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A LA UNE

31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 16:37

Une alerte est lancée pour une pollution assez sérieuse, demain, sur une grande partie de l'Europe et de la France.

 

Sortez couverts...

 

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 11:54

Gaz de schiste: Total veut commencer à «forer un site à haut potentiel» dans le sud-est

 

Suite au documentaire Gazland, diffusé ici même, voici les cartes des zones de prospection.

Captureschiste1.jpg

Captureschiste2.jpg

 

Source

Visiblement, les vampires de la Terre veulent accélérer le programme d'extraction. Comme nous ne pouvons plus rien attendre d'une classe politique totalement soumise aux diktats financiers, seule une très vaste mobilisation de la population nationale pourra stopper cette infamie.

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 22:51

Merci Léa... Très instructif.

 

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 20:05

Questions d'internautes à José Bové, sur le site du "Monde".

 

André Gramont : Peut-on évaluer les réserves existantes en gaz de schiste ou est-ce que tout cela n'est que chimère ?

José Bové : Je pense qu'aujourd'hui les évaluations données par les compagnies sont de pures spéculations, qui ne s'appuient pas sur une réalité mais uniquement sur la multiplication des kilos de gaz possibles par les surfaces de sous-sol en roche de schiste. On est donc dans un cadre spéculatif qui n'a pas de réalité chiffrée. De plus, les compagnies pétrolières reconnaissent qu'elles ne peuvent pas récupérer plus de 10 % à 20 % du gaz emprisonné. C'est donc très aléatoire.

Solenne : Les recherches de gaz de schiste ont-elles commencé en France ?

Le ministère de l'environnement, à l'époque Jean-Louis Borloo, a signé des permis de prospection avec un certain nombre d'entreprises. Les premiers permis ont été accordés en mars, les derniers, en août.

Aujourd'hui, ces permis recouvrent entre un dixième et un huitième du territoire national. Les entreprises, à partir de ces permis, font des recherches géologiques à partir des documents miniers existants, puis lanceront des prospections sismiques pour vérifier que ce qui figure sur les documents est là, dans le sous-sol. Après ces deux phases, il y a un potentiel de forages de prospection à partir duquel ils verront si leurs attentes seront récompensées.

Pour l'instant, selon le calendrier, prévu, c'est le permis de Villeneuve-de-Berg (Ardèche) qui est le plus en avance et qui pourrait être le premier sur lequel des camions viendraient faire des prospections sismiques.

Paloma : Pouvez-vous nous expliquer ce qui distingue l'extraction classique du gaz naturel de celle du gaz de schiste ?

Le gaz naturel est exploité en allant chercher des nappes, des poches de gaz dans le sous-sol. En France, par exemple à Lacq, il y a eu une exploitation pendant plusieurs décennies de gaz naturel qui était dans les poches.

Avec le gaz de schiste, le gaz est prisonnier dans la roche. Et pour l'extraire, il faut faire exploser la roche. C'est la technique dite de fracturation, qui se fait en injectant de l'eau sous très haute pression, additionnée de produits chimiques qui permettent d'ouvrir la roche. C'est donc suite à ces fracturations que du gaz peut s'échapper de cette roche. Pour extraire du gaz de schiste, il faut faire des forages très rapprochés, tous les 200 à 500 mètres.

Stéphane : Quels sont les dommages prouvés ou avérés de ce nouveau type de production de gaz ?

Pour l'instant, les éléments d'étude proviennent des Etats-Unis, mais aussi du Canada. Aux Etats-Unis, notamment dans la région de Pennsylvanie, où ces gaz ont été exploités, et dans d'autres régions, on a vu à la fois des pollutions de nappes phréatiques par la technique de la fracturation, puisque les tuyaux de fracturation se sont lézardés, et l'eau sous très haute pression, chargée de produits chimiques et de gaz, s'est répandue dans les nappes phréatiques. Il y a aujourd'hui, dans certaines communes des Etats-Unis, des milliers de personnes qui n'ont plus accès à l'eau potable.

