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30 derniers jours du Soleil

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A LA UNE

28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 09:02

Hier, le 24 avril 2009, sur Icecap, paraissent deux articles contradictoires et controversés sur le calme solaire ont signaléés : un article de Pollack Ghosh, correspondant scientifique de la BBC new et un autre de Pierre Corbyn de WeatherAction.


Les deux correspondants parlent du soleil qui actuellement est d'un calme plat, ce qui intrigue les astronomes du monde entier.


Selon le premier article, le professeur Mike Lockwood, de l'université de Southampton, affirme que ce calme, qui historiquement a été annonciateur de périodes froides, ne peut atténuer la hausse de température actuelle, attribuée à la combustion de carburants fossiles, qui augmente la teneur en CO² atmosphérique et qui déclenche le réchauffement de la planète (RCA).


Cependant, le météorologue de longue durée, Pierre Corbyn, affirme le contraire, compte tenu du refroidissement qui est survenu lors de la moitié du 17e siècle, où une période très tranquille, connue sous le nom "Du minimum de Mauder", qui a mené à une mini âge glaciaire qui a duré 70 ans. Lui prévoit que la planète va continuer à se refroidir jusqu'en 2030.


Qui a raison, le conseiller scientifique du Royaume Uni, Mike Lockwwood ou Piers Corbyn de WeatherAction et spécialiste en prédictions météorologiques de longue durée?


Pour se faire une idée, il suffit de lire les deux articles contradictoires ