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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 14:47
La chrysomède du maïs ( dangereux parasite américain ) a t-elle été introduite en Europe
pour y justifier la culture de maïs génétiquement modifiée ?


La chrysomèle du maïs est un coléoptère américain qui cause des ravages très importants aux cultures intensives, principalement de maïs, outre-atlantique. Plutôt que d'utiliser des méthodes naturelles pour enrayer la prolifération de cet insecte, les USA ont préféré, en plus de l'usage d'insecticides chimiques, développer des maïs génétiquement modifiés qui produisent eux-même des poisons contre ces chrysomèles.Paradoxalement, un tel maïs OGM, le MON 863, qui fait, par ailleurs, beaucoup parler de lui pour des raisons sanitaire, a été planté en France dès 1999... alors qu'il n'y avait pas de chrysomèles sur ce territoire. Le "remède" a donc précédé l'introduction des chrysomèles à partir des USA, introduction elle-même fort étrange. On est par conséquent en droit de se poser des questions.....


Rappel sur la Chrysomèle du maïs
Ce coléoptère appartient au genre Diabrotica, qui n'existe naturellement qu'en Amérique et qui comporte 338 espèces connues, dont 7 sont des "ravageurs" de cultures. L'espèce qui nous intéresse ici est nommée Diabrotica virgifera.

Contrairement aux larves de la plupart des autres Chrysomèles, celles de diabrotica restent en sous-sol, se nourissant des racines des plantes qu'elles parasitent, ce qui, évidemment n'est pas bon pour les dites plantes. Les larves de Diabrotica virgifera s'attaquent principalement aux racines du maïs et, à un moindre degré, de blé, alors que les adultes sont moins spécifiques.

Comme pour la plupart des parasites des cultures, l'expansion de diabrotica virgiféra a été favorisée par les techniques agricoles productivistes, qui altèrent profondément le fonctionnement des réseaux naturels d'interactions. Les moyens de lutte contre cet insecte (qui coûte tout de même aux USA la bagatelle d'un milliard de dollars ! ) sont de deux types : rotation des cultures d'une part, biotechnologie de l'autre (insecticides et OGM).

Il est clair que quand on pratique la monoculture sur de très grandes surfaces, on crée des conditions idéales pour l'émergence de nouvelles formes parasitaires adaptées, qui prolifèrent ensuite sans frein. A oublier les règles essentielles du fonctionnement des systèmes naturels, organisés en réseau d'organismes variés en interaction, on ne peut que générer des problèmes, combattus à l'aide de solutions qui génèrent des problèmes, combattus à l'aide de...et ainsi de suite à l'infini.

l'essentiel de la lutte, aux USA, reste néanmoins l'usage d'insecticide, enfouis dans le sol au moment des semis, pour tuer les larves, ou pulvérisés par moyens aériens pour tuer les adultes. Quant à la "solution" OGM, elle mérite un petit chapitre particulier :

Maïs génétiquement modifié tuant Diabrotica virgifera
le principe général des OGM, est d'introduire dans le génome d'un organisme une série de séquences génétiques ("gènes") qui permettent ensuite à cet organisme et à sa descendance d'exprimer le ou les caractères souhaités par le manipulateur.

Bien entendu, ce faisant, comme on agit sur un milieu complexe et très mal connu, on peut obtenir des effets non souhaités, mais, comme le dirait notre confrère Kipling, ceci est une autre histoire... pour ce qui concerne les plantes génétiquement modifiées ( PGM ou PSGM) utilisées en agriculture, il s'agit pour l'immense majorité des cas de deux types de modifications :
- expression d'une tolérance à un herbicide total ( en pratique : glyphosate ou glufosinate) ce qui permet d'arroser le champ cultivé avec de l'herbicide, qui ne laisse vivant que la plante cultivée ;
- expression, dans les cellules de la plante, d'un insecticide visant à tuer l'insecte qui viendrait manger cette plante.

Bien entendu, on peut combiner les deux types dans une même plante et on ne s'en prive pas, ce qui, au passage, permet au consommateur d'avaler et de l'herbicide et ses dérivés métabloliques dont la plante est gorgée, et l'insecticide contenu dans cette même plante.

Pour ce qui concerne le maïs GM insecticide contre la Chrysomèle, il s'est tout d'abord agi du MON 8632 de la firme américaine Monsanto, suivi d'autres, depuis, qui produit dans ses cellules une toxine Bt, dite CRY3Bb1, la séquence génétique introduite dans le maïs pour cette toxine venant d'une bactérie. la toxine produite par le MON 863 étant active sur Diabrotica virgifera, l'insecte meurt lorsqu'il s'attaque à la plante ainsi modifiée (jusqu'à ce que des résistants apparaissent et ainsi de suite).

Ce maïs a été homologué par le Commission Européenne, après un vote pourtant majoritaire négatif des ministres de l'environnement européens, mais cette homologation a fait l'objet d'une certaine agitation, car les autorités françaises et européennes ont tout fait pour masquer des résultats très défavorables ( nombreuses anomalies biologiques) obtenus en nourissant des rats avec cet OGM.