Un des problèmes majeurs liés à cette pollution des nappes, c'est que les firmes pétrolières ont refusé de donner la liste des produits chimiques utilisés pour la fracturation au ministère de l'environnement des Etats-Unis, sous prétexte de brevet industriel. Ce qui pose évidemment des problèmes pour pouvoir évaluer les pollutions et les conséquences sur la santé publique.

D'autres problèmes existent aussi, en surface : il faut stocker l'eau qui a servi à la fracturation et qui est chargée de produits chimiques (chaque fracturation consomme entre 15 et 20 millions de litres d'eau, et il faut répéter cela plusieurs fois avant d'exploiter). Cette eau polluée, il faut ensuite l'évacuer et la stocker dans des bassins grands comme des terrains de football, car cette eau ne peut pas revenir dans le circuit de traitement des eaux usées.

Autre pollution importante, au niveau des territoires, car il faut forer de manière rapprochée, il faut des routes très larges pour les camions qui doivent accéder à chaque puits pour amener les produits chimiques et l'eau, et pour évacuer les produits chimiques. Pour cela, il faut des routes d'au moins 15 mètres de large, et le problème posé en termes d'infrastructures sera très important, d'autant plus que l'exploitation des puits ne dure pas plus de cinq à six ans.

Geoffrey : N'est-il pas incroyable que les permis d'exploration aient été délivrés par le ministère sans même que les collectivités locales n'en aient été informées ?

Je suis tout à fait d'accord avec votre remarque. C'est scandaleux que M. Borloo, le père du Grenelle de l'environnement, ait agi de la sorte.

Le débat n'a eu lieu ni à l'Assemblée nationale, ni au Sénat, ni au Conseil économique et social. Et quand les permis ont été signés, l'Etat ne s'est même pas donné la peine de prévenir les collectivités locales concernées. Ni les mairies, ni les conseils généraux, ni les conseils régionaux, ni les parcs régionaux, ni le parc national des Cévennes.

L'Etat a véritablement décidé de l'omerta en espérant que personne ne réagisse. C'est aujourd'hui la seule analyse qu'on puisse faire, ou alors il faut dire qu'ils sont irresponsables et n'ont pas étudié le dossier.

Maaramu : L'exploitation du gaz de schiste concernera très peu de pays en Europe, donc quelle peut être la voix de l'Europe sur ce sujet ? D'autant que grâce à ces ressources, le prix du gaz va baisser ou sera stable, donc ce sera tout bénéfice pour les consommateurs européens. Mais peut-être êtes-vous pour une augmentation du prix de l'énergie, ce qui entraînera une précarité énergétique  pour les plus fragiles.

Le problème est de savoir si le gaz de schiste sera une énergie de substitution au gaz naturel ou au pétrole dans les dix à quinze ans à venir. Cela n'a jusqu'à présent fait l'objet d'aucun débat scientifique sérieux. Les seuls qui affirment qu'il y a des réserves et que leur exploitation pourra se faire sans problème sont les compagnies pétrolières.

C'est pourquoi, en même temps que nous demandons l'arrêt des permis de prospection, nous demandons un débat public au niveau national et au niveau européen sur la question de l'énergie et sur une prospection à 30 et 50 ans, à la fois des besoins, mais aussi des modes de production et des conséquences.

Car aujourd'hui, on ne peut plus traiter cette question sans en même temps évaluer l'émission de CO2, que la France s'est engagée à réduire de 20 % à 30 %, comme l'ensemble de ses partenaires européens. Le débat aujourd'hui sur l'énergie est indispensable avant toute mise en avant d'une technologie par rapport à une autre.

Romain : Quelles sont les entreprises françaises qui sont sur ce marché, ces entreprises sont-elles déja connues et si oui avez-vous un avis sur elles... ?

Pour l'instant, les deux entreprises françaises qui ont obtenu des permis sont Total d'un côté, et GDF-Suez de l'autre. Ces entreprises sont adossées à des entreprises américaines déjà engagées de l'autre côté de l'Atlantique dans l'exploitation du gaz de schiste. Une autre entreprise a obtenu un permis d'exploration pour de l'huile de schiste sur le Bassin parisien. Il s'agit de Toreador, dont le dirigeant est M. Balkany.

