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  • On vous prend pour des cons et j'en rajoute une couche...
 
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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 23:27

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 00:21

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Putain, six heure du mat....

 

J'ai pas eu le temps de me retourner, lorsque j'ai entendu le fracas de la porte enfoncée d'un coup de bélier, même pas. Une espèce de scarabée humain était déjà sur moi, son genou écrasant mon dos, qui criait :

 

- TES MAINS, TES MAINS DERRIERE LA TETE!....

 

Bin tu les veux mes mains, vas-y....

 

M'ont traîné, comme un sac, jusqu'a la voiture.

 

Moi, je me réveillais, je ne savais pas encore si c'était un cauchemard ou un délirium. Je me demandais ce que j'avais pu faire de mal.

 

Il m'ont jeté dans la camionnette. C'est bon, j'ai compris, je ne suis plus un humain, je suis un sac, une grosse merde que l'on trimballe...

 

Non, je n'ai pas eu peur. Pourquoi avoir peur?... De mourir?... J'avais bien plus peur de la souffrance que de la mort. La vie est bien plus intolérable que le trépas, tout être sensé le sait.

 

J'ai respiré, j'ai pensé aux paysages somptueux que j'ai vu, du haut de la tour de guet, en Dordogne, des magnifiques paysages hivernaux, en Auvergne, des vagues, sauvages, en Bretagne.

 

Lorsqu'on est arrivés, j'étais bien détendu, et les coups de matraque n'ont fait que me confirmer que j'étais bien, très bien.

 

Je saignais lorsque qu'on m'a présenté devant ce qui ressemblait à un juge.

 

- Vous avez enfreint à de multiples reprises la loi, en propageant de fausses informations sur Internet, en posant dans le geste de quenelle, et en multipliant les appels à la désobéïssance et en constituant un réseau de terroristes.

 

Je l'ai regardé, d'un oeil, car dans l'autre, du sang coulait de ma tempe... je n'y voyais plus rien.

 

- Vous avez quelque chose à dire pour votre défense? Il a rajouté.

 

Je n'ai rien dit, que dire? Je commençais à retrouver un semblant de conscience mais ce n'était pas bon. J'étais comme une mouche prise dans une toile d'araignée. Que dire?.... Il n'y avait absolument rien à dire.

 

J'ai été traîné et jeté dans un cachot, humide, froid, sans rien que le sol pour se lamenter.

 

Je crois que j'ai pleuré, mais je ne suis pas très sûr, tout est embrouillé, en ces moments là.

 

Les seules fois où je revenais à moi, je me contorsionnais, "non, pas possible, c'est pas vrai, c'est un cauchemard, j'ai rien fait"....

 

Mon sang, qui coulait encore, jusque dans la commissure de mes lèvres, me rappelait le goût de la réalité. Au bout d'un moment, et ces bâtards savent très bien combien d'heures il faut, je suis revenu à moi, lucide, dans ma pisse, ma merde, totalement inhumain, moins que rien.

 

Quelques heures après ma prise de conscience, ils m'ont sorti, re interrogé.... C'était plus violent que la première fois. Normal, j'étais plus vraiment humain. Il y a eu quelques gifles, mais pas grand chose, à vrai dire.

 

M'ont rejetté dans ma cellule, le cul merdique, sentant la pisse... Tout pour détruire l'humanité qu'il me restait.

 

J'ai pensé à tous ces paysages,  oubliant l'odeur... m'oubliant....

 

 

Une assiette s'est glissée sous la porte, et je me suis traîné vers elle. Un clair bouillon, de chausettes? avec un morceau de pain dur. J'ai laissé le bouillon et j'ai sucé le pain, très lentement. Je savais qu'il me permettrait de survivre.

 

Ils m'ont laissé là de nombreux jours, je n'ai pas pu compter, j'étais dans le noir. Mais je sais que j'ai vu presque tous les paysages de ma vie, de 40 ans de vie.

 

Ils m'ont attaché les mains sur la table et le même officier m'a demandé :

 

- On veut les noms de votre réseau.

 

Bordel, je n'avais aucun réseau, mais comment leur faire comprendre?... Je suis juste un chercheur, un bloggueur....

 

- Allez, faut nous dire, maintenant.

 

J'étais étrangement détendu. Je n'avais absolument rien à me reprocher. Puis, d'un coup, y a un militaire qui m'a écrasé un doigt d'un gros coup de marteau.

