WTC s’effondre selon le même schéma que les tours jumelles, mais en 6 secondes et demi car elle est moins haute.

À 18h42, Donald Rumsfeld donne une conférence de presse au Pentagone, encadré par les leaders républicains et démocrates de la Commission sénatoriale de la Défense. Ensemble, ils réaffirment l’unité nationale dans ce moment tragique. Soudain, Rumsfeld prend le sénateur Carl Levin à partie et lui demande si les événements du jour suffisent à le convaincre d’augmenter les dépenses militaires.

Le soir du 11 septembre, les dégâts sont très difficiles à évaluer. On évoque 40 000 morts. À 20h30, le président Bush s’adresse à la nation depuis la Maison-Blanche. Il assure que la menace est écartée et que « l’Amérique » fera front à ses ennemis. Les tambours de la guerre commencent à résonner.

La destruction contrôlée du World Trade Center

Tous ces événements suscitent une forte angoisse et se succèdent trop rapidement pour qu’on puisse à chaud en questionner la cohérence. Nous allons revenir sur les principaux points troubles. Pour commencer : pourquoi les tours jumelles et la tour 7 du WTC se sont-elles effondrées ?

Plus que le choc des avions sur les tours jumelles, c’est la combustion de leur kérosène qui aurait fragilisé les colonnes métalliques des tours jumelles et provoqué leur effondrement, affirment les experts du NIST (Institut national des normes et des techniques). Et c’est la contagion de l’incendie à la tour n°7 qui aurait provoqué ce troisième effondrement, ajoutent-ils.
Or, cette théorie fait sourire les professionnels : les tours jumelles étaient conçues pour résister au choc d’un avion de ligne ; le feu de kérosène n’a atteint une température comprise entre 700 et 900° Celsius, alors que l’acier doit être porté à 1538° pour fondre ; de nombreux gratte-ciel ont été dévastés par des incendies dans le monde, aucun ne s’est jamais effondré ; les trois tours ne sont pas tombées sur le côté, mais exactement à la verticale ; enfin et surtout la vitesse d’effondrement est celle de la chute libre, c’est-à-dire que l’étage supérieur n’a rencontré aucune résistance en tombant sur le sol, chaque étage inférieur s’étant dérobé sous lui avant qu’il ne puisse y exercer de pression.

Les pompiers de New York sont formels : ils ont entendu et vu une série d’explosion détruisant les buildings de haut en bas. Ces témoignages sont corroborés par les vidéos et les bandes sonores.

En définitive, Niels Harrit, professeur de chimie et physique à l’université de Copenhague, a publié dans le très sérieux Open Chemical Physics Journal une étude montrant la présence à Ground Zero de particules d’un explosif militaire, la nanothermite.
Les explosifs ont été placés par des professionnels de telle sorte qu’ils ont d’abord coupé la base des colonnes métalliques, puis qu’ils les ont détruites étage par étage de haut en bas. Sur les photos prises dans les jours suivant, on voit que les colonnes métalliques ont été sectionnées en biais de manière très propre et n’ont aucunement été déformées par la chaleur.

Contrairement à la procédure d’investigation judiciaire, les morceaux des colonnes métalliques n’ont pas été conservés pour expertise. Ils ont rapidement été déblayés par l’entreprise de ferraillage de Carmino Agnello, le parrain du clan mafieux des Gambino, puis revendus sur le marché chinois.

Concernant la tour n°7, le promoteur immobilier locataire du WTC, Larry Silverstein, a indiqué dans une interview télévisée qu’il avait été avisé de sa chute possible et qu’il avait autorisé sa démolition. M. Silverstein s’est rétracté depuis, mais la vidéo de sa déclaration demeure.

La tour n°7 abritait divers services administratifs, dont le PC de crise de la mairie de New York et la principale base de la CIA en dehors du siège de Langley. Cette base, initialement installée pour espionner les missions étrangères à l’ONU, s’était spécialisée sous la présidence Clinton dans l’espionnage économique des grandes sociétés de Manhattan. Dans l’hypothèse où l’opération du 11-Septembre aurait été commandée depuis ce site, sa destruction a définitivement éliminé toute preuve matérielle de la conspiration.