Bleuen : La France exige-t-elle la communication de la liste des produits chimiques utilisés pour l'extraction ?

Pour l'instant, aucune étude française, et aucun cahier des charges, n'ont été mis en avant par le ministère de l'environnement dans ce dossier. Le ministère de l'environnement dira qu'il met en place des études environnementales uniquement quand les demandes de puits d'exploration se feront. On est donc à mon avis dans une situation pas du tout prospective, et j'engage Mme Kosciusko-Morizet, ministre de l'écologie et du développement durable, à se joindre à nous pour demander, au nom de son ministère, l'annulation des permis d'exploration tant que l'ensemble des données ne seront pas transparentes et que les risques environnementaux n'auront pas été évacués.

NM : Pourquoi le problème du pic pétrolier n'est-il pas plus présent dans le discours des écologistes ? Ne pensez-vous pas que l'après-pétrole devrait être l'un des thèmes majeurs de la campagne de 2012 ?

Je pense effectivement que la question du pic pétrolier est une des questions importantes à moyen et long terme, et qu'elle nécessite une véritable stratégie de lutte contre le gaspillage des matières fossiles pour une meilleure efficacité énergétique et pour le développement d'énergies alternatives renouvelables. Cela ne pourra se faire que dans un cadre européen, avec un budget de la recherche conséquent.

Amis de la Terre Midi-Pyr : Puis-je refuser les forages exploratoires sur un terrain qui m'appartient ?

Dans le cas du gaz de schiste, ce n'est pas le code civil qui prédomine, mais le code minier. Donc le sous-sol appartient à l'Etat, et en cas de demande de forage sur une propriété privée, l'Etat sera obligé d'exproprier le propriétaire.

Carole : En tant que député européen, pensez-vous pouvoir utiliser les pétitions contre les forages de gaz de schiste qui circulent pour que le Parlement européen se prononce sur le problème ? Que peuvent faire les députés européens pour arrêter ces projets de forage ?

On envisage de lancer une pétition au niveau européen dans le cadre de la nouvelle procédure qui est autorisée par le traité de Lisbonne. Nous allons donc en même temps, au niveau des députés européens, lancer un intergroupe avec d'autres formations politiques et d'autres pays, notamment de l'Est, concernés par les projets de prospection, pour organiser à ce niveau-là aussi le débat et, à terme, la suspension dans un cadre européen de cette exploitation.

Dominique : Si l'on parvient à sécuriser les techniques d'extraction des gaz de schiste pour préserver l'environnement, ce gaz se révèle beaucoup moins polluant que le charbon. Qu'en pensez-vous ?

Il est un peu tôt pour le dire. Certaines études aux Etats-Unis, de l'université de Cornell, montreraient que cette exploitation du gaz de schiste pourrait se révéler au moins aussi polluante que le charbon, si ce n'est plus. Mais pour l'instant, nous n'avons pas assez de recherches pour pouvoir nous prononcer de manière définitive et indiscutable.

Lapetitemaison : Quand le film "Gazland" sera-t-il visible en France ?

Le film "Gazland" est déjà visible en France, puisqu'on peut le télécharger sur Internet. Actuellement, nous sommes en discussion avec le réalisateur pour essayer de mettre en place une version française. Nous espérons pouvoir avoir une sortie en salles aux alentours du mois de mars ou du mois d'avril.

Je rappelle, pour ceux qui n'ont pas encore entendu parler de ce film, qu'il relate la traversée, de la Pennsylvanie notamment, par le réalisateur du film, qui se retrouve du jour au lendemain avec une proposition de forage chez lui. Donc il décide de traverser les Etats-Unis pour aller se rendre compte directement de la réalité de cette exploitation.

Une des scènes de son film les plus reprises sur Internet montre un habitant d'un village qui, après avoir fait couler de l'eau dans son évier, allume son évier avec un briquet, et l'évier s'enflamme parce que la nappe phréatique s'est trouvée remplie de gaz.

Ce film est véritablement le premier reportage sur ces extractions de gaz de schiste.