 

Alors oui, j'ai crié, de douleur et de surprise... Les extrémités, c'est ce qui fait le plus mal. J'ai hurlé, même, je pense.

 

J'ai regardé mon doigt et il n'y avait aucune goutte de sang, juste que l'os était brisé en trois ou quatre morceaux.

J'ai régardé celui qui tenait le marteau. C'était un jeune militaire, 20 ans à peine, blanc comme la pleine Lune... Je l'ai senti désolé, je ne lui en ai pas voulu.

 

- Je répète la question, à dit l'enculé en face de moi.

 

Je pouvais inventer des noms, je sais pas, ou donner des noms au hasard... Mais non, j'étais coupable de rien, pourquoi je dirais ces choses là.

 

- Je t'emmerde, fils de pute.

C'est tout ce qui m'est sorti de la bouche à ce moment là....

Il a fait un signe de la tête, et TAC, un autre doigt écrasé.

 

Cette fois, je m'y attendais, je n'ai pas crié. Bizarrement, la douleur a encore été plus forte. J'ai gémi, j'ai gardé le plus possible pour moi. Mais j'étais mal, très mal. Me restait 8 doigts à fracasser, et d'innombrables choses en mon corps.

 

Je pense qu'ils m'ont reconduit dans ma cellule pour réfléchir à tout ça.

 

Je n'avais plus de paysages à voir, alors j'ai pensé à mes Amours.

 

J'ai été surpris de les voir si nombreux. Est-ce cela, mon pêcher, Seigneur?

 

J'avais aussi de quoi penser, dans ce domaine. Non pas que j'ai été un coureur, mais que les relations, avec moi, ne devaient pas être évidentes, visiblement.

Trop réfractaire, trop libre, trop indépendant....

 

Ca m'a permis d'aimer de multiples façons, mais toujours sincèrement. Bien, je l'avoue, peut être pas assez profondément. Est-ce ce que je paye actuellement?

 

Je n'ai pas compté les jours, je ne pouvais toujours pas, mais c'est longtemps après qu'ils m'ont ressorti, absolument minable, moins que rien, de ma cellule.

 

L'officier avait un air enjoué. Il jonglait avec son stylo, entre ses doigts.

 

- Nous avons fait une erreur, ce n'était pas vous que nous recherchions.

 

Je l'ai regardé, j'étais épuisé. Tellement épuise que je n'avais même plus la force de le détester.

 

- Vous êtes libre.

 

 

Deux doigts, ça m'a coûté deux doigts... A mes petits enfants, je pourrais dire que je suis passé à deux doigts de la mort.

 

Mais moi, que dire de tout cela?...

 

 

Prendre ou ne pas prendre de risque ne vous préservera pas. Agissez avec votre coeur, tout le temps. Car lui seul pourra supporter ce que la Vie vous donnera à vivre.

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 16:47

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Je suis en train de finir de mettre cette nouvelle personnelle en PDF.

 

Je rappelle le principe, le prix est libre, vous faites un don ( en haut à gauche de la page de présentation du blog ) et vous recevrez la nouvelle par mail.

 

Ceux qui ont donné large pour la première nouvelle l'auront automatiquement en mail, avant la soirée.

 

La nouvelle fait à peu près 6 pages. Une histoire un peu policière, mais surtout loufoque...

 

Merci.

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1 janvier 2014 3 01 /01 /janvier /2014 17:19

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 14:26

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Fondamentalement, je suis humaniste.

 

Pas de la trempe révolutionnaire, je suis né 200 ans plus tard, mais celle des anarchistes, des années 70. J'Aime mon prochain, c'est comme ça, je n'y peux rien.

Par contre, je ne lui passe rien, comme je ne me passe rien.

 

Je suis plein de vices, d'ambiguités, une vrai Mécano, mais je sais par là où j'en suis passé, et ce n'est en rien facile.

C'est pour cela que j'ai des excuses pour mes semblables, comme pour moi même. Nous avons évolués dans une soupe de conditionnements violents et généralisés. Les années 70 et 80 ont été les pires... Les autres n'ont été que continuité.

 

Qui pourrais-je condamner de subir la propagande de cette époque, et de toutes les autres. rappellez vous comme ils sont allés, tous, la fleur au fusil, dans les charniers de 14-18. Pourtant, à l'époque, ils étaient bien plus instruits et intelligents que nous.

