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A LA UNE

17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 13:08

E
n 1970, le journaliste François-Henri de Virieu réalisait un documentaire visionnaire consacré à l'évolution du métier de paysan, baptisé Adieu coquelicots. Près de quarante ans plus tard, des scientifiques de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) lui donnent raison. La révolution agricole a décimé les fleurs des champs et les mauvaises herbes. Le paysage en a souffert, mais ce n'est pas tout. Les scientifiques évoquent une perte de biodiversité importante, sans doute lourde de conséquences pour la faune des campagnes.

Un article à lire ICI
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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 11:35

Inversion des pôles - La Terre, Cet Aimant Géant 1
envoyé par explorer-1


Inversion des pôles - La Terre, Cet Aimant Géant 2
envoyé par explorer-1


Inversion des pôles - La Terre, Cet Aimant Géant 3
envoyé par explorer-1

Si quelqu'un reconnait la chanteuse récurente dans ce reportage, j'aimerais qu'il me renseigne. Merci.

C'était marqué... Judith Edelman...
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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 21:56
Suite au billet sur les origines de l'humain, voici un article qui va dans ce sens...

Des "éruptions" génétiques seraient à l'origine de l'Homme
De brutales transformations génétiques, encore difficilement explicables, seraient à l'origine de l'apparition de l'espèce humaine quand elle s'est séparée de l'espèce des grands singes, rapportent des chercheurs.

Les grands singes s'étaient eux séparés des autres primates et des singes il y a environ 10 millions d'années à la suite de transformations explosives de leur ADN, transformations qui n'ont rien à voir avec les mutations génétiques classiques, révèlent des généticiens de l'université de Washington.

Ces transformations dans les séquences d'ADN pourraient expliquer ce qui fait que les humains -- et les autres singes -- sont uniques, précisent les chercheurs dans le journal Nature.

"Il s'agissait vraiment d'éruptions volcaniques dans le génome, expulsant des morceaux d'ADN", a expliqué Evan Eichler, chercheur à l'institut médical Howard Hughes.

Eichler et ses collègues ont étudié l'ADN d'êtres humains, de chimpanzés, d'orang-outans et de macaques.

Comme prévu, ils ont trouvé de grandes similitudes entre les humains et les chimpanzés en terme de séquences génétiques globales.

La principale différence réside dans les répétitions d'une même séquence génétique, dans les suppressions de cette séquence ou même dans le fait que cette séquence soit présente dans un ordre inversé.

Selon les chercheurs, s'est produite une brutale augmentation de l'activité génétique au cours de laquelle les génomes ont été soudainement modifiés et placés dans un ordre différent.

C'est de ces brutales modifications que pourraient provenir le langage ou certains aspects de l'intelligence. Toutefois, les chercheurs affirment que des travaux complémentaires sont nécessaires pour parvenir à une certitude.


version française Pierre Sérisier

 

Source


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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 08:03
ACTUALITES CRIIRAD
La CRIIRAD a apporté son appui scientifique à la réalisation de reportages pour un
numéro de « Pièces à conviction » consacré aux déchets et pollutions laissées par
l’exploitation des mines d’uranium.
Sous le titre « le scandale de la France contaminée », il doit être diffusé
mercredi 11 février à 20h35 sur France 3 .
Nous espérons que vous pourrez le regarder car il s’annonce passionnant. Vous y
retrouverez plusieurs des études réalisées par le laboratoire de la CRIIRAD :
à Saint-Priest-La-Prugne dans la Loire,
La Crouzille en Haute -Vienne,
Gueugnon en Saône -et-Loire,
Saint-Pierre dans le Cantal….

Encore faut-il que l’émission soit diffusée !

Areva vient en effet de saisir le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (cf. ci-dessous) et fera son possible pour empêcher la diffusion d’informations susceptibles d’écorner son image de marque.

Réponse le 11 février prochain.

N’hésitez pas à faire circuler cette info et à avertir vos parents et amis.

Plus d’info sur le dossier des mines d’uranium :
www.criirad.org

1. Site internet d’Europe 1
http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Economie-et-Societe/Environnement/Controverse
-autour-de-l-emission-Le-scandale-de-la-France-contaminee-sur-France-3(gid)/198578

Controverse autour de l'émission "Le scandale
de la France contaminée" sur France 3