Interrogations
Mais pourquoi donc vouloir, en Europe Unie, faire homologuer un maïs résistant à un parasite strictement américain ? Citons le collectif 1000 Printemps sans OGM qui écrivait, sous le titre "parasite parachuté, OGM justifié" : "Exceptionnelle médiatisation, à la mi-juillet 2002, de l'homologation d'un maïs "anti-Chrysomèle". Jusque-là, l'homologation d'un OGM n'avait jamais été porté à la connaisance du grand public...Publicité d'autant plus étonnante que la Chrysomèle (parasite du maïs) était alors inconnue en France. Incroyable ! quelques semaines plus tard, le 19 août 2002, des Chrysomèles adultes sont repérées pour la première fois en France, autour des aéroports de Roissy et d'Orly. De nombreux médias soupçonnent qu'elles soient arrivées par avion (le remède avant la maladie ?).
En fait, à cette date, il s'agissait d'une homologation pour la commercialisation en U.E du maïs MON 863, par Monsanto. Mais, comme le souligne Gilles-Eric Séralini, expert pour l'Etat Français et l'U.E : " Monsanto a commencé à faire ses essais en France en 1999, alors qu'il n'y avait pas de Diabrotica. C'est surprenant, car, d'habitude, on teste des remèdes contre un prédateur déjà existant". Effectivement, on ne fait pas d'essais en plein champ pour une plante qu'on n'a pas l'intention de cultiver dans le pays où on fait l'essai !

Ces remarques et interrogations, reprises par d'autres, se trouvaient confortées par le fait que Diabrotica virgifera avait bel et bien débarqué en Serbie en 1992, pour atteindre l'Italie en 1998, la Suisse en 2000, la France en 2002 ( soit trois ans après les essais en pleins champs !), puis la Grande- Bretagne, la Belgique et les Pays-Bas.

En dehors du foyer initial, qui s'est largement étendu, il s'agit plutôt, ailleurs, d'infestations assez ponctuelles. Néanmoins, on estimait, jusqu'il y a peu, qu'à partir d'une introduction à proximité de l'aéroport de Belgrade, le parasite s'était étendu, même si certains esprits pernicieux faisaient remarquer que les foyers apparaissaient systématiquement près des aéroports, alors qu'une extension par la toute ou le rail est bien plus probable.

Un phénomène très inquiétant
Mais, voilà que le 11 novembre 2005, la célèbre revue scientifique Science publie une étude intitulée "Introduction transatlantique multiples de Chrysomèle du maïs ". Comme l'indique le titre, Diabrotica ne s'est pas étendue en Europe à partir du foyer serbe initial, mais a fait l'objet de plusieurs introductions distinctes à partir d'Amérique du Nord !

S'il est vrai que, globalement, des espèces invasives s'implantent un peu partout dans le monde, les insectes sont, en général véhiculés par des plantes importées, la plupart du temps par des plantes ornementales. L'augmentation du nombre et de la rapidité des échanges entre les différentes parties du monde entraînent une augmentation des introductions de nouvelles espèces invasives et ce phénomène est très inquiétant.
D'un autre côté, et suite notamment à l'introduction catastrophique en Europe du Phylloxera de la vigne en 1860 et du Doryphore en 1922, des mesures importantes de désinsectisation, quarantaine et surveillance ont été mis en place, ne cessant de s'améliorer. Dans ce contexte, on peut penser qu'après tout, ce qui nous arrive avec Diabrotica virgifera n'a rien que de très banal. Pourtant, si les tous petits pucerons et cochenilles semblent plus facilement réussir leur débarquement (ils représentent 64% des espèces exogènes), c'est plus difficile pour notre Chrysomèle, qui mesure tout de même plus d'un demi-centimètre et ne passe pas si facilement inaperçue.

Il faut, pour que l'introduction se fasse avec succès, soit importer de la terre avec des oeufs et les remettre ensuite dans des conditions favorables, soit, plutôt introduire des femelles fécondées, à la bonne période, pas trop loin d'un champ de maïs et que ces bestioles échappent aux insecticides, aux conditions de soute, aux quarantaines et aux contrôles. Bref, ce n'est tout de même pas si simple.

Accident ou Bioterrorisme ?

Mais le mieux est de comparer avec ce qui est à peu près comparable et dont on dispose, à savoir : le nombre de coléoptères venant d'Amérique du Nord (il y en a là-bas plusieurs milliers d'espèces) qui ont pu s'établir en France métropolitaine ( nous n'avons pas les données pour l'Europe entière). En se référant à une liste d'insectes ravageurs phytophages introduit de 1950 à 1997, on retrouve UN coléoptère, Reesa vespulae, introduit avec des graines. Une autre revue, précédemment citée, répertoriant les introductions en France d'insectes ravageurs ( tous genres et origines confondus) entre 2000 et 2005 ne signale qu'UN SEUL cas :notre Chrysomèle du maïs.

Voilà qui nous donne une idée de l'ordre de grandeur de ce qu'il se passe, sachant que de 1992 à 2004, au moins TROIS, probablement quatre implantations de diabrotica virgifera on eu lieu avec succès en Europe, voire plus, car tous les échantillons n'ont pas encore été analysés. En plus, le maïs n'est pas vraiment importé par avion.

Les auteurs des articles de la revue Science en question concluent du reste, avec toute la prudence qui convient : "notre étude soulève aussi des questions concernant les changements (tels l'adaptation des insectes ou les modifications des mesures de contrôle ou des pratiques de transport) qui ont permis une brutable et récente explosion des introductions transatlantiques des chrysomèles du maïs".

Alors, introduction accidentelle, très improbable, mais non totalement impossible, ou "bioterrorisme", selon les termes d'Antonio Fichetti ? A qui profite le crime ? Certes, on a bien vu la réponse, donnée aussi sur le site pro-OGM d'Internutrition, qui a écrit, après avoir relaté l'introduction en Suisse de la Chrysomèle : " Des plants de maïs génétiquement modifiés pourraient être une 'pièce de puzzle' dans une stratégie de défense globale. Elles ont la capacité de produire la protéine Bt dans leurs racines et de se protéger elles-mêmes contre le parasite". En précisant que ces plante OGM ne sont pas encore autorisées en Suisse...Quel dommage !

Mais attention : suspicion n'est pas preuve ! Le but de cet article n'est pas d'accuser mais de dresser une problèmatique et de bien montrer que quelque chose d'anormal se passe avec cette invasion de parasites d'outre-Atlantique. les enjeux sont tels, quelles que soient les modalités de ces introductions, qu'il est impératif que tout soit mis en oeuvre pour les éclaicir.

Dr. Frédéric Jacquemart
- Journal de la Fondation Franz Weber - n° 78

dormrf.free.fr/endofline/index.php/Chaos-mondial
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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 07:12
Les nanoparticules, des risques nouveaux pour la santé et l'environnement
Par Par Boris CAMBRELENG AFP - Jeudi 7 février, 22h50

PARIS (AFP) - Corollaires du développement des nanotechnologies, les nanoparticules s'infiltrent de manière inédite dans les organismes vivants, dont le corps humain, obligeant à revoir les mesures de prévention sanitaires pour les professionnels, voire les consommateurs, ont expliqué jeudi des experts.
Nano_CNRS_2.jpg

Les professionnels participant à l'élaboration ou la production de ces nouveaux matériaux, qui devraient être deux millions avant 2015, sont les plus exposés à l'inhalation de ces particules présentant au moins deux dimensions sur trois inférieures à cent nanomètres, soit un dix-millième de millimètre.

Avec des propriétés chimiques très diverses, les nanoparticules ont pour trait commun d'avoir une très faible masse mais d'occuper une surface proportionnellement considérable.

"Plus la matière est coupée en petits morceaux, plus elle est réactive et donc dangereuse", a prévenu Daniel Bloch, médecin du travail au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), au cours d'une conférence de presse à Paris de l'Observatoire des micro et nanotechnologies (OMNT), une structure de recherche commune au CEA et au CNRS.

Le principe est le même que "quand vous faites un plat en sauce et que vous mettez un oignon, vous l'émincez pour donner plus de goût", a expliqué M. Bloch.

Dans l'industrie, l'exposition aux poussières est traditionnellement mesurée à l'aide de la masse des particules, mais concernant les nanomatériaux, "la surface sera probablement un paramètre plus pertinent que la masse", a estimé ce spécialiste.

Selon M. Bloch, "les valeurs limites d'exposition professionnelle pourraient s'avérer trop élevées s'agissant des aérosols de nanoparticules". Heureusement, des moyens existent pour éviter l'exposition, les dispositifs efficaces pour les gaz l'étant aussi pour les nanoparticules.

Plus de 550 produits contenant ces nouvelles matières sont aujourd'hui commercialisés, un chiffre en rapide augmentation. Les substances les plus couramment utilisées sont l'oxyde de titane et l'oxyde de silice pour les crèmes corporelles.

"Le franchissement de la barrière cutanée ne se fait pas quand la peau est saine, mais elle est possible en cas de coup de soleil, par exemple", rappelle Francelyne Marano, directrice du laboratoire de cytophysiologie et toxicologie cellulaire de l'Université de Paris 7.

Certaines matières sont également utilisées dans l'alimentation, comme la silice colloïdale qui entre dans la composition du chocolat en poudre pour éviter la formation de grumeaux.

La capacité des nouveaux matériaux à passer des poumons dans le sang puis dans d'autres organes reste encore mal connue, souligne Mme Marano. Mais l'inquiétude est là car "on retrouve le type de conformation de l'amiante chez les nanotubes".

Et il semble établi que les nanoparticules peuvent provoquer à des concentrations élevées un stress oxydant, donc des inflammations.

Dans la nature, elles "peuvent transporter par gramme de grandes quantités de contaminants connus" tels l'arsenic ou les pesticides, a expliqué de son côté Jean-Yves Bottero, directeur du Centre européen de géosciences de l'environnement (CEREGE) d'Aix-en-Provence.

Par chance, leur impact à court terme est limité par le fait que "les nanoparticules semblent vite bloquées dans leur transfert et restent dans le sol sans atteindre la nappe phréatique", selon ce scientifique.

Mais il se peut qu'on ait "à faible dose, une altération masquée de l'ADN (patrimoine génétique) sur le long terme" et des effets sur la biodiversité.

fr.news.yahoo.com/afp/20080207/tsc-nanotechnologies-sante-environnement-c2ff8aa_1.html

 

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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 08:05
Jean-Marc Manach - InternetActu (licence CC)

En analysant en permanence l'activité cérébrale de chaque soldat, l'armée américaine espère obtenir une image plus fidèle des champs de bataille et une meilleure estimation de l'état de ses troupes. Cette étrange innovation pourrait aussi avoir des applications civiles...

folie.jpgLe projet de cognition augmentée (AugCog) de la Darpa (Defense Advanced Research Projects Agency), l’agence de recherche et développement de l’armée américaine, a donné pour mission à onze partenaires universitaires et industriels d’étendre la capacité de traitement des informations par les individus.