Un mois et demi avant les attentats, Larry Silverstein, trésorier des campagnes électorales de Benjamin Netanyahu, avait fait une mauvaise affaire en louant le WTC alors que les immeubles isolés à l’amiante ne correspondaient plus aux normes légales. Il a par contre eu un pressentiment bénéfique en souscrivant une police d’assurance originale prévoyant une prime en cas d’attentat terroriste, calculée non en fonction du seul préjudice, mais par attaque. Ainsi, considérant qu’il y avait eu deux attaques avec deux avions différents, il a réclamé et finalement obtenu un double dédommagement, soit 4,5 milliards de dollars.

Quoi qu’il en soit, l’installation de la nano-thermite dans les tours jumelles et la tour n°7 suppose des calculs complexes et une pose durant plusieurs jours, donc préalablement au 11 septembre. Cela ne peut être entrepris à l’insu des équipes de gardiennage du WTC.
La sécurité du WTC avait été déléguée par le promoteur Larry Silverstein à la société Securacom, dirigée par Marvin Bush, frère du président.

3 000 victimes

Le soir du 11 septembre, la mairie de New York évoquait un bilan possible de 40 000 morts et commandait en fonction de cette évaluation les matériels nécessaires à ses morgues. À l’issue de très nombreuses révisions, le bilan a heureusement été réduit à moins de 2 200 victimes civiles et 400 victimes parmi les personnels de secours. Parmi les morts, aucun des grands patrons ayant leur bureau dans les prestigieuses tours et, en définitive, bien plus de personnel de maintenance que d’employés de bureau. Comment ce miracle s’explique t-il ?

Vers 7h du matin, les employés de la firme Odigo ont reçu un SMS les avertissant qu’un attentat aurait lieu ce jour au WTC et qu’ils ne devaient donc pas se rendre à leur bureau situé face au WTC. Odigo est une petite société israélienne, leader en matière de messagerie électronique, étroitement liée à la famille Netanyahu et à Aman, le service de renseignement militaire israélien.

JPEG - 13.3 ko
Le financier Warren Buffet a sauvé la vie des grands patrons du World Trade Center, le 11 septembre 2001, ne les recevant au matin sur la base militaire d’Offutt. Ils furent rejoints l’après-midi par le président Bush. Buffet est devenu l’homme d’affaire le plus riche du monde.

Vers 8h, le financier Warren Buffet organisait dans son fief du Nebraska son petit déjeuner annuel de charité. Pour la première fois, il y avait invité systématiquement tous les grands patrons ayant un bureau dans les tours jumelles. Également pour la première fois, il n’avait pas reçu ses invités dans un grand hôtel, mais sur la base militaire aérienne d’Offutt, siège du commandement de la force de dissuasion nucléaire. Les philanthropes étaient arrivés la veille sur place en avion et avaient dormi dans la base. Ils avaient été informés au cours du petit déjeuner qu’un avion avait accidentellement heurté la tour nord du WTC, puis qu’un second appareil avait touché la tour sud. Ils comprirent alors qu’il ne s’agissait pas d’accidents, mais d’attentats, d’autant que le commandant de la base, le général Gregory Power, les quitta immédiatement pour rejoindre son PC de crise. L’espace aérien US ayant été bientôt fermé, les invités ne purent retourner à New York et restèrent dans la base.
Après le 11-Septembre, le financier Warren Buffet est devenu l’homme d’affaire le plus riche du monde en alternance avec son ami Bill Gates. Il a mené campagne pour Barack Obama, mais a refusé de devenir son secrétaire au Trésor.

En début d’après-midi, Air Force One atterrit à son tour sur la base militaire aérienne d’Offutt. Le président Bush rejoignit le PC de crise d’où il participa à la vidéo-conférence avec la Maison-Blanche et les diverses agences concernées. Il y enregistra aussi sa première intervention télévisée.