Romain : Des recours pour excès de pouvoir ont-ils été engagés contre les permis d'exploitation ? Des référés suspension ont-ils été déposés ?

Pour l'instant, aucun recours juridique n'a été déposé. Nous étudions, avec plusieurs cabinets d'avocats, les recours à mettre en place. Et nous allons, avec les collectivités locales et les régions, mettre en commun une stratégie juridique complémentaire à la mobilisation sur le terrain. C'est l'objet notamment de la coordination qui se tiendra dans le courant du mois de février dans le Sud-Est.

Emmanuel : Quels sont les arguments portant sur la sûreté de l'exploitation avancés par GDF et Total ?

Il est difficile pour moi de parler à la place des pétroliers. Mais comme à chaque fois, les arguments qui sont avancés sont de dire que les techniques françaises sont plus sûres que les techniques américaines, et que bien évidemment, tout se fera dans le respect des règles environnementales. C'est ce que j'appelle la langue de bois industrielle.

Arthur : Existe-t-il un organe de contrôle national ou international sur ce genre de gisements ?

A ma connaissance, il n'en existe pas. Et malheureusement, quand il s'agit de prospection minière, les Etats ont pris l'habitude de se coucher devant les compagnies.

Caroline : Concrètement, que faire ? Des réunions publiques d'informations, des pétitions ? Quel poids peut avoir la société civile face à de tels enjeux et comment s'y opposer ?

Sur l'ensemble des territoires où les permis ont vu le jour, des collectifs se mettent en place, regroupant à la fois des citoyens, des associations de l'environnement, des organisations syndicales et politiques. Les premiers éléments, évidemment, sont l'information. C'est pourquoi j'incite tous ceux qui nous lisent à participer à l'organisation de débats publics dans l'ensemble des communes, à faire signer massivement la pétition "Gaz de schiste ? Non merci", et en même temps, à faire circuler les délibérations des communes qui demandent l'annulation des permis.

A l'heure qu'il est, nous avons déjà plusieurs dizaines de communes qui ont pris de tels arrêtés. Le conseil général de l'Ardèche va en faire de même, et le conseil régional de Rhône-Alpes a été le premier à prendre une telle délibération. Les conseils régionaux de Midi-Pyrénées et de Languedoc-Roussillon vont suivre très certainement au mois de février.

En lançant la mobilisation très en amont des risques de forage, nous pouvons obtenir l'annulation de ces permis et la mise en place d'un débat public. En tout état de cause, il faut alerter au maximum et interpeller tous les responsables politiques pour qu'ils se situent par rapport à ces projets.

Casimir : Qu'en pensent vos collègues d'Europe Ecologie ?

L'ensemble des élus d'Europe-Ecologie, que ce soit au Parlement européen ou au niveau national, ont compris l'enjeu de cette mobilisation et sont prêts à la porter dans toutes les instances politiques dans lesquelles ils siègent.

Le rôle des conseillers régionaux Europe-Ecologie est à ce niveau-là très important, puisqu'ils participent à la mobilisation sur le terrain avec l'ensemble des acteurs locaux de toutes composantes politiques, syndicales ou environnementales.

Cela ne doit pas être uniquement le combat de ceux qui se reconnaissent dans Europe-Ecologie, mais bien de tous les citoyens qui se sentent concernés.

Régine Peyrat : La pénurie d'énergie est là et le pétrole augmente de 9,49% par an depuis 1974, sachant qu'en l'an 2100 toutes les énergies fossiles seront épuisées sur la planète selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), comment préparons-nous nos petits-petits enfants à faire face ? Pour faire cuire le mouton et chauffer nos maisons par exemple ?

C'est pour cela que je reviens sur ce que je disais précédemment : la nécessité d'un débat au niveau européen et national sur à la fois les besoins en énergies, les réserves de différentes sortes, et la façon d'aborder la raréfaction des énergies fossiles.

Aujourd'hui, par exemple, on parle de bâtiments à énergie positive, et c'est une très bonne chose, mais un des plus grands gouffres énergétiques est représenté par l'habitat ancien, non isolé ou mal isolé. Traiter cette question, c'est aussi orienter l'économie vers le local, et donc créer des emplois en grande quantité pour faire face à ce gaspillage énergétique qui est l'un des plus problématiques aujourd'hui.