Créé le 29/01/09 - Dernière mise à jour à 12h35 > Le 11 février, le nouveau numéro
du magazine "Pièces à conviction" sur France 3 évoquera "le scandale de la France
contaminée". Pour défendre la thèse que des millions de tonnes d’uranium sont
dispersées dans toute la France. Ce sujet fait polémique, le groupe Areva a fait appel
au CSA car il juge que l'enquête est "contraire à la déontologie". Le groupe Areva a
annoncé jeudi son intention de saisir le Conseil supérieur de l'audiovisuel à
propos de l'émission de France 3, "Pièces à conviction". Dans un communiqué,
Areva, qui a eu connaissance par la presse de la teneur des reportages proposés,
estime "pour le moins surprenant, voire contraire à la déontologie, que son point de
vue soit présupposé et rendu public avant même qu'il ne se soit exprimé". Les
producteurs de l'émission ont cependant prévu un entretien avec le porte-parole du
groupe, qui doit être enregistré vendredi et inséré dans l'émission. Se référant aux
informations de presse, Areva exprime "le sentiment que le magazine est d'ores et
déjà bouclé, à charge contre le groupe Areva". Lionel de Coninck, rédacteur en chef
de "Pièces à conviction", a assuré qu'il ne s'agissait "en aucun cas de présupposer
ce qui va être dit dans l'émission". Selon lui, ce qui a été dit dans le reportage de la
position d'Areva est "basé sur ce que dit Areva depuis des dizaines d'années sur le
sujet".
Le sujet de la controverse : l'émission qui défend l'idée selon laquelle, en toute
discrétion, dans nos campagnes, à proximité des villages ou des villes, des
déchets radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés, ou ensevelis
méthodiquement, depuis des dizaines d'années. Pire encore, ils ont parfois servi à
construire des routes, des parkings, et même des logements, des écoles ou des
aires de jeu pour les enfants, sans aucune mise en garde sur les risques encourus.
C'est cette situation que France 3 évoquera dans son magazine "Pièces à
conviction" le 11 février prochain. Avec une édition intitulée "Le scandale de la
France contaminée".
Le magazine s’ouvrira sur un reportage à Gueugnon, en Saône-et-Loire. Sur le
parking d'un stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de la Criirad
(Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité)
crépite à tout va. Là, sur une superficie de 12 hectares, près de 225.000 tonnes de
déchets radioactifs ont été dispersés sur un terrain ouvert à tout venant. Ironie du
sort, ce terrain a même accueilli un "parcours de santé". Gueugnon est "la toute
dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce problème des déchets
radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice du magazine.
Au total, selon les enquêteurs du magazine, entre 1945 et 2001 plus de 300
millions de tonnes de déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en
France, ont été abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance
particulière. L'enquête fait également état de liens étroits entre ceux qui sont
officiellement chargés de mesurer la radioactivité dans la nature et les anciens
pollueurs. Négligence ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ? Une pierre
radioactive à la main en guise d'argument, Elise Lucet se propose de demander des
explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera interrogé
séparément.
Malgré le fait que les mines d'uranium françaises ne soient plus en activité
depuis plusieurs années, cette pollution qu'il s'agisse de minerais "stériles" (trop
pauvre en uranium pour devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de
l'activité minière, peut s'avérer dangereuse à long terme, assurent les enquêteurs du
magazine. Areva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement
improbable l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa
présidente, Anne Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé
à un porte-parole le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le
plateau. Anne Lauvergeon, d'autre part, sera récompensée par le trophée des
"Créateurs sans frontières" pour son action en faveur du rayonnement de la France à
l'étranger. Ironique pour quelqu'un qui participe à l'irradiation intérieure de la France.
2. Dépêche AFP
Déchets d'uranium : le cri d'alarme de "Pièces à
conviction"
PARIS - Par centaines de millions de tonnes dispersées dans toute la France,
les déchets d'uranium contaminent le territoire dans l'indifférence et la
négligence générales : c'est la thèse défendue par le magazine télévisé "Pièces
à conviction".
Pour son numéro du 11 février, le magazine d'information de France 3 évoque "le
scandale de la France contaminée" par les déchets radioactifs, résidus des mines
d'uranium.
Un reportage à Gueugnon, localité tranquille de Saône-et-Loire, ouvre le magazine.
Sur le parking d'un stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de la Criirad
(Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité) crépite
à tout va. Là, sur une superficie de 12 hectares, près de 225.000 tonnes de déchets
radioactifs ont été dispersés sur un terrain ouvert à tout venant, qui a même accueilli
un temps un "parcours de santé".
Gueugnon est "la toute dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce
problème des déchets radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice de ce magazine
que France 3 a réalisé en coopération avec la société de production Ligne de Mire.
La ville, qui avait abrité une usine de traitement d'uranium, n'a découvert qu'en mars
2007 qu'elle était victime de cette contamination.
Les mines d'uranium françaises ne sont plus en activité depuis plusieurs années.
Mais cette pollution, qu'il s'agisse de "stériles" (minerai trop pauvre en uranium pour
devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de l'activité minière, peut
s'avérer dangereuse à long terme, assurent les enquêteurs de "Pièces à conviction".
Areva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement improbable
l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa présidente, Anne
Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé à un porte-parole
le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le plateau.
Au total, selon les enquêteurs du magazine, plus de 300 mi llions de tonnes de
déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en France, ont été
abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance particulière.
L'enquête fait également état de liens étroits entre ceux qui sont officiellement
chargés de mesurer la radioactivité dans la nature et les anciens pollueurs.
Négligence ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ?
Une pierre radioactive à la main en guise d'argument, Elise Lucet se propose de
demander des explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera
interrogé séparément.

Source

Trouvé dans Le Panier
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 18:01

Faut-il avoir peur de l'eau ? Celle qui coule dans les rivières et rejoint les océans ou les nappes phréatiques. Celle qui abreuve les cheptels et irrigue les cultures. Celle, même, que nous buvons au robinet...

En jetant l'anathème, début janvier, sur la pilule contraceptive, accusée d'avoir "des effets dévastateurs sur l'environnement", du fait des hormones relâchées dans la nature via les urines de ses utilisatrices, le Vatican cherchait le diable là où il n'est pas. Pourquoi excommunier la pilule, plutôt que les innombrables polluants - pesticides, détergents, solvants, hydrocarbures, métaux - qui souillent les cours d'eau ? De bonne ou de mauvaise foi, l'Eglise catholique n'en soulève pas moins un problème réel, dont commencent à se préoccuper scientifiques et autorités sanitaires : celui de la contamination des eaux par les résidus médicamenteux.

Des chercheurs canadiens de l'université de Montréal viennent ainsi de mettre en évidence, dans le fleuve Saint-Laurent, de faibles concentrations de molécules utilisées contre le cholestérol, l'hypertension ou le cancer. Une "pharmacie à ciel ouvert", rapporte Radio-Canada.

De nombreuses études, aux Etats-Unis, au Brésil, en Allemagne, en Italie, en Grande-Bretagne, en Finlande ou en France, décrivent des situations similaires. "La présence de traces de substances médicamenteuses ou de leurs dérivés a été largement établie à l'échelle mondiale, en particulier dans les eaux superficielles et souterraines, dans les eaux résiduaires, dans les boues des stations d'épuration utilisées en épandage agricole et dans les sols", souligne l'Académie nationale de pharmacie française dans un rapport rendu à l'automne 2008. Toutes les eaux sont contaminées, y compris celles "destinées à la consommation humaine". L'origine de cette pollution est double. Elle provient, d'une part, des urines et des selles humaines - ainsi que de celles des animaux de compagnie - évacuées dans les eaux domestiques, où se retrouvent aussi des médicaments non utilisés dont, malgré les systèmes de collecte, une partie est directement jetée dans les toilettes ou les égouts. Elle résulte, d'autre part, des rejets de l'industrie chimique et pharmaceutique, des élevages industriels d'animaux et des piscicultures - gros consommateurs d'antibiotiques et d'hormones de croissance -, mais aussi, paradoxalement, des hôpitaux.


Ces derniers, qui utilisent en grande quantité non seulement des médicaments, mais aussi des molécules de diagnostic et des réactifs de laboratoire, sont les principaux responsables de la dissémination de produits anticancéreux et radiopharmaceutiques, qui se retrouvent, avec les excréments des malades, dans leurs effluents. Une étude, conduite par l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset), a montré que des molécules anticancéreuses très actives, présentant "un danger potentiel pour la santé humaine et l'environnement", sont présentes "à des quantités non négligeables" dans les effluents hospitaliers, mais aussi en aval de la station d'épuration qui recueille ceux-ci.

Toutes les eaux d'évacuation, d'origine domestique, industrielle ou hospitalière, sont pourtant traitées - du moins dans les pays développés - par des stations d'épuration. Mais ces installations, qui éliminent les pollutions azotées, carbonées ou phosphorées, n'ont dans leur cahier des charges aucune obligation concernant les résidus médicamenteux. Ceux-ci ne sont que "partiellement" détruits, reconnaît une entreprise spécialisée dans la distribution et l'assainissement de l'eau.

Cette situation est due à des questions de coût et non de technique, puisqu'il existe des procédés de filtration ultrafine par des systèmes membranaires utilisés pour le dessalement de l'eau de mer, ou de piégeage par du charbon actif. Selon les classes de médicaments, l'efficacité du traitement des eaux usées varie de près de 100 % à... 0 %.


Ce sont donc des eaux chargées en traces d'antibiotiques, d'anticancéreux, d'analgésiques, d'antidépresseurs, d'anti-inflammatoires, d'hormones ou de bêta-bloquants qui retournent dans les ruisseaux, les rivières et les eaux souterraines, où ces molécules se diluent, sans toutefois disparaître. Si bien qu'elles se retrouvent ensuite dans les réseaux d'eau potable et à la sortie du robinet. Car les traitements de potabilisation, qui prennent en compte une soixantaine de paramètres, notamment microbiologiques, laissent eux aussi de côté les substances pharmaceutiques.

Quels sont les risques pour la santé humaine ? Les concentrations, indique l'Académie de pharmacie, peuvent atteindre plusieurs centaines de microgrammes (millionièmes de gramme) par litre dans les effluents et les eaux résiduaires urbaines, et quelques nanogrammes (milliardièmes de gramme) par litre dans les eaux superficielles, les eaux souterraines et les eaux de consommation.

Les quantités sont donc très inférieures à celles absorbées en cas de prescription médicale, qui sont de l'ordre de quelques dizaines ou centaines de milligrammes. Le problème est que les effets de l'ingestion régulière de faibles doses sur une longue période - toute une vie -, ainsi que du mélange des molécules dans un "cocktail thérapeutique" incontrôlé, sont aujourd'hui totalement inconnus. "Il n'existe pas de données permettant d'établir un lien de cause à effet entre ces résidus et des pathologies chez l'homme, mais il est légitime de se poser la question. Nous en sommes au stade de l'évaluation des risques sanitaires", commente Jean-Nicolas Ormsby, du département d'expertises en santé, environnement et travail de l'Afsset. On sait toutefois que, chez certains poissons, des substances médicamenteuses, en particulier hormonales, peuvent provoquer une altération des caractères sexuels, voire un changement de sexe.

Une surveillance s'impose, "notamment pour les populations les plus sensibles comme les enfants ou les femmes enceintes", estime l'Académie de pharmacie. Elle préconise, face à un "problème mondial", une véritable "politique de prévention".