Dans les minutes qui suivirent le premier impact, les services d’urgence de la FEMA (agence de gestion des situations de catastrophe) se déployèrent sur le site. Par un heureux hasard, ils étaient arrivés la veille à New York et s’apprêtaient à conduire le lendemain au WTC un exercice de simulation d’attaque biologique ou chimique. Tous les services d’urgence furent donc immédiatement actifs, sauvant de nombreuses vies. La FEMA était dirigée par Joe Allbaugh, trésorier de la campagne électorale de George W. Bush et futur responsables des appels d’offre publics en Irak occupé.

Le missile du Pentagone

Les batteries automatiques de contre-missiles du Pentagone n’ont pas réagi à l’entrée d’un aéronef dans l’espace aérien sécurisé. Ceci peut s’expliquer de deux manières : soit elles étaient débranchées laissant le bâtiment sans défense, soit elles ont été inhibées par un code ami. Il existe en effet un code de reconnaissance qui permet aux hélicoptères du ministre et de l’état-major de pénétrer dans la zone sans risque.

Pour contourner un échangeur routier, l’aéronef a fait un virage à angle presque droit, puis il est allé percer le Pentagone dans l’aile la plus éloignée des bureaux du ministre. La zone atteinte était destinée à deux affectations. D’une part des bureaux en cours de réfection pour l’état-major de la Marine et d’autre part des bureaux affectés au contrôleur financier général. Des personnels principalement civils y menaient une enquête sur le détournement de fonds du siècle dans le budget de la Défense. Ceci explique à la fois qu’il n’y ait pas eu d’officier supérieur parmi les victimes et que l’enquête sur les détournements de fonds ait été annulée faute d’archives pour la continuer.

Le missile a percé les murs blindés d’enceinte successifs et a explosé avec une extraordinaire violence dans le bâtiment. La chaleur était si intense que les pompiers ont utilisé des combinaisons amiantées pour s’avancer dans le feu. Ils l’ont combattu avec de l’eau, le fluide qui absorbe la plus forte chaleur massique. Ils n’ont pas eu recours aux retardateurs que l’on utilise pour éteindre les feux de kérosène et ont affirmé ne pas avoir vu quoi que ce soit qui évoque un avion ou du kérosène. Au demeurant et contrairement à son témoignage, une personne habillée en complet veston comme le secrétaire Rumsfeld ne pouvait s’approcher du cœur de l’incendie.

Par la suite, les autorités ont elles-mêmes détruit et reconstruit toute l’aile endommagée. Les gravois ont été déblayés par une entreprise spécialisée qui les a vitrifiés. Cette technique coûteuse est utilisée pour stabiliser des déchets contenant des particules radioactives. Selon toute vraisemblance, le missile était recouvert d’uranium appauvri pour percer le béton et le kevlar ; il contenait une charge creuse pour provoquer une brève explosion à très haute température.

Comme on le voit parfaitement sur les photos prises immédiatement après l’impact, le missile est entré dans le bâtiment sans endommager la façade. Il volait à ras-le-sol et est passé par une porte habituellement utilisée par des voitures de livraison. Il n’a pas abîmé les chambranles.

Les alentours du Pentagone sont surveillés notamment au moyen de caméras. L’aéronef a dû passer dans le champ de vision de plus de 80 d’entre elles. Les autorités ont refusé de rendre ces vidéos publiques et se sont contentées de quelques photos qui montrent l’explosion, mais pas l’aéronef.

La pelouse du Pentagone n’a pas été endommagée non plus. L’explosion a pulvérisé les voitures stationnées sur le parking et deux hélicoptères stationnés sur l’héliport. On a retrouvé quantité de débris métalliques, mais aucun ne correspondant à un Boeing, pas même des réacteurs. Les autorités ont fait grand usage d’une photo officielle montrant un débris d’environ 90 cm de long et portant d’un côté la trace d’une peinture spéciale utilisée en aéronautique et, de l’autre, peinte en rouge, blanc et bleu. Précisément au vu de cette décoration, les amateurs de puzzle constatent qu’elle ne correspond pas à une pièce de Boeing peint aux couleurs d’American Airlines. Il s’agit pourtant bien d’une pièce aéronautique. Elle provient probablement d’un des deux hélicoptères détruits.