En novembre dernier, on apprenait ainsi l’existence du projet Honeywell Image Triage System (HITS, Système de tri des images). Son objectif : multiplier par six la vitesse de traitement des images par les analystes de l’armée grâce à des capteurs évaluant l'activité cérébrale des soldats afin d’identifier, dans les images, les zones les plus intéressantes.

Le système, qui combine électrocardiogramme, encéphalogramme et interface cerveau-ordinateur, peut également transmettre, sans fil, au commandement, une représentation visuelle des capacités des soldats : état de santé, physique et émotionnel, conditions environnementales, fatigue, distraction, surcharge d’information, etc.

Trop d'informations pour un simple soldat ?

L’objectif est d’ajuster les informations qui lui sont envoyées en fonction de ces capacités, et de déterminer quels sont les signaux (audio, visuels, tactiles) qu’il intègre le plus vite, et au mieux. Mais AugCog vise également à permettre aux officiers de sélectionner ceux qui sont en bonne condition physique et mentale, ceux qui peuvent engranger encore plus d’informations et de stress, et identifier ceux qu’il convient d’écarter, voire de rapatrier.

Le problème, souligne en effet l’un des participants au projet, est que « les soldats subissent déjà un stress élevé lorsqu’ils sont au combat, et [que cela ne risque pas de s’améliorer quand] nous les bombardons [sic] d’informations au sujet des positions ennemies, de la météo, des systèmes d’armes et des plans de mission ».

Honeywell se plaît à rappeler qu’elle a une longue expérience en matière d’évaluation du facteur humain, et que ses innovations pourraient également servir en matière médicale ou spatiale, entre autres activités commerciales. On n’ose imaginer ce que cela entraînerait en matière d’examen scolaire, d’entretien d’embauche, de mesure de la performance des employés ou encore de lutte contre le chômage...

www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/high-tech-4/d/larmee-veut-lire-dans-le-cerveau-de-ses-soldats_14500/

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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 20:20
Une vaste étendue du Pacifique, grande comme deux fois les USA, accumule 100 millions de tonnes de débris plastiques flottant entre deux eaux.

arton1658.jpg

Voir l'article en anglais sur:contreinfo.info/article.php3
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1 février 2008 5 01 /02 /février /2008 06:16
Le paysage australien a été profondément transformé depuis le début de la colonisation européenne. Cependant l'impact potentiel des changements de la couverture végétale sur le climat régional est rarement pris en compte dans les projections du changement climatique.

ozgoanna.jpgLe défrichement de la végétation indigène par les colons européens aurait rendu les périodes de sécheresse plus chaudes selon une étude réalisée par des chercheurs australiens de l'Université du Queensland, du Ministère des ressources naturelles et de l'eau de l'Etat du Queensland (Queensland Natural Resources and Water Department), du CSIRO et américain.

En utilisant un modèle développé par le CSIRO (CSIRO Mark 3 Coupled Climate Model) et des données satellites, ils ont montré que 150 années de défrichement ont contribué de façon significative au réchauffement et à l'assèchement du climat de l'Australie de l'Est. Le modèle incorpore des sous-modèles qui intègrent les différentes composantes du système climatique (océan, atmosphère, glace de mer et masses terrestres).

Les résultats des simulations numériques montrent les tendances statistiquement significatives suivantes :
- un réchauffement de la température de surface, spécialement pendant l'été dans l'est de l'Australie (0.4-2°C) et le sud-ouest de l'Australie Occidentale (0.4-0.8°C);
- une diminution des précipitations estivales moyennes dans le sud-est du pays (4-12%) et dans le sud-ouest de l'Australie Occidentale (4-8%), c'est-à-dire dans les deux régions les plus déboisées durant la colonisation européenne;
- et une augmentation de la température de surface d'environ 2°C dans l'est du pays pendant le phénomène climatique El Niño de 2002/2003.

Le remplacement de la végétation arborée indigène par des cultures et des pâturages a modifié le climat de façon significative dans l'est et le sud-ouest du pays. Le rôle modérateur de la végétation indigène sur les fluctuations climatiques a été sous-estimé.

Un document décrivant le modèle CSIRO Mark 3 peut être consulté à l'adresse internet suivante :
http://www.dar.csiro.au/publications/gordon_2002a.pdf
Gordon et al. (2002). The CSIRO Mk3 Climate System Model. CSIRO Division of Atmospheric Research Technical Paper, N° 60. 130pp

www.bulletins-electroniques.com/actualites/052/52453.htm
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 05:28

Si la calotte polaire est plutôt stable dans la partie est de l'Antarctique, il n'en va pas de même à l'ouest (NASA).


Un volcan subglaciaire serait en partie à l'origine de la diminution de l'épaisseur de la calotte à l'ouest du continent.Des glaciologues britanniques ont découvert un volcan sous un kilomètre de glace en Antarctique. Sa dernière éruption remonte à 325 avant notre ère et la chaleur qu'il dégage toujours accélère la glissade d'un glacier de 200 000 kilomètres cubes vers l'océan. En 2001, un morceau de 700 kilomètres carrés s'en était brusquement séparé.



C'est la première fois qu'on observe les traces d'une éruption subglaciaire en Antarctique. L'événement a pulvérisé la surface du glacier de l'île de Pine sur plusieurs centaines de mètres et envoyé un panache de fumée et de débris à 12 kilomètres d'altitude, selon les modélisations. Ce phénomène a été observé ailleurs sur la planète, notamment en Islande en 2004, quand le volcan Grimsvötn avait fait éruption de cette manière.