Pierre Le Hir

Le Monde

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 08:48

Les nouvelles technologiques arrivées à maturité à la fin du XXème siècle fond que la Terre tend vers un silence radio. Une situation qui amène certains scientifiques à douter de la pertinence d'utiliser les ondes radio artificielles pour découvrir des civilisations extraterrestres technologiquement avancées.

Conscients de la difficulté, voire de l'impossibilité, de rechercher des civilisations extraterrestres technologiquement avancées dans les ondes électromagnétiques, les scientifiques se sont focalisés sur les ondes radio artificiels. De préférences en bande étroite car les événements à bande large sont très probablement dus à des phénomènes astronomiques normaux car il faudrait une quantité énorme d'énergie pour envoyer un signal à bande large.

Cependant, cette stratégie semble vouée à l'échec. D'ici quelques décennies, il est vraisemblable que la Terre n'émettra pratiquement plus aucun signal radio suffisamment fort pour atteindre les étoiles proches du Soleil. En d'autres termes, nous allons être difficiles à détecter.

Si dans les années 50 l'avènement de la télévision et les ondes radio émises par l'humanité avaient fait de la Terre un puissant émetteur capable d'envoyer dans toutes les directions de l'espace programme de télévisions et conversations téléphoniques radio, force est de constater que ce n'est plus le cas aujourd'hui.

Avec l'arrivée à maturité de nouvelles technologies comme le câble et les satellites, les émetteurs radio d'antan sont progressivement remplacés de sorte que la Terre émet de moins en moins d'ondes radio et tend vers un silence radio.


A l'échelle de l'évolution, ce 'puissant émetteur' aura fonctionné pendant moins d'un siècle ! Ce qui est vrai pour nous l'est très certainement pour les civilisations les plus avancées que l'on recherche.

Source

Encore un anthropocentrisme qui s'effondre. Ce ne sera pas le dernier.
En attendant, pendant un siècle, nous avons crié dans l'Univers : "Nous sommes là, nous sommes une bande de crétins corvéables à merci, nous sommes là!!!"...

Car, c'est certain, si un groupe industriel inter-galactique cherche de la main d'oeuvre efficace, nous devrions faire face à une délocalisation supplémentaire, une délocalisation de masse.
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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 11:30
La Pierre de Dashka: Cette dalle représenterait une carte en relief de l'Oural, établie il y a plusieurs dizaines de millions d'années.

Les Livres Sacrés issus de traditions orales très anciennes, tels la Torah ou le Popol Vuh, racontent la création du Monde et expliquent comment notre planète aurait été terraformée par un groupe de Créateurs.

Une découverte, faite en 1999 viendrait confirmer cette terraformation antique. Il s'agit de la Pierre de Dashka, une étrange dalle pesant au moins une tonne et mesurant 148 cm de long, 106 cm de large, et 16 cm d'épaisseur. Elle a été trouvée par le Pr Alexander Chuvyrov et son équipe de chercheurs à l'Université d'Etat de Bachkirie, Oufa (ou Ufa), Bachkorstotan, Fédération de Russie.

Alors qu'ils étudiaient l'hypothèse d'une migration ancienne possible des chinois en Sibérie et en Oural, ils découvrirent dans les archives du Gouverneur général d'Oufa (la capitale de Bachkirie) des notes datant du 18ème siècle et qui indiquaient, près du village de Chandar, dans la région de Narimanovo, l'existence d'environ 200 dalles de pierre gravées très étranges. D'autres notes rapportaient qu'aux 17ème et 18ème siècles, des expéditions scientifiques russes en Oural avaient étudié ces 200 dalles blanches comportant des signes et des motifs. D'autres notes encore, indiquaient qu'au début du 20ème siècle, l'archéologue A. Schmidt avait également vu ces dalles blanches en Bachkirie.

Carte actuelle correspondant à la Pierre de Dashka.

En 1998, le Pr Chuvyrov et son équipe se mirent en quête... mais sans succès ; à tel point qu'ils commencaient à penser que tout cela n'était que légende. C'est alors que le 21 juillet 1999, Vladimir Kraïnov, ex-président du conseil local de l'agriculture, révéla au Pr Chuvyrov l'existence d'une dalle enfouie dans sa cour. Une semaine plus tard, les travaux commencèrent pour extraire la Pierre de Dashka qui fut emmenée à l'Université d'Oufa pour étude.

Après l'avoir nettoyée, les scientifiques découvrirent avec surprise que cette dalle de pierre gravée était une carte tridimensionnelle. Elle est composée de trois couches. La base, épaisse de 14 cm est en dolomite. La deuxième couche, certainement la plus intéressante, sur laquelle « l'image de la carte » est gravée, est en diopside, mais la technologie de son « traitement » est actuellement inconnue. La troisième couche, épaisse de 2 mm, est en porcelaine de calcium et assure la protection de la carte contre toute dégradation extérieure.

Son passage aux rayons X a révélé qu'elle était d'origine artificielle. Cette pierre a été usinée à l'aide d'outils de précision, son relief n'a pas pu être exécuté par un graveur de pierre. Elle ferait partie d'un « puzzle géant » de 340 m x 340 m. Le Pr Chuvyrov estime pouvoir localiser quatre autres éléments de cet ensemble.