Thomas : M. Bové, serez-vous candidat aux primaires des écologistes pour la présidentielle de 2012 ?

Ma réponse est non. Aujourd'hui, deux candidats ont déjà fait acte de candidature à l'intérieur d'Europe-Ecologie, Mme Eva Joly, que je soutiens, et M. Yves Cochet. Y aura-t-il d'autres candidats qui se feront connaître ? L'avenir nous le dira, mais en tout état de cause, nous ouvrirons le débat à tous ceux qui se sentent proches de l'écologie pour choisir en définitive notre candidat à la présidentielle.

Chat modéré par Emmanuelle Chevallereau

 

Source

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 13:34

Les gaz de schiste connaissent présentement un essor extraordinaire aux États-Unis. En Europe, les compagnies pétrolières commencent à s'intéresser sérieusement à cette ressource de gaz non conventionnels. Leur exploitation causant une dégradation environnementale incommensurable, les écologistes et environnementalistes sont en alerte. C'est dans une certaine discrétion complice que la course aux gaz de schiste vient de commencer en France.

En Picardie, la société Toreador, le quatrième producteur de pétrole français, et son partenaire Hess devraient ainsi entamer, dès le début de l’année prochaine, un programme de six forages dans une zone supposée riche en huiles de schiste s’étendant sur 779 km2 autour de Château-Thierry (Aisne). L’américain Schuepbach Energy, associé à GDF Suez, est parti à la découverte de gisements de gaz de schiste en Lozère et en Ardèche où il détient deux autorisations de recherche sur des zones de 931 et 4414 km2. Tandis que Total et Devon Energy entendent fouiller une région de 4327 km2 près de Montélimar (Drôme)… Et ce n’est qu’un début. «Plusieurs autres permis d’exploration seront attribués dans les prochains mois», promet Charles Lamiraux, responsable de l’exploration pétrolière française au ministère de l’Energie. En tout, 65 000 km2 du territoire français seront bientôt livrés aux prospecteurs de gaz et huiles de schiste(source http://www.liberation.fr/sciences/01092292531-brut-de-france).

Qu'est-ce que le gaz de schiste?
Comment est-il extrait du sous-sol?
En quoi cause-t-il une dégradation environnementale désastreuse?
Pourquoi devons-nous tous dire non à l'exploitation du gaz de schiste?

Vous trouverez toutes les réponses dans les liens ci-dessous :

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2639_gaz_schiste.php

-lien interactif : http://app.owni.fr/gaz/

http://ownipolitics.com/2010/12/07/gaz-de-schistes-le-tresor-empoisonne-du-sous-sol-francais/

http://www.youtube.com/watch?v=sb50ic1oI7Q

http://www.zegreenweb.com/sinformer/energie/la-france-lorgne-sur-le-gaz-de-schiste,19516
http://www.zegreenweb.com/sinformer/energie/le-gaz-de-schiste-nouveau-poison,19354


Dites NON! à l'exploitation du gaz de schiste!

 

 http://8997.lapetition.be/

 

Les vidéos seront mises en ligne au fur et à mesure de leur création. J'ai voulu mettre sur YouTube pour la plus large diffusion possible mais le film est visible en une seule fois ICI.
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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 21:35

Encore quelques cuites, et je vais pouvoir construire ma maison...

 

Courage...

 

 

J'ai trouvé cette vidéo sur cet excellent article du Monde, à ne pas manquer...

 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 18:38

(Source : Djamelito-info via SdT)

• Saviez-vous qu’en Europe les cancers du poumon entre 1900 et 1945 étaient presque totalement inexistants, alors que le pourcentage de fumeurs était très proche de celui d’aujourd’hui (aux alentours de 40 %) ?
- On peut se demander si ce ne serait pas dû aux nombreux ingrédients qui y sont ajoutés… :

 
La Nicotine : il faut savoir que la nicotine vient du nom de Jean Nicot qui l’a introduit au 16ème sous le nom “l’herbe à Nicot”. Elle est présente à hauteur de 5% dans les feuilles de tabac. La Nicotine est tout de même classée parmi les poisons Neutral, autrement dit elle contribue, à faible dose, à une stimulation du système nerveux.