«À cause des sédiments géologiques, nous savions qu'une éruption est survenue vers 325 av. J.-C., à l'époque d'Alexandre le Grand, mais jusqu'à maintenant nous ignorions où», a précisé David Vaughan, de la Commission antarctique britannique, l'un des coauteurs de l'étude publiée dans Nature Geosciences. «Comme nos calculs montrent que l'éruption s'est produite dans les cinq derniers siècles avant notre ère, c'est probablement la bonne.»


Forme elliptique

Les débris de l'éruption sont situés à une profondeur de 100 à 700 mètres sous la surface de la glace. Des études précédentes avaient repéré leurs traces, mais on pensait jusqu'à maintenant qu'il s'agissait de la trace radar du sol. Avec un radar plus puissant installé dans un avion ayant survolé le site en 2004 et 2005, les glaciologues britanniques ont détecté la trace du vrai sol, plusieurs centaines de mètres en bas. La forme elliptique des débris a vite indiqué qu'il s'agissait d'une éruption volcanique et a permis aux chercheurs d'estimer qu'il n'y avait pas beaucoup de vent le jour de l'éruption. L'épaisseur de la couche de débris est très mince par endroits, seulement 0,3 millimètre. Le sommet d'une montagne qui atteint presque la surface du glacier est fort probablement le volcan lui-même.

Le « cercle de feu »

Plusieurs autres volcans se trouvent dans l'Antarctique-Occidentale, dont fait partie le glacier. Ils font partie du «cercle de feu» entourant le Pacifique, qui comprend aussi les volcans de Californie et d'Océanie. Les glaciologues britanniques estiment qu'ils accélèrent la fonte des glaces due au réchauffement de la planète dans cette région du continent, qui contient 2,2 millions des 25,4 millions de km3 de glace en Antarctique. Le glacier de l'île Pine contient environ 200 000 km3 de glace, ce qui en fait le plus important d'Antarctique-Occidentale.

source : http://www.cyberpresse.ca

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 19:15

Par Reid A. Bryson Ph.D., D.Sc., D.Engr., Professeur Emerite de Météorologie, de Géographie et de Sciences Environnementales, Université de Wisconsin, Madison.

[Reid Bryson est considéré comme le père de la climatologie moderne, auteur de 230 publications et 5 livres, climatologue le plus cité au monde selon le British Institute of Geographers]

Pas un jour ne se passe sans une nouvelle dans les médias contenant une référence à l'opinion de quelqu'un au sujet du "réchauffement global". Une recherche rapide par Internet dévoile littéralement des centaines d'articles sur le "réchauffement global". Chaque numéro de journal spécialisé sur la science atmosphérique contient normalement au moins un article sur le changement climatique, le plus souvent synonyme de "réchauffement global" ou certains de ses aspects. Des générations entières d'étudiants diplômés ont été formées à croire que nous connaissons le mécanisme principal du changement climatique et qu'il n'y a juste qu'à approfondir les détails. Pourquoi alors devrais-je vous ennuyer à parler de ce sujet avec un titre aussi ridicule ?

20246796_p.jpgJe fais cela parce que, en tant que quelqu'un qui a passé de nombreuses décennies à étudier le sujet dans le cadre professionnel, je trouve qu'il y a d'énormes lacunes dans le niveau de compréhension de ceux qui font des déclarations les plus stridentes sur le changement climatique. Pour lire les nouvelles de manière rationnelle, un lecteur éduqué a besoin de quelques notions clés pour faire un tri rapide entre ce qui carrément absurde et ce qui est probablement correct. Je propose de fournir ces clés pour que le lecteur ait au moins un détecteur d'absurdité rudimentaire.Quelques absurdités courantes :

  1. Le réchauffement atmosphérique du siècle dernier est sans précédent. FAUX. Il y a littéralement des milliers de publications scientifiques avec des données qui montrent que le climat a changé d'une manière ou d'une autre pendant au moins 1 million d'années.
  2. C'est un fait que le réchauffement du siècle dernier est d'origine humaine et dû aux émissions de CO2. FAUX. C'est une théorie qui n'a aucune preuve crédible. Il y a un certain nombre de causes du changement climatique et tant qu'on n'a pas pu exclure toutes les autres causes, on ne peut attribuer le changement au seul CO2.
  3. Le gaz le plus important avec un effet de serre est le CO2. FAUX. La vapeur d'eau est au moins 100x plus efficace que le CO2 donc de petites variations de la vapeur d'eau ont plus d'influence que de larges changements de CO2.
  4. On ne peut pas contredire les modèles informatiques qui prédisent l'effet d'un doublement du CO2 ou autre "gaz à effet de serre". FAUX. Pour démontrer cela, on devrait démontrer que les modèles sont capables au moins de reproduire le climat présent. Ils ne peuvent pas faire cela même en rêve. Il y a des études qui montrent que la plage d'erreur des simulations des précipitations est de l'ordre de 100% et que la simulation de la température actuelle donne des plages à peu près identiques à celles prédites suites à un doublement de CO2. Pour de nombreuses régions, l'erreur sur les précipitations est de 300-400%.
  5. Je prétends que les mesures de CO2 sont mal faites. FAUX. Les mesures de CO2 sont faites correctement mais c'est leur interprétation qui est le plus souvent anti-scientifique.
  6. Il y a en général un consensus des scientifiques que la cause du CO2 sur un réchauffement du climat est un fait. Probablement FAUX. Je n'ai pas le souvenir d'avoir vu un vote et je sais que si un tel vote était organisé pour ceux qui sont les plus activistes sur la question, cela concernerait une part importante de gens qui ne connaissent pas suffisamment le climat pour avoir une opinion crédible. Faire un vote est une manière risquée de découvrir la vérité scientifique.