 

Non, je ne peux condamner personne.

 

Quand je suis en colère, c'est avant tout contre moi-même, contre l'humain, moi, nous, eux... Comme nous sommes faibles, friables, abandonnés.

 

Mais nous nous sommes nous mêmes abandonnés, car Dieu est là, et nous reçoit à l'Envie.

 

Non, Dieu ne viendra pas nous chercher. Le seul chemin est d'aller vers lui. C'est ce que nous avons oublié et c'est pour cela que nous en sommes là.

 

Aujourd'hui, j'ai compris.

 

Chaque être que je croise n'a qu'une envie, c'est d'aller vers Dieu.

 

Très peu le savent.

 

A moi, conscient, de faire mon travail. De leur rappeler.

 

Non pas par une "charia"... Juste parce que mon coeur, empli de Dieu, leur montrera le juste chemin.

 

Car la foi, jamais ne s'impose. Elle irradie... Elle se diffuse...

 

Celui qui l'impose par le fer mourra par le fer.

 

A bons entendeurs...

 

Le Salut.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 00:08

C'est un morceau de nous...

 

Un petit bout, un rien, un tout.

 

Mais loin d'elle, me sens rien.

 

C'est un petit bout de rien du tout.

 

Une branche, une racine,

 

Qui me tient de toutes ses forces.

 

Je l'Aime.

 

 

 

C'est un brin de femme,

 

Belle, sublime.

 

Un corps de fée, âme de sorcière.

 

Qui fait de mes fantasmes et de mes reves,

 

des coups de balais.

 

Je l'Aime.

 

 

 

Damain, je ne sais,

 

Mais j'ai une idée.

 

Et si on s'Aimait?

 

Tout simplement.

 

 

 

Si, de tout ça, on en revenait à l'essentiel.

 

Tout simplement.

 

 

Juste de l'Amour.

 

Juste....

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 00:01

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J'ai vu des paquerettes, des silènes.

 

Des petits robert, des véroniques.

 

Des graminés, des marguerites....

 

Mais je ne t'ai pas vu, ma fleur.

 

Pourquoi restes-tu invisible, ainsi, loin de mes yeux, de mon coeur?

 

C'est comme si tu n'avais aucun parfum.

 

 

Et je reste en attente, de ta douceur, de ta présence.

 

rêve éternel et sans visage.

 

Est ce que tout ceci est un rêve?

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 00:12

Nous avons tendance à croire que Dieu nous a laissé tomber, voyant toutes ces guerres, tous ces massacres et ces génocides perpétuels.

 

Il n'en est rien.

 

Dieu nous laisse le libre arbitre, et nous en faisons ce que nous voulons. Meurtrier ou créateur semble être le choix actuel...

 

Une petite minorité de l'humanité se laisse guider par Dieu. C'est ainsi que j'ai pu faire cela, il y a quelques temps.

 

Dans cette vidéo, aussi, Dieu est perceptible. Dans la position des mains du chanteur. Il les mets ostensiblement en position de réception.

 

Il est en totale harmonie, en totale réception du "Pouvoir".

 

Il n'est pas seul, il est "tout".

 

C'est cela, Dieu. C'est se mettre en position de recevoir la force Universelle... Unie vers celle...

 

La magie, c'est ça.

 

 

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 19:46

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Elle est de dos, fait face à la fenêtre.

 

L'orage gronde et elle surveille les alentours. Moi, je regarde ses formes. Je l'Aime...

 

Des éclairs surgissent mais nous restons tranquilles. Elle devant la fenêtre, moi, derrière, je la regarde.

 

C'est beau, une femme, devant la foudre.

 

C'est une symphonie, une armée en marche, destructrice, ravageuse... Rien ne repousse après.

 

Elle, que je ne connais pas encore, je l'Aime.

 

 

Elle est douce, sincère, honnête.

 

Belle comme une goutte de rosée sur une feuille de silène.

Droite comme une scarole,

Douce comme une feuille de pulmonaire.

 

C'est ma plante magique, médicinale, c'est mon Amour...

 

Je ne la connais pas encore mais je l'Aime. Je l'attends, elle arrive.

 

Je suis son abeille, elle est ma piste d'atterrissage.

 

C'est le printemps, je rêve...