Pour créditer la théorie du vol 77, le médecin général du secrétariat à la Défense a authentifié les restes humains des passagers du Boeing dans les décombres du Pentagone. Des urnes funéraires ont été remises aux familles des victimes précisant si ces restes humains ont été identifiés par les empreintes digitales ou par analyse ADN.
Cependant, par la suite, le Pentagone a justifié l’absence de débris du Boeing, y compris des réacteurs, par la chaleur extrême qui aurait gazéifié le métal. On ne voit pas dans ces conditions que des restes humains aient pu être conservés.

Avions détournés ou pilotes automatiques ?

La théorie des avions détournés se fonde sur l’assimilation des aéronefs impliqués à des avions de ligne et sur la divulgation de communications téléphoniques entre les passagers et le sol.

De nombreuses personnes ont témoigné avoir reçu des appels de leurs proches à bord des avions. On a ainsi reconstitué la prise en otage des hôtesses de l’air au moyen de cutters et la mutinerie des passagers à bord du vol UA93. Cette dernière a même donné lieu à deux films par Hollywood. Cependant, en 2006, lors du procès de Zacarias Moussaoui, suspecté d’avoir voulu se joindre aux pirates de l’air, le FBI a attesté que les appels téléphoniques entre des avions à haute altitude et le sol étaient impossibles avec la technologie de 2001. Les vérifications opérées ont montrés que tous ces témoignages sont faux, soit qu’ils aient été inventés, soit que les réceptionnistes aient été abusés.
Le FBI n’a fait aucun commentaire sur le cas de Theodore Olson, avocat de George W. Bush durant l’élection présidentielle, puis procureur général des États-Unis, qui avait témoigné avoir reçu deux appels de son épouse, la journaliste de Fox TV Barbara Olson, disparue avec le vol 77.

JPEG - 27.3 ko
Le procureur général des États-Unis, Theodore B. Olson, a menti en assurant avoir reçu deux coups de téléphone de son épouse depuis le vol 77. La journaliste de Fox aurait donné des détails sur la « prise d’otages ». Le FBI a révélé qu’aucune communication n’avait émané du téléphone portable de Barbara Olson.

Une hypothèse explicative peut être avancée en consultant des archives déclassifiées de Robert McNamara. En 1962, l’état-major interarmes des États-Unis proposa au président Kennedy une mise en scène pour justifier une attaque contre Cuba, l’opération Northwoods. Il s’agissait entre autres provocations de faire détruire en vol un avion de ligne états-unien par de faux Mig cubains.
Pour ce faire, l’armée avait récupéré deux Mig soviétiques dans un pays du tiers-monde et les avaient peints aux couleurs cubaines. Des figurants avaient été engagés. Ils devaient prendre un avion à Miami et l’on devait réaliser des films familiaux à cette occasion pour les utiliser ultérieurement dans les journaux télévisés. Une fois en vol, l’avion commercial devait couper son transpondeur pour que les radars civils ne l’identifient pas. Il pouvait alors être substitué à un avion sans passagers. Après que l’équipage ait sauté en parachute, l’avion devait continuer son vol en pilotage automatique puis être abattu par les faux Mig dans la baie de Miami devant des milliers de témoins. Pour crédibiliser l’affaire, l’état-major avait prévu de mettre en scène des conversations téléphoniques entre de faux espions cubains et de les faire intercepter par le FBI.

Appliqué au 11-Septembre, ce modèle permet d’expliquer la coupure des transpondeurs, les faux appels téléphoniques et l’absence de hublots aux avions qui ont percuté le WTC. La nouveauté est qu’en 2001, le Pentagone n’a plus besoin d’équipage pour faire décoller un Boeing 757. Il a la capacité technique de le faire décoller en mode drone. L’opération est plus souple.