Alors Que Pouvons Nous Dire au sujet du Réchauffement Global ?

  • Nous pouvons dire que la Terre s'est très probablement réchauffée au siècle dernier.
  • Nous ne pouvons pas dire quelle part de ce réchauffement est due aux émissions de "gaz à effet de serre" de l'homme tant que nous n'avons pas considéré d'autres facteurs comme les aérosols. La quantité d'aérosol dans l'atmosphère a été mesurée au siècle dernier mais à ma connaissance, les données n'ont jamais été utilisées.
  • Nous pouvons dire que la question des modifications d'origine humaine du climat est importante - trop importante pour être ignorée. Cependant, c'est devenu désormais une roue-libre médiatique et politique plutôt qu'un problème scientifique. Quel changement par rapport à 1968, l'année où je présentais un papier dans un congrès scientifique national où l'on me riait au nez pour avoir suggéré que l'homme pourrait changer le climat !
  • skyfal.free.fr/
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19 janvier 2008 6 19 /01 /janvier /2008 09:58
Par Laurent Sacco, Futura-Sciences

Les dernières données satellitaires concernant la fonte des glaces en Antarctique montrent que le processus est plus complexe que ne le pensaient les climatologues. Alors qu’une partie du « paradis blanc » de Michel Berger est restée stable, une autre fond à un rythme accéléré.

ngeo102-f1.jpgQuel sera l’impact du réchauffement climatique sur les calottes polaires ? Curieusement, la question agite toujours le milieu de la climatologie. Selon certaines simulations numériques, l’épaisseur de la couverture de glace en Antarctique devrait augmenter, même si une réduction de la surface occupée par celle-ci devrait se produire au cours du XXIième siècle. De fait, en 2005 une étude portant sur l’augmentation des précipitations neigeuses dans la partie Est de l’Antarctique semblait donner raison aux modèles numériques. Le rapport du Giec de 2001 concluait d’ailleurs déjà dans le sens d’une augmentation de la calotte polaire de l’Antarctique.

D’après une étude publiée dans Nature Geoscience, si la partie Est de l’Antarctique serait bien restée à peu près stable, il n’en serait pas de même de la partie Ouest. Le bilan général montre alors une fonte globale de l’Antarctique, malheureusement en train de s’accélérer, au moins dans la partie Ouest.

L'eau perdue en Antarctique :
trente fois la consommation de la Grande-Bretagne

Les chercheurs ont utilisé une technique d’interférométrie radar à partir de satellite pour mesurer précisément la vitesse d’écoulement des glaces. 85 % des côtes de l’Antarctique ont ainsi été étudiés à trois reprises, en 1996, 2000 et 2006. Le résultat est venu confirmer une précédente étude effectuée en 2006 sur une échelle de temps plus courte à partir de mesures gravimétriques.

La partie Ouest de l’Antarctique aurait ainsi perdu 132 milliards de tonnes de glace en 2006, soit 83 milliards de plus qu’en 1996. Pour se faire une idée du volume d’eau ainsi perdu, le professeur Jonathan Bamber, l’un des auteur de la publication de Nature et professeur à l‘Université de Bristol,  le compare à celui du volume d’eau  consommée en Grande-Bretagne : « 4 milliards de tonnes de glace, c’est assez pour fournir de l’eau potable pendant un an au pays ».

La part la plus importante de la perte de masse de l’Antarctique se situe au niveau de la mer d’Amundsen et de la partie nord de la péninsule Antarctique, qui a ainsi perdu 60 milliards de tonnes de glace en 2006. Or, il se trouve que ces pertes sont fortement corrélées à une accélération de l’écoulement des glaciers à ces endroits. Il semblerait donc que l’écart entre la prédiction des modèles numériques et les observations soit dû à une mauvaise compréhension de l’influence de la dynamique des glaciers sur le taux de fonte des glaces.

Les auteurs ne se prononcent pas vraiment sur l’évolution future du taux de fonte de l’Antarctique dans les décennies à venir, bien qu’ils envisagent un possible ralentissement dans un futur proche. En tout cas, ces dernières années, s'ils ont raison, le taux de fonte s’est accru de 75 % par rapport à 1996.

www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/terre-3/d/la-fonte-des-glaces-de-lantarctique-est-reelle-mais-mal-expliquee_14258/

 

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16 janvier 2008 3 16 /01 /janvier /2008 06:35

Au début 2007, on nous avait annoncé que l'année serait la plus chaude de l'Histoire. Mais que s'est il passé ? On n'a rien vu venir.