Comme le relief général de la Bachkirie n'a pas trop changé en quelques millions d'années, les scientifiques parvinrent assez rapidement à identifier le mont d'Oufa et surtout son canyon, tout ceci en tenant compte de la géologie locale ainsi que des mouvements tectoniques. A l'aide de spécialistes en cartographie, physique, géologie, les différentes rivières de l'Oural ainsi que les gorges de l'actuelle rivière Belaïa entre Oufa et Sterlitamak furent identifiées. Tout ceci confirme la grande ancienneté de cette carte tridimensionnelle réalisée sur une échelle de 1:1,1 km.

Sur cette carte tridimensionnelle, on distingue un système d'irrigation géant avec des canaux, des barrages, et de puissantes digues.

Cette étrange carte montre un mystérieux système de canaux d'environ 12000 km de long avec des barrages et de puissantes digues. Proches de ces canaux, on distingue d'étranges zones en forme de losange dont la destination est inconnue. Ce système d'irrigation géant comporte notamment 12 barrages de 300 à 500 m de large, 10 km de long et 3 km de profondeur chacun, ainsi que deux réseaux de canaux de 500 m de large. Ces barrages servant à alimenter les différents réseaux ont nécessité l'extraction d'au moins 1015 m3 de terre. En comparaison, le canal de la Volga au Don semblerait n'être qu'une simple éraflure.

Il est intéressant de noter que dans la Torah, au chapitre du Paradis Perdu, on parle aussi d'un grand système d'irrigation: « ...Un fleuve sortait du jardin d'Éden pour arroser le jardin et de là il se divisait pour former 4 autres fleuves,... le Pishôn,... le Gihôn,... le Tigre,... l'Euphrate... Le Chef des Élohîms prit l'humain et l'installa dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder... ». L'ensemble de ces cours d'eau représente eux aussi un système d'irragation de plusieurs milliers de kilomètres.

L'actuelle rivière Belaïa aurait été artificielle à l'origine.

D'après la carte de la Pierre de Dashka, l'actuelle rivière Belaïa aurait été artificielle à l'origine. Cette rivière sinueuse prend sa source dans les monts d'Oural du Sud et mesure près de 1000 km. Son lit est établi dans des gorges profondes entre les villes d'Oufa et de Sterlitamak.

Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'oeuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur cette dalle. Mais ces inscriptions n'ont pas pu être déchiffrées. Elles ressemblent à un language d'origine inconnue constitué de symboles hiéroglyphiques et syllabiques. Le Pr Chuvyrov pense que l'un de ces symboles représente la latitude d'Oufa.

Le Pr Chuvyrov et son équipe pensaient au début que la carte datait d'environ 3000 ans, mais plus son étude avançait, plus son âge grandissait. Les datations au radiocarbone ont donné des résultats erratiques et non concluants. Une analyse plus fine de la pierre a révélé la présence en son sein de deux coquillages caractéristiques, l'un datant de 50 millions d'années, l'autre de 120 millions d'années. Mais rien ne permet de dire que ces coquillages n'étaient pas déjà à l'état de fossile lors de la création de la carte.

De nombreuses questions concernant cette dalle de pierre gravée restent en suspens, non seulement en ce qui concerne sa datation mais également sur ses auteurs et sa fonction. Selon le Centre de Cartographie Historique du Wisconsin, USA, qui a étudié les différents éléments de la Pierre de Dashka, cette carte tridimensionnelle n'a pu être effectuée qu'à partir de relevés aériens. Ce type de travail est en cours au Etats-Unis. Il nécessite un traitement informatique extrèmement puissant et l'utilisation de données satellitaires. Les américains prévoient l'achèvement de ces travaux d'ici 2010.

Le Pr Alexander Chuvyrov, docteur en sciences physiques et mathématiques, examine, avec un autre scientifique, la Pierre de Dashka trouvée près du village de Chandar, dans la région de Narimanovo, Bachkorstotan, Fédération de Russie.

Les scientifiques russes sont persuadés que cette carte en relief de la région de l'Oural n'est en réalité qu'un petit fragment d'une énorme maquette cartographique de la Terre. Le Pr Chuvyrov est évidemment très circonspect quant aux auteurs de cette carte: « Je n'aime pas parler d'OVNI ou d'extraterrestres. Appelons donc l'auteur de cette carte simplement le Créateur ».

Curieusement, le Popol Vuh donne quelques indications complémentaires permettant de mieux comprendre à quoi pouvait servir cette carte tridimensionnelle et qui auraient pu en être les auteurs.

La planification d'un grand projet commence par la réalisation d'une maquette à l'échelle sur laquelle on peut réfléchir et travailler. Le Popol Vuh précise: « Le Créateur, le Fabricant, Tepeu, Gucumatz, les Grands Ancêtres étaient par nature de grands sages et de grands penseurs. Tandis qu'ils méditaient, il leur paru évident que, lorsque le jour poindrait, l'homme devrait apparaître. Alors ils planifièrent la création... ».

Il semble que les auteurs de cette carte n'utilisaient que les voies aériennes car on y distingue aucune trace de routes. Etrangement encore, le Popol Vuh confirme: « ...de là où ils se trouvaient, ils pouvaient voir le monde dans sa totalité... ». Les auteurs de cette carte, le groupe de Créateurs, semblaient donc être dans l'espace au moment de la planification de la création.

 

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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 10:43
Je viens de terminer la lecture de "Retour au meilleur des mondes" d’Aldous Huxley et beaucoup de passages m’ont vraiment marqués quant à leur similitude troublante par rapport à la situation actuelle. Je tiens tout d’abord à rappeler que ce livre a été édité en 1958.


Ce livre, contrairement au "Meilleur des mondes" n’est pas un roman mais une analyse des faits qui pourraient y mener. Je ne vais pas en faire un résumé, l’auteur le précisant lui même en préface qu’il était déjà suffisamment difficile pour lui d’être concis sur les sujets abordés. Par contre je vais revenir sur quelques passages les plus marquants, et je ne peux qu’encourager les lecteurs de cet article à aller au plus vite acheter ce livre.

Entre "Le meilleur des mondes" et "Le retour sur le meilleur des mondes", il y a eu le non moins fameux "1984" de George Orwell. L’auteur se doit donc de parfois placer les deux romans en parallèle. Son analyse est alors très juste en disant que sauf anéantissement nucléaire (à replacer dans le contexte de 1958), le monde futur risque plutôt de ressembler à celui du "Meilleur des mondes" qu’à "1984".

En effet il s’avère qu’au bout du compte un contrôle par manipulation non violente des pensées des individus, et donc accepté par la victime est toujours préférable à un contrôle par la répression et la terreur qui n’a qu’un effet provisoire et peut conduire à une rechute.

L’auteur cite tout d’abord la surpopulation comme facteur accélérant cette dérive totalitaire des états. En effet le meilleur des mondes se déroule 7 siècles après Ford, soit vers 2500/2600, or son constat, 27 ans plus tard, est que la situation a évolué beaucoup plus vite que prévue. En effet plus la population augmente, plus les gouvernements subissent de pression liée au manque de ressources disponibles et sont donc plus enclins à mettre en place un tel contrôle pour contenir l’insécurité économique et l’agitation sociale. La population sera en effet de 9 milliards en 2050 soit 7 milliards de plus qu’environ un siècle après l’écriture du "Meilleur des mondes".

Il pointe ensuite l’excès d’organisation induit par le progrès technique ainsi que par la concentration des pouvoirs économiques en de moins en moins de mains, donnant naissance ainsi à des empires économiques et ne laissant plus la place aux "petits", et par conséquence le contrôle de la population du fait de l’endettement nécessaire pour suivre le progrès technique. Il suffit alors à cette oligarchie économique ("Les grosses affaires" est le terme qu’il emploie dans le livre) d’utiliser les organes d’information dont elle dispose pour pousser la population à consommer. Les gens normaux aux vues du pouvoir sont alors les gens les plus adaptés, qui ne se débattent pas et acceptent tout sans réfléchir (A. Huxley les désigne par "anormalement normaux"). Ces êtres formatés, quand ils ne sont pas au travail, sont alors des irresponsables à la recherche de distractions. Cependant, l’homme n’étant pas une fourmi ou une abeille, l’excès d’organisation ne peut conduire qu’à une dérive totalitaire du pouvoir, dérive qui, il l’aura deviné sera beaucoup plus pernicieuse que les régimes totalitaires d’alors (Il parle d’"ingénieurs sociaux", on les nomme de nos jours "spin doctors"). Il finit sur ce point en faisant un comparatif avec le Moyen âge ou le seigneur était censé protéger ses sujets. Mais de quoi ?

Il en vient ensuite à la notion de propagande dans une société démocratique. Il commence par la nécessité de la précarité, en effet, le libéralisme fleurit dans une atmosphère de prospérité et décline quand cette dernière, en se dégradant, procède à des interventions de plus en plus fréquentes et draconiennes dans les affaires de ses sujets (sans commentaire par rapport à ce qui se passe actuellement). La propagande consiste alors à présenter des preuves tronquées ou falsifiées, à éviter les arguments logiques, à utiliser des slogans simples, à désigner des boucs émissaires nationaux ou étrangers (là encore c’est sans commentaire !). Il souligne le pouvoir des médias qui , si ils sont indispensables à la survie de la démocratie quand ils sont bien utilisés, peuvent également devenir l’arme la plus redoutable dans des mains mal intentionnées. Il met en avant la dérive que peut représenter la concentration des médias entre quelques mains, moins odieuse que la censure des anciens régimes totalitaires mais non moins perverse. De même les distractions seront utilisées à jets continus comme instrument de gouvernement pour empêcher la population de trop se préoccuper de la situation sociale et politique, ce qui pour A. Huxley est la voie royale pour ceux qui voudraient manipuler et dominer.

La propagande, depuis Hitler, maître en la matière, peut désormais bénéficier de moyens techniques autrement plus considérables qu’à l’époque, Le "Grand Frère" comme l’écrit A. Huxley en hommage à G. Orwell, peut être omniprésent à l’image de Dieu, or c’est tout à fait ce qui se passe actuellement. Il suffit d’hypnotiser une majorité afin de mettre les masses en mouvement dans le sens attendu. Seul épine dans le pied, les intellectuels que l’on ne peut pas plier à sa volonté car ceux-ci restent indifférents aux discours simplistes, aux slogans répétés en boucle, aux arguments illogiques. Là encore on peut faire un parallèle, quand nos gouvernants disent que les français feraient mieux de travailler que de réfléchir. Hitler avait une solution pour chaque problème, il n’admettait pas avoir tort et ne supportait pas la contradiction ("Qui n’est pas avec moi est contre moi"). Les adversaires devaient être réduits au silence, muselés, discrédités, et là encore on ne peut que constater que ce qui est actuellement mis en place converge vers cet objectif.