Sur les lignes intérieures US où les vols sont très fréquents, les compagnies aériennes vendent plus de billets qu’elles n’ont de places. Les passagers attendent jusqu’à ce qu’on leur trouve une place libre dans un avion. Pourtant les quatre avions prétendument détournés n’étaient remplis qu’au tiers de leur capacité.
L’étude détaillée des listes des passagers réalisée par le quotidien iranien Kheyan montre que tous les disparus sont des familles d’employés du secrétariat à la Défense, de sociétés contractantes du Pentagone ou encore des proches de la Maison-Blanche comme Barbara Olson.

L’hypothèse d’un avion de ligne s’écrasant accidentellement sur le toit du Pentagone (et non pas frappant sa façade) a été étudiée dans les années 90. Le secrétariat à la Défense a même organisé plusieurs simulations sous la direction du commandant Charles Burlingam. Par la suite, cet officier a quitté le service actif et est devenu pilote de ligne chez American Airlines. C’est lui qui était aux commandes du vol 77 censé avoir touché le Pentagone.

Sans avions détournés, pas de pirates de l’air

Dans les trois jours qui suivirent les attentats, le département de la Justice, s’appuyant sur les indications données par les passagers par téléphone, établit le modus operandi des pirates de l’air, les identifia et reconstitua toute leur vie. Ainsi, c’est l’appel téléphonique d’un steward du vol AA11 qui permit de savoir que les pirates étaient au nombre de cinq dans cet avion et que leur chef était le passager du siège 8D, Mohammed Atta.
Mais nous savons aujourd’hui que ces appels téléphoniques sont des faux et que les avions n’ont pas été détournés, mais substitués. Plus désagréable, les listes des passagers fournies par les compagnies d’aviation dans les heures suivant les attentats montrent qu’aucun des 19 présumés pirates n’a embarqué.

JPEG - 20.7 ko
Le secrétaire à la Justice, John Ashcroft, a menti en désignant 19 pirates de l’air. Aucun des suspects ne figure sur les listes d’embarquement des compagnies aériennes.

Il existe cependant une « preuve » que Mohammed Atta se trouvait à bord de l’avion qui percuta la tour nord. Quelques jours plus tard, alors que le WTC n’était plus qu’un tas de ruines fumantes, un agent de police y découvrit le passeport intact du pirate. Tout avait été détruit sauf la pièce à conviction providentielle.
Ce rebondissement paraissant peu crédible, l’administration Bush diffusa les images d’une caméra de surveillance d’aéroport montrant Atta et son compagnon al-Omari à l’embarquement. Las ! Ces images ont bien été tournées le 11 septembre 2001, mais à l’aéroport de Portland où les deux hommes auraient transité et non pas à celui de Boston d’où a décollé le vol AA11.
Jamais à court d’idées, le Sunday Times de Rupert Murdoch publia en 2006 une vidéo aimablement fournie par le département US de la Défense, datée de 2000, et montrant Atta en Afghanistan dans un camp d’Oussama ben Laden.