En entête des journaux avait paru il y a juste une année. « 2007 sera l'année la plus chaude » « les news de la BBC rapportèrent le 4 janvier 2007. Les experts du British government's Meteorological Office, les articles annonçaient que « le monde était susceptible de connaître l'année la plus chaude en 2007, » et surpasser le point le plus haut qui a été atteint en 1998. Une grande partie de la planète a connu le froid...
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En Amérique du Sud, par exemple, le début de l'hiver de l'année dernière a été un des plus froids jamais observés. Selon Eugenio Hackbart, le météorologiste en chef du centre météorologique de MetSul au Brésil, « une vague froide brutale a apporté des températures de baisses records, le gel s'est répandu, la neige, et la rupture principale d'énergie. » À Buenos Aires, il a neigé pour la première fois en 89 ans, alors qu'au Pérou le froid était si intense que des centaines de personnes sont mortes et le gouvernement a déclaré un état d'urgence dans 14 des provinces sur 24 du pays. En août, le Ministre de l'agriculture du Chili a déploré «C'est l'hiver le plus dur que nous avons vu depuis ces 50 dernières années, » qui a causé des pertes d'au moins $200 millions dans les récoltes détruites et le bétail.

Les Latino-américains n'étaient pas les seuls à trembler.

David Deming de l'University of Oklahoma geophysicist , un spécialiste dans l'écoulement de la température et de la chaleur, notes dans le Washington Times que « le froid amer et inattendu a balayé l'hémisphère sud entier en 2007. » Johannesburg a éprouvé ses premières chutes de neige significatives en un quart de siècle. L'Australie a eu son mois de juin jamais aussi froid. Les vignes de la Nouvelle Zélande ont perdu beaucoup de leurs récoltes en 2007 quand les températures ont chuté avec des baisses records.

Aux USA, 44.5 pouces de neige sont tombés au mois dernier au New Hampshire, brisant le précédent record de 43 pouces, depuis 1876. Et le gouvernement canadien prévoit l'hiver le plus froid en 15 ans.

Maintenant tout ceci peut être des anomalies météo de courte durée, les seuls à réclamer un réchauffement dramatique comme Al Gore et les alarmistes qui nous annoncent une menace mortelle que nous devons faire face. Mais et si les conditions glaciales qui ont provoqué tellement de détresses ces derniers mois signalent elles une ère imminente d'un refroidissement global ?

« Stocker des manteaux de fourrure et des bottes ! » conseille Oleg Sorokhtin, un camarade de la Russian Academy of Natural Sciences et d'un scientifique vétéran à Moscow's Shirshov Institute of Oceanography. « Les dernières données… indiquent que la terre a passé la crête de sa période plus la chaude, et une période de froid va s'installer très bientôt, d'ici 2012. »

Sorokhtin écarte la théorie conventionnelle du réchauffement global dû aux gaz à effet de serre, et plus particulièrement de l'anhydride carbonique d'origine humaine qui développe une Terre plus chaude. Comme un certain nombre d'autres scientifiques, il indique l'activité solaire - les taches solaires et les éruptions chromosphériques, qui cirent et s'affaiblissent avec le temps - et qui exerçent les plus grands effets sur le climat.

L'«anhydride carbonique n'est pas à blâmer pour le changement climatique global, » Sorokhtin écrit dans un article pour Novosti. « L'activité solaire est beaucoup plus puissante que l'énergie produite par la totalité de l'humanité. » Dans un article récent pour le centre spatial national danois, les physiciens Henrik Svensmark et l'Eigil Friis-Christensen concourent : « Le soleil… semble être l'agent principal forçant dans le changement climatique global, » disent ils.

Etant donné le nombre d'événements froids mondiaux, ce n'est avec aucune surprise que 2007 n'a pas été reconnue l'année la plus chaude. En fait, la température globale de 2007 était essentiellement identique à celle de 2006 - et 2005, et 2004, et chaque année de nouveau à 2001. De tous les enregistrements de toutes les années, 1998 n'a pas été surpassée. Depuis presque une décennie maintenant, il n'y a eu aucun réchauffement global. Quoique l'anhydride carbonique atmosphérique continue à s'accumuler - il est en hausse d'environ 4 pour cent depuis 1998 - la température moyenne globale est demeurée linéaire. Cela soulève quelques questions évidentes au sujet de la théorie que le CO2 est la cause du changement climatique.

Pourtant c'est tellement implacable ce scénario alarmiste et il est tellement dédaigneux de ces vues discordantes qui ont été écartés. Ainsi des millions de personnes supposent que Gore doit avoir raison quand il insiste : « Les discussions de la communauté scientifique sont terminées. »

Mais elle n'est pas. Juste le mois dernier, plus de 100 scientifiques ont signé une lettre ouverte,  exprimant fortement et précisant que le changement climatique est un phénomène normal bien connu, et que son adaptation est bien plus précieuse qu'on essait de l'empêcher. Puisque la taille des émissions d'anhydride carbonique signifie de retarder le développement économique, elles ont averti, « l'approche courante de l'ONU de la réduction de CO2 est susceptible d'augmenter les douleurs humaine du futur changement climatique plutôt que de la diminuer. »

La science du climat n'est pas une religion, et ceux qui contestent sa principale théorie ne sont pas des hérétiques. Il  reste beaucoup à se renseigner sur la façon dont et pourquoi fonctionnent les changements climatiques. Ce n'est ni une vertue ni une sagesse dans une précipitation émotive de se parer pour le réchauffement global surtout et particulièrement si ce qui vient est un grand froid global.

source : http://www.boston.com/

Traduction Adpatation de la Terre du Futur

www.laterredufutur.com/html/modules.php

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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 18:50

Le Soleil est la plus grande source d'énergie et la plus influente sur notre planète. Plusieurs années pourtant doivent passer pour établir le fait que le globe se refroidit réellement. Les années 2009-10 devrait établir que le refroidissement global a commencé. Ceci pourrait être comparable à terme au petit age glaciaire. Le GIEC vient de se réunir en Indonésie et les discussions continuent...