Pour convaincre le client (l’électeur en l’occurrence), les manipulateurs scrutent les peurs irrationnelles, les désirs obscurs, irraisonnés de la population, non pas pour améliorer la situation mais au contraire pour les exploiter au maximum au profit de leur client (l’homme politique). Une campagne pour la raison peut-elle l’emporter contre une, plus vigoureuse, utilisant des arguments de la déraison ? Au vu des dernières élections on peut en douter sincèrement. Le propagandiste d’aujourd’hui, grâce aux nouveaux médias, peut toucher les esprits dès le plus jeune âge notamment par la télévision, alors qu’auparavant, la lecture était un minimum obligatoire. Ces enfants, si l’on n’y fait pas attention, seront donc formatés dès le plus jeune âge sans aucun sens critique et prêts à avaler tout ce qu’on leur dira à l’âge adulte, et notamment quand ils seront en âge de voter. Il ne faut pas que la population réfléchisse à telle ou telle mesure politique, mais qu’elle réagisse favorablement à un slogan simple qui aura été implanté dans son esprit de façon précoce. Les candidats s’attacheront à faire passer leur message de la façon la plus sincère possible. A. Huxley utilise ensuite l’expression d’’interviews en profondeur" que sont évidemment les sondages d’aujourd’hui, utilisés tantôt pour cibler au mieux une catégorie d’électeurs, tantôt pour justifier une mesure quitte à ce que la question ait été posée de façon à avoir la réponse attendue. Pour lui, le candidat idéal devra être public, distrayant (sans commentaires), de façon à ne pas ennuyer un public fatigué par une longue journée de travail et habitué aux divertissements. Les arguments devront donc être les plus courts possibles et les plus simplistes, l’éloquence devra être une des qualités principale de l’homme politique.

A. Huxley aborde ensuite les thèmes du lavage de cerveau, de la persuasion chimique, de la persuasion subconsciente et de l’hypnopédie avec un certain nombre d’expériences. Je ne rentre pas en détails dans ces chapitres car il s’agit principalement de résultats d’expériences. Ce qui en ressort toutefois et qui peut intéresser au premier chef est tout d’abord que le phénomènes de persuasion subconsciente est accentué par la fatigue. Une population reposée, avec du temps libre est donc moins enclinte à être manipulée. On peut de nouveau faire un parallèle avec la situation actuelle, à savoir travailler plus pour être manipulé plus. De même les conclusions des diverses expériences montrent qu’une bonne partie de la population est naturellement réceptive à la manipulation, d’où les limites de la démocratie.

En terme de solutions, A. Huxley préconise l’éducation, seul rempart contre la manipulation, les arguments simples, les raisonnements illogiques, les slogans, ne pouvant être contrés que par une solide préparation à l’art d’analyser toutes ces techniques de manipulations et d’en détecter les failles. La persuasion insidieuse et l’abrutissement conduisent sinon les victimes à penser et à agir comme le souhaitent les manipulateurs. L’éducation est donc une clef majeure de la solution, et on comprend mieux l’épine qu’elle représente dans le pied du gouvernement (bien distinguer ici éducation et apprentissage).

La suite de cet excellent article est ICI.

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 11:27

Depuis Hier, Barack Obama est devenu le 44 eme Président des USA. Le 1er janvier 2009, Space and Science Research Center a avertit B. Obama. Les Conseillers du changement climatique d'Obama, Holdren et Lubchenco, le réchauffement global est terminé, il est l'heure de préparer les USA pour une nouvelle ère d'un refroidissement.
Le centre de recherches de l'espace et de la Science (SSRC), a rendu public une lettre expédiée le 1er janvier 2009 du Dr.  John Holdren conseiller de la science du président désigné Barrack Obama et du Dr. Jane Lubchenco administrateur de la NOAA déclarant clairement que « … le réchauffement global est terminé ; un nouveau climat froid est arrivé. »


En expliquant la raison de ce premier communiqué de presse de 2009, M. Casey a déclaré: «Il ne peut plus y avoir de doute sur le Soleil qui est entré dans une période historique d'une faible activité d'une façon spectaculaire, il va nous apporter de longues années d'un profond refroidissement.

Ceci avait été prévu par moi et quelques autres scientifiques à travers le monde mais, bien sûr, nous n'étions pas pris au sérieux en raison de la politique du réchauffement de la planète et le refus de nombreux lieux qu'il n'y a pas d'alternatives comme concept du réchauffement de la planète, tout ceci à travers les médias.



Selon des sources nationales et internationales, qui observent le soleil, et sur ce qui se passe dans le soleil est tout simplement inquiétant. 

Le vent solaire est à son plus bas niveau depuis cinquante ans. La circulation sur la surface du Soleil a ralenti et on a enregistré des taux, selon les annonces précédentes de la NASA qui sont hors norme. "La plupart des propos est le manque actuel de taches solaires qui se prolonge hors norme entre les cycles solaires 23 et 24, et qui est sur le point de mettre une année de record, sans taches solaires.  