L’examen de la liste officielle des pirates de l’air kamikazes ne lasse pas de surprendre. Certains individus se sont manifestés après les attentats. Par exemple, Walid al-Asheri, qui aurait fait partie de l’équipe d’Atta dans le vol AA11, est un pilote de ligne de Royal Air Maroc. Il vit à Casablanca où il a donné plusieurs conférences de presse jusqu’à ce que le palais royal lui demande de se montrer plus discret.
Cependant 13 des 19 présumés pirates sont des mercenaires ayant participé préalablement à des opérations terroristes organisées par le prince Bandar bin-Sultan pour le compte de la CIA en Afghanistan, en Bosnie-Herzégovine et/ou en Russie. Il s’agit de Khalid Almihdhar, les frères Salem et Nawaf Alhazmi, Ahmed Alhaznawi, Ahmed et Hamza Alghamdi, Wail, Waleed et Mohand Alshehri, Ahmed Alnami, Fayez Ahmed Banihammad, Majed Moqed. Ils ont combattu aussi bien pour l’Émirat islamique des taliban que pour celui d’Itchkérie.
Le prince Bandar fut nommé ambassadeur d’Arabie saoudite à Washington par le roi Fadh dès qu’il monta sur le trône, en 1982, après l’assassinat de son prédécesseur par un prince toxicomane armé par la CIA. Il conserva cette fonction jusqu’à l’agonie du monarque, en 2005. Vite considéré par George Bush père comme un fils adoptif, il est connu dans le monde arabe sous le sobriquet de « Bandar Bush ». Disposant de facilités diverses, il géra durant une vingtaine d’années une sorte de caisse noire de la CIA alimentée par des pots-de-vin versés en marge de contrats d’armement, comme le célèbre contrat al-Yamamah impliquant les plus hautes personnalités britanniques. Il recruta également des mercenaires dans les milieux islamistes pour toutes sortes d’opérations secrètes dans le monde mulsulman, du Maroc au Xinkiang chinois.

Éludant les questions sur les présumés pirates de l’air, l’administration Bush a préféré focaliser les débats sur la personnalité d’Oussama ben Laden. Le célèbre golden boy saoudien était le frère de Salem ben Laden, l’associé à Houston de George W. Bush au sein de la société pétrolière Harken Energy. Il avait été recruté à Beyrouth par le conseiller national de sécurité US Zbigniew Brzezinski à la fin des années 70. Il avait alors intégré la Ligue anticommuniste mondiale et organisé le financement des moujahidin contre les Soviétiques en Afghanistan. Sa « Légion arabe » avait été ultérieurement utilisée sur d’autres théâtres d’opération, notamment en Bosnie-Herzégovine. Après avoir été une personnalité de la jet set, la CIA lui avait forgé une image de religieux fanatique pour servir de paravent aux actions du prince « Bandar Bush ». En effet, si aucun islamiste ne pouvait accepter de servir la monarchie corrompue et honnie de Fadh, beaucoup trouvèrent valorisant le fait de suivre le personnage Oussama ben Laden avec sa rhétorique intégriste et anti-occidentale. « Sheikh Oussama » n’en restait pas moins une pièce majeure de la CIA sur l’échiquier moyen-oriental. Un chef d’État arabe a confié en détail à l’auteur de ces lignes comment il lui avait rendu visite, à l’été 2001, à l’hôpital américain de Dubai, où il subissait un traitement lourd pour ses reins. Selon ce témoin privilégié, ben Laden recevait dans sa chambre en présence de ses collaborateurs de la CIA

En 2001, Oussama ben Laden était un inconnu pour le public US, excepté pour les fans de Chuck Norris qui avaient vu au cinéma son « Ground Zéro ». Pendant 8 ans, l’administration Bush distilla à la presse une série de casettes audio et vidéo du « sheikh » Oussama pour relancer le feuilleton de la guerre au terrorisme.
Dans l’une des cassettes les plus célèbres, il revendique avoir calculé comment deux Boeing pourraient provoquer l’effondrement des tours jumelles et avoir également commandité l’avion contre le Pentagone. Deux exploits que nous savons aujourd’hui imaginaires.
En 2007, l’Institut suisse d’intelligence artificielle Dalle Molle, considéré comme disposant de la meilleur expertise au monde en matière de reconnaissance vidéo et vocale, a étudié l’ensemble des casettes disponibles d’Oussama ben Laden. Il a conclu avec certitude que tous les enregistrements postérieurs à la fin septembre 2001 sont des faux. Ceci inclut la cassette des aveux.

JPEG - 22.9 ko
Le directeur central de la CIA, George Tenet, a menti en authentifiant des enregistrements audio et viédo d’Oussama Ben Laden postérieur à fin septembre 2001. L’Institut suisse d’intelligence artificielle Dalle Molle —dont l’expertise est reconnue par les tribunaux internationaux— a établi qu’ils sont tous faux.
Y a-t-il une armée aux USA ?