• Saviez-vous que, selon Philip Morris : « Fumer entraîne des problèmes de santé graves tels que le cancer du poumon, les maladies cardiaques, l’emphysème et d’autres maladies chez les fumeurs. Les fumeurs sont beaucoup plus susceptibles que les non-fumeurs de développer des maladies telles que le cancer du poumon. Il n’existe pas de cigarette “sûre”. »


• Saviez-vous qu’entre 1945 et 2000 plus de 2000 essais nucléaires ont été réalisés dans les airs et en sous-sol, et plus de 80 incidents nucléaires importants ont eu lieu (notamment en Angleterre), polluant pour des décennies l’air que nous respirons ?
- La campagne anti-tabac ne serait-elle pas l’arbre qui cache la forêt du nucléaire…


• Saviez-vous que, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a signé en 1959 un accord avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique qui stipule que l’OMS ne peut parler des cancers provoqués par le nucléaire, sans l’accord de l’AIEA. Or, selon une étude scientifique indépendante, le nucléaire serait responsable de 120 millions de cancers depuis 1945.


• Saviez-vous que, Richard Doll, l’homme qui est à l’origine de la principale étude statistique en 1969 sur le rapport entre tabac et cancer des poumons, est un scientifique qui a été financé par Monsonto, Dow Chemical, l’Association des Industries Chimiques Américaines, General Motors et deux fabricants d’amiante (Turner et Newall) ?


- Conflit d’intérêt afin de cacher des plus gros coupables ?


• Saviez-vous que, malgré 50 ans d’essai en laboratoires, il n’a jamais été possible de prouver scientifiquement que le tabac pouvait créer des cancers chez les animaux comme les rats, les souris, ou les singes ?


• Saviez-vous que, Pfizer et GlaxoSmithKline (deux laboratoires pharmaceutiques américains vendeurs de gommes à la nicotine et de produits contre les maladies neurologiques) ont financièrement parrainé la conférence européenne du 2 juin 2005 à Luxembourg “Pour une Europe sans fumée” qui a fabriqué 5 863 morts du tabagisme passif en France ?
- Guerre entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac…


• Saviez-vous que, la plus grande étude sur le tabagisme passif, réalisée en Europe par l’OMS en 1998, trouve un risque d’augmentation de cancer quasiment nul pour les non-fumeurs ?
- Pourtant on est formaté du contraire…


• Saviez-vous que, les fumeurs avaient un risque de 73 % moins élevé que les non-fumeurs de développer une maladie neurologique de Parkinson, selon le journal scientifique “Neurology” ?


• Saviez-vous que, le principal défaut du tabac est de consommer 500 mg de vitamine C par jour par paquet, ce qui a des conséquences indirectes sur la protection contre les cancers et les maladies cardio-vasculaires ?


• Saviez-vous que, l’homme est l’un des rares mammifères, avec le cochon d’Inde, à ne pas synthétiser sa propre vitamine C et que l’OMS recommande 75 mg par jour, alors que, le double prix Nobel, Linus Pauling recommande, lui, 1 000 mg par jour, soit près de 15 fois plus ?

 

Trouvé sur NoT

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 19:37

Internationalnews

 

http://www.francesoir.fr/sites/default/files/3e3436c1807d967c813f1170fe0bb27b.jpg

 

William Reymond publie un nouveau livre : TOXIC FOOD sur la malbouffe aux USA et en France,

Trompant notre vigilance et nous endormant à coups de fausses promesses et de messages tronqués, l'industrie agroalimentaire a modifié la nature de notre nourriture et colonisé nos assiettes au point de représenter l'essentiel de ce que nous mangeons. Parce que, alors que la toxic food devenait notre pain quotidien, certaines maladies - Alzheimer, cancers - ont connu, parallèlement, une expansion sans précédent.