 

 

Cette fleur, en fait, c'est mon âme, c'est ma vie.

Il suffit juste de faire éclore la graine intérieure. Nul besoin de femme, d'autrui. Tout se passe en nous même.

 

N'empêche que je l'attends quand même, mon âme soeur.

 

Mais qu'est ce qu'elle branle???...

 

L'orage gronde. Il n'y a personne devant la fenêtre.

 

Je ne faisais que rêver.

 

Mais en un éclair, tout peut changer.

 

Merci, Seigneur, pour tout le bonheur que tu me fais vivre. J'en veux encore et toujours.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 22:12

Rappel d'un texte d'il y a deux ans et qui m'a bien fait rire...J'espère qu'il en sera de même pour vous.

 

 

 

 

Lorsque je les ai vus sur le bord de la route, je me suis dis "té, c'est pour ma pomme!"...

Bah, j'avais bu que deux bouteilles de Jack au p'tit dej, normal, pas de quoi paniquer.
En effet, le bleu se met au milieu de la route et me fait signe de me garer.

-"Bonjour Monsieur, Gendarmerie Nationale."
-"Bonjour Monsieur." J'ai toujours été très poli avec les forces de l'ordre, mieux vaut les avoir dans la poche que d'être dans leur fourgon.
-"Contrôle d'alcoolémie, il a dit en sortant l'éthylomètre, vous avez consommé quelque chose?"
-Ho, si peu," j'ai répondu.

Quand il a vu le résultat, ses yeux se sont agrandis, on se serait cru dans un Tex Avery.
-Vos papiers, s'il vous plait, descendez du véhicule."
J'ai tendu les papiers, j'étais très calme.

-"Suivez moi jusqu'au véhicule, s'il vous plaît".
Je me suis exécuté, on marchait tranquille, il faisait beau, les oiseaux chantaient et les poulets sifflaient.
-"Damien Ferlin, ça me dit quelque chose," il me dit en me jetant un regard.
"C'est moi," j'ai répondu, un peu con, comme d'hab...

"Haaaaaaa, ça y est!!!!" Il avait un grand sourire sur la figure, j'ai trouvé ça rassurant. J'ai quand même fouillé quelques affaires louches du passé, vite fait, dans ma mémoire.
"Ferlinpimpim, c'est toi Ferlinpimpim, j'ai vu la photo du Kremlin, trop bon!"
"Et les gars, y a Ferlinpimpim qui est là!!!" il a crié à ses collègues. Toute affaire cessante, ils sont arrivés et m'ont tous serré la main avec un grand sourire.
J'étais bleu, du coup, moi aussi...

Les questions fusaient et j'arrivais pas à répondre à une en particulier. Puis un des gendarmes a dit :
"Il est à combien Ferlin?"
"2,14g" à répondu celui qui m'a contrôlé.
"Hahahahaha, fais voir, je suis sûr que je le pète!"

Je commençais à halluciner.
"Merci 1,84, bordel"....
"Et François, viens péter Ferlin!"
Il me regarde et me dit :
"François, c'est sur, il te pète!"
"J'en doute pas, j'ai répondu, sûr qu'il est bleu!"
"Hahahahaha, sacré Ferlin. Allez, souffle François!"

"Houuaaaaaaaaaaaaa 4,56, pété le Ferlin! Merci François, on peut toujours compter sur toi.
"Bon, fini de rire, tu vas où comme ça, Ferlin, avec 2 grammes 14?"
"Bin, je vais chez moi, m'occuper du blog"...
"Bon, suis nous, on va t'ouvrir la route. Allez, les gars, en voiture, on raccompagne Ferlin".

J'ai pas demandé mon reste, j'ai juste récupéré mes papiers et je suis monté dans ma voiture.
Le fourgon a démarré sur les chapeaux de roue, laissant un grand nuage de poussière.
François conduisait.
Au premier rond point, ils ont fait un tout droit. Le fourgon a décollé sur le terre plein et il est retombé sur le toit.

J'ai fait comme si je les connaissais pas, je suis passé en regardant de l'autre côté. J'ai juste jeté un coup d'oeil.
Ils bougeaient tous, devait pas y avoir de gros bobos.

Voilà, c'est tellement chiant de bosser tout seul, dans les vignes, que je suis obligé de me faire des histoires comme ça, juste pour passer le temps.

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