Cette accumulation d’éléments invalidant la théorie officielle de l’administration Bush ne saurait masquer le plus incongru : durant cette terrible journée, « l’armée la plus puissante du monde » a semblé impuissante, voire absente.

Alors que la procédure d’interception prévoit que les chasseurs doivent établir un contact visuel avec les avions détournés en quelques minutes, pas un seul d’entre eux n’a réussi à approcher un des avions détournés. Sommé de s’expliquer sur cette incurie et de rendre des comptes, le général Richard Myers, chef d’état major adjoint qui assurait la permanence durant le voyage en Europe de son supérieur, s’est mis à bredouiller devant les parlementaires. Il n’a pas été capable de se souvenir de son emploi du temps personnel et n’a cessé de se contredire.

JPEG - 26.6 ko
Frappé d’amnésie, le chef d’état-major inter-armes par intérim, le général Richard Meyers, a affirmé aux parlementaires ne pas se souvenir de ce qu’il a fait le 11 septembre.

Pourtant, l’armée était en état d’alerte ce jour-là. Elle avait planifié son plus important exercice annuel : Global vigilance. Il s’agissait d’un jeu de guerre simulant une agression par des bombardiers nucléaires russes passant par le Canada. L’exercice mobilisait toute l’armée de l’air et les moyens de surveillance satellitaire US. Il était dirigé depuis la base d’Offutt où se trouvaient Warren Buffet et ses amis patrons du WTC et où le président Bush se rendit dans l’après-midi.
Ce jour plus que tout autre, les avions de guerre US étaient dans les airs, leurs satellites étaient positionnés et leur état-major observait les avions civils pour éviter les accidents.

L’armée US n’était pas la seule sur le pied de guerre. Les états-majors des grandes puissances étaient eux aussi en alerte, observant et évaluant la démonstration de puissance US. Lorsque le cataclysme s’abattit sur les États-Unis, chacun chercha à en comprendre l’origine et à en suivre les péripéties.

En Russie, le président Vladimir Poutine tenta de joindre d’urgence son homologue US pour lui garantir que Moscou n’était en aucun cas impliqué dans ces crimes et prévenir ainsi une riposte injustifiée. Mais le président Bush refusait de prendre la communication comme si cette confirmation lui paraissait inutile. Le chef d’état-major interarmes russe de l’époque, le général Leonid Ivashov, commanda des études sur chaque point trouble au fur et à mesure qu’il était identifié. C’est l’effondrement vertical rapide des tours jumelles qui convainquit ses experts que le scénario officiel était un leurre cachant une vaste mise en scène. Trois jours après les attentats, il avait reconstitué l’essentiel du drame et pouvait affirmer qu’il s’agissait d’un affrontement interne entre dirigeants US. Selon lui, l’opération avait été commanditée par une faction du complexe militaro-industriel US et réalisée par une société militaire privée.

La révolte de l’esprit

Soumis à une propagande pesante incluant des deuils nationaux dans certains pays et des minutes de silence obligatoire dans l’Union européenne, l’opinion publique occidentale restait hébétée, incapable de réfléchir aux événements. Déjà les bruits de bottes résonnaient en Afghanistan.

Pourtant l’auteur de ces lignes commença à publier une série d’articles sur Internet pour questionner la version officielle. D’abord édités en français, ils furent bientôt traduits en diverses langues et firent débat. Un livre récapitulatif, L’Effroyable imposture, publié six mois plus tard et traduit en 28 langues initia un mouvement de contestation. En Allemagne l’ancien ministre Andreas von Bülow, au Portugal l’ancien directeur régional de la CIA Oswald Le Winter, au Royaume-Uni le politologue Nafeez Mosaddeq Ahmed, aux États-Unis l’historien Webster Tarpley publiaient de nouveaux éclairages. À partir de quoi la contestation évolua en deux directions simultanées.