La Tamise était gelée pendant les hivers 1677, on y faisait de la patinoire et les marchés s'installaient sur la Seine qui était une banquise.

Les ministres de 180 pays, les membres du Panel intergouvernemental sur le changement climatique (IPCC ou GIEC) s'étaient réunis sur l'île de Bali, en Indonésie, durant les deux dernières semaines de 2007 pour discuter des questions cruciales du climat.

L'Emmy Hafild, directeur exécutif de Greenpeace de l'Asie du Sud-Est, a donné la tonalité des réunions avec ses remarques : Les « gouvernements savent que s'ils n'agissent pas sur le changement climatique, les coûts environnementaux, sociaux et économiques seront énormes. » 

Qu'est ce qui a provoqué le réchauffement global en premier lieu ? Était-ce l'anhydride carbonique et le SUV, les raisons les plus observées par le corps principal des spécialistes des Sciences Politiques du monde ? L'issue a été favorisée au nième-degré par des médias corrompus et malhonnêtes.

Là, on élève l'évidence que le soleil lui-même joue un rôle important dans le réchauffement et le refroidissement de la planète, cité par des douzaines de scientifiques honorables basés sur l'histoire des températures de milliers d'années climatiques.

Il semble toujours plus probable que le soleil lui-même, le donateur de toute l'énergie de la planète, contribue sensiblement aux cycles du réchauffement et du refroidissement de la Terre.

Quand le soleil est en activité avec les taches solaires et les orages solaires, plus d'énergie solaire atteint la Terre. Quand le soleil est "dormant" de tels orages, moins d'énergie est émise et les températures sur la Terre commencent à se refroidir.

Actuellement, le soleil approche un statut plus dormant, et les températures qui ont atteint un haut niveau, à la fin du XX eme siècle, sont maintenant stabilisés légèrement plus basses.

Dr. David Whitehouse, scientifique britannique, donne une vue d'ensemble dans l'indépendant BRITANNIQUE (news.independent.co.uk/sc) le 5 décembre 2007 : « Quelque chose arrive à notre Soleil… après une période particulièrement de forte activité au XXème siècle, notre Soleil va exceptionnellement et soudainement vers une période de "tranquillité". Les mois sont passés sans taches évidentes sur le Soleil. »

Dr. Whitehouse continue, « entre 1645 et 1715, les taches solaires étaient rares. On en a observé environ 50. Il y aurait du y en avoir 50.000…. L'hémisphère nord de la Terre s'est refroidi avec des conséquences dévastatrices… appelées l'événement du « petit age glaciaire. »

«Au milieu du XVIIeme siècle, la croissance démographique s'est arrêtée… en partie dû aux rendements des récoltes qui se sont réduites à cause du changement climatiqe et cela a provoqué la faim… et affaibli la population. »

Cette révélation ne signifie pas que l'issue du réchauffement global s'est terminée - nullement !

Les revendeurs du réchauffement global mené par l'ancien vice-président Al Gore, maintenant honoré du prix Nobel, ont investis trop grandement pour abandonner facilement.

Les médias corrompus et malhonnêtes ont tellement pris en compte le réchauffement global sur eux qu'ils combattront une fin amère plutôt qu'admettrent qu'ils ont joué un rôle si important dans le « canular du siècle, » ainsi décrit par Sen. James Inhofe, R-Okla., rangeant le membre de l'environnement du sénat des États-Unis et le Comité des travaux publics.

Plusieurs années pourtant doivent passer pour établir le fait que le globe se refroidit réellement. Les années 2009-10 devrait établir que le refroidissement global a commencé. Il est probable que les anciens pourvoyeur de l'age de glace des années 70, qui ont défendu l'idée du réchauffement actuel, nous parle d'un refroidissement.


Ce que nous devons nous inquiéter se sont les « mines terrestres » que les réchauffeurs globaux actuels ont placé sur notre chemin sous forme de législation pour imposer un système fiscal impliquant les crédits de carbone qui pourraient coûter les trillions de dollars au contribuable des États-Unis et d'autres pays dans le futur.

Un autre programme qui pourrait être légiféré par l'industrie, particulièrement, est un système de capture de carbone. British Petroleum (BP) et General Electric, dans une alliance globale en Californie méridionale, un plan pour capturer quatre millions de tonnes d'anhydride carbonique, chacune de deux usines de gazéification de charbon.

L'effet du refroidissement de l'inactivité du Soleil prendra plusieurs années pour s'établir comme une mesure véritable de la direction climatique.

Les nations sauront si et quand les observations solaires s'avèrent vraies.

À ce moment-là, Al Gore et tous les revendeurs de réchauffement global demanderont le crédit pour le changement du climat. Jusque-là, le temps normal continu avec ses modèles des hauts et des bas, comme il y a eu au cours des siècles, avec des inondations, des sécheresses, des tornades et des ouragans nuisant à des centaines de millions de pauvres personnes et détruisant des centaines d'espèces en voie de disparition.

source :
http://www.newsmax.com/hostetter/global_warming/2007/12/19/58187.html

Résumé, traduction et adaptation de la Terre du Futur

www.laterredufutur.com/html/modules.php

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