La NASA a également prévu depuis longtemps que le cycle 25 sera «l'un des plus faibles depuis des siècles." Tous ces événements laissent peu de doute, la combinaison d'une «mise en veille prolongée solaire" durant plusieurs décennies, l'arrivée d'un temps les plus froids depuis deux siècles est en effet arrivé.

Dans son dernier communiqué de presse de 2008, le SSRC avait averti le Président Obama, de l'entrée d'un refroidissement et d'une véritable appréhension sur le changement climatique concernant les promesses électorales.

Le communiqué dit que de telles actions et l'appui sur le réchauffement de la planète serait de créer une atmosphère répressive et restrictive pour les scientifiques qui s'opposent à l'idée que les émissions de gaz à effet de serre ont été les principaux agents du changement climatique. Les effets négatifs d'un refroidissement sans l'aide du gouvernement et de sa préparation, conduirait à un "pire scénario" pour le peuple américain si on ne faisait rien.

Directeur Casey a réitéré sa position sur le prochain changement climatique avec le commentaire, "Le temps imparti et le délai nécessaire à l'échelle des préparations pour le prochain refroidissement est le plus difficile.  Si la rhétorique extrémiste de l'homme fait du changement climatique et si Obama s'empare de cette sensibilisation dans l'administration, ce nouveau climat froid pourrait nous prendre complètement au dépourvu et sans préparation.” Cela causera beaucoup de souffrances inutiles aux Américains. "

"La Terre connait un refroidissement dans une tendance à long terme tous les onze ans. La baisse significative des températures à l'échelle mondiale qui a également eu lieu entre Janvier 2007 et la majeure partie de 2008 devrait avoir été suffisante pour la plupart des observateurs à enfin accepter que le réchauffement de la planète est limité, sauf que cette information a été intentionnellement non répercutée sur le peuple américain. Aussi et, malheureusement, de la campagne présidentielle où les deux grands partis ont continué à battre tambour battant que seulement l'homme est responsable du réchauffement de la planète, du changement climatique et a contribué à faire de cette notion erronée que l'humanité est puissante et plus influente sur le climat de la Terre que le Soleil lui-même.  Cette idée a été fortement élevée par le Groupe d'experts intergouvernemental des Nations Unies sur les changements climatiques (IPCC-GIEC). Le présent et le précédent communiqué de presse ne sont pas destinés à être un non-sens, au point d'une procédure pour apporter raison à notre gouvernement à accepter la nouvelle réalité climatique. Plus précisément, c'est le Soleil et non l'homme qui a provoqué au cours des vingt dernières années cette période de réchauffement et c'est le même soleil, grâce à une forte baisse de son activité va maintenant nous apporter des décennies d'un climat d'un froid extrême ".

Dans une déclaration de clôture, Casey a rappelé, «Le réchauffement de la planète au cours des dernières décennies a été causé par le soleil. C'est maintenant terminée. Le soleil ne suivra pas les bases des modèles du SSRC pour au moins trente ans. Il reprendra ses cycles habituels qu'à ce moment là. Nous ne devrions pas perdre une minute, un sou dans le contrôle de quelque chose qui n'existe tout simplement pas, à savoir l'homme fait des changements climatiques en réchauffent la planète. Il est essentiel pour le bien-être de tous les Américains, que la lumière de ces nouveaux et surprenants changements dans la température de la Terre et de ces changements profonds dans le Soleil, que la prochaine administration ouvre une réorientation de l'examen politique sur les changements climatiques, dès que le Président Obama prend ses fonctions. "

source : http://www.spaceandscience.net/


Traduction et adaptation de la Terre du Futur

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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 13:40
Deux articles démontrent que les débats sur le rôle anthropique de la modification du climat (débats absents, tout comme sur le 11 septembre, des médias de masse) permettent d'éclairer les quidams fort peu informés, et plutôt conditionnés, sur le sujet.

Autre débat, autre défaite pour le “consensus” climatique

Un débat public vient de se conclure par une nette victoire des climato-sceptiques. Il a été organisé le 14 Janvier dernier par Intelligence Square autour du thème de la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les spectateurs présents dans la salle doivent répondre avant et après débat à la question : "pensez-vous qu'une forte réduction des émissions carbone est superflue ?" (graphique 1). Avant le débat, seule une faible minorité 16% pense que c'est superflu. Pourtant, les climato-sceptiques, dont Lomborg, bien connu des lecteurs de Skyfall ont présenté des arguments assez convaincants pour convertir un grand nombre d'indécis et en fin de débat, le pourcentage de ceux qui pensent comme eux est passé à 42%. Les défenseurs de la motion contraire eux, n'ont réussi à convaincre aucun indécis !

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ICI.

Un rapport japonais questionne la cause humaine du réchauffement climatique

Débat de chercheurs dans une étude sur le réchauffement climatique, la majorité pense que les gaz à effet de serre ne sont pas la cause.

La Société Japonaise de l'Energie et des Ressources (JSER) a publié une nouvelle étude sur les causes du réchauffement climatique. Intitulé "Le réchauffement climatique : quelle est la vérité scientifique ?", le rapport met en lumière les divergences de vues de cinq éminents scientifiques japonais.

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