L’auteur de ces lignes mena campagne dans le monde entier, rencontrant les plus hauts responsables politiques, diplomatiques et militaires et mobilisant des institutions internationales. Cette action permit d’expliquer le plan néo-conservateur de « choc des civilisations » et d’en limiter l’effet létal.

D’autre part, aux États-Unis, les familles des victimes, après avoir maudit la contestation, commencèrent à se poser des questions et à exiger une enquête. L’administration Bush menaça les trublions, comme le milliardaire Jimmy Walter contraint à l’exil, bloqua toute intervention du Congrès et constitua une Commission présidentielle. Celle-ci rendit un rapport qui conclut sans surprise à l’innocence de l’administration et à la culpabilité d’Al Qaeda, mais ne divulgua pas les « informations claires et indiscutables » tant attendues. Des amateurs réalisèrent des montages vidéo pour visualiser les incohérences de la version officielles et les diffusèrent via Internet, comme le célèbre Loose Change. Des associations professionnelles pour la Vérité sur le 11-Septembre se constituèrent : architectes et ingénieurs, pompiers, juristes, médecins, religieux, universitaires, artistes, politiques. Ils sont aujourd’hui des dizaines de milliers de membres et ont convaincu la majorité de leurs concitoyens que Washington ment. Ils se sont trouvé un leader, le professeur de logique et de théologie David Ray Griffin.

La propagande officielle anglo-saxonne est parvenue jusqu’à présent à limiter les effets de cette contestation. D’abord, elle s’est arrangée pour que le public occidental ignore tout du débat à l’échelle mondiale. Aucune des déclarations de chefs d’État ou de gouvernement étrangers exprimant des doutes n’a été relayée par la presse occidentale, isolée du reste du monde par un nouveau rideau de fer. Ensuite, les contestataires occidentaux ont été soit présentés comme des illuminés, soit assimilés à ce qui fait le plus peur, l’extrême droite antisémite.

L’élection du président Obama n’a pas fait évoluer le débat. Le site internet de la Maison-Blanche, qui invitait les citoyens états-uniens à faire connaître leurs préoccupations, a été assailli d’e-mails demandant l’ouverture d’une enquête judiciaire sur le 11-Septembre. Il y a répondu laconiquement : la nouvelle administration souhaite se tourner vers le futur et non remuer les douleurs du passé.
Durant sa campagne électorale Barack Obama a fait relire à l’avance tous ses discours par Benjamin Rhodes, un jeune écrivain qui est le rédacteur du rapport de la Commission présidentielle Kean-Hamilton. Il a veillé à ce qu’aucune allusion au 11-Septembre ou à ses protagonistes ne puisse ouvrir la boîte de Pandore. Rhodes est aujourd’hui à la Maison-Blanche et siège au Conseil de sécurité nationale. Tous les membres de l’administration Obama ont été priés d’abjurer les déclarations qu’ils avaient pu faire par le passé exprimant des doutes sur la version officielle. Un conseiller principal, Van Jones, qui a refusé de se dédire a été contraint à la démission.

Cependant, des événements de la plus haute importance rendent possible aujourd’hui une clarification sur les attentats. Le roi Fahd est mort en août 2005. Le roi Abdallah lui a succédé et a progressivement cherché à dénouer les liens étouffants du royaume saoudien avec les États-Unis. Dans un premier temps, le prince Bandar est devenu conseiller national de sécurité, mais ses relations avec le roi se sont détériorées. En définitive, au début de l’été 2009, Bandar aurait imprudemment tenté de liquider le monarque et de placer son père Sultan sur le trône. Depuis, on est sans nouvelles de « Bandar Bush » et de près de 200 membres de son clan, certains seraient exilés avec lui au Maroc, d’autres seraient emprisonnés. Les langues pourraient désormais se délier.

 Thierry Meyssan

Analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Dernier ouvrage publié : L’Effroyable imposture 2, éd. JP Bertand (2007).

Partager cet article
Repost0