Un lien de cause à effet ? De multiples études prouvent que oui. Après Toxic, sur les causes de la crise mondiale d'obésité, William Reymond analyse les conséquences de l'alimentation industrielle sur la santé. Du cancer du sein touchant des millions de femmes - qui atteint désormais aussi des hommes - aux dégâts de certains ingrédients sur les cerveaux des enfants en passant par les frites cancérigènes et le poulet enrichi aux protéines de porc, Toxic Food enquête sur les dangers...

 

Photo: francesoir

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 14:30
Quand les chenilles commencent à s'attaquer au tabac naturel, leur salive induit un signal de SOS de la part de la plante qui provoque l'arrivée d'insectes volants prédateurs selon une nouvelle étude.

Les substances émises immédiatement par la plante après sa lésion sont les composés volatiles des feuilles vertes ou "CVFV", et si vous avez déjà senti l'odeur du gazon fraîchement coupé, vous avez senti les CVFV. Les scientifiques considéraient ces composés comme des signaux généraux de détresse, contrairement aux signaux plus spécifiques émis par les plantes un jour après avoir été attaquées par des herbivores.


La chenille du Sphinx du tabac.

Les chercheurs allemands Silke Allmann et Ian Baldwin, du Max Planck Institute for Chemical Ecology à Iena en Allemagne, annoncent maintenant que ces CVFV peuvent en fait être très spécifiques, du moins dans le cas du tabac sauvage ou Nicotiana attenuata. Ils ont découvert que lorsqu'elle est attaquée par la chenille du Sphinx du tabac, ou Manduca sexta, la salive de l'insecte provoque un changement chimique dans les CVFV produits par la plante. Ces derniers peuvent alors attirer le prédateur généraliste Geocoris, une punaise qui se nourrit des oeufs du papillon et de ses jeunes larves. Même si d'autres recherches seront nécessaires pour comprendre exactement comment la salive de la chenille induit un tel changement dans les CVFV, il est déjà clair que les chenilles sont bien à l'origine de cette transformation selon les chercheurs.

Il pourrait ainsi être un jour possible d'induire le même type de changement par manipulation génétique de façon à protéger les plantes des ravageurs sans que ces derniers ne puissent développer de résistance aux pesticides.

Source: Science, AAAS & EurekAlert

 

TechnoScience

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 14:25
Peut-on vivre en France sans compte en banque ?

Aucune loi n'oblige les citoyens français à posséder un compte en banque. Pourtant, ils ne sont que moins de 1% de la population à ne pas être « bancarisés », selon une enquête du Credoc datant de fin 2009.

Un chiffre si faible que les chercheurs admettent qu'il est difficile de l'interpréter  :

« Le nombre de ménages en situation de pauvreté n'ayant pas de compte de dépôt est trop faible pour analyser les raisons de non-possession. On peut cependant relever que les motifs liés à l'absence de besoin, ou au choix de ne pas avoir de compte de dépôt, sont plus souvent mentionnés. »

 

Lire la suite

 

 

Puis-je demander à toucher mon salaire en espèces ?

 

Depuis la crise, vous ne faites plus confiance aux banques ? Rien ne vous empêche de demander à votre patron de vous rémunérer en espèces. Mais à une condition : votre salaire ne doit pas dépasser 1 500 euros.

Le Code monétaire et financier fixe en effet des limites aux paiements en espèces. Son article L112-6 précise ainsi que « les règlements qui excèdent la somme de 1 100 euros », ainsi qu'une série de transactions précises (comme, bizarrement, celles portant « sur des animaux vivants ou sur les produits de l'abattage »), « doivent être effectués par chèque barré, virement ou carte de paiement ». Et surtout :

« Le paiement des traitements et salaires est soumis aux mêmes conditions au-delà d'un montant fixé par décret. »

Ce décret date de 1985, et a été réactualisé après le passage à l'euro :

« Le montant (…) est fixé à 1 500 euros. Si le traitement ou salaire fait l'objet d'acomptes, ceux-ci sont versés en espèces au salarié qui en fait la demande, sous réserve que le montant total du traitement ou salaire n'excède pas la limite fixée. »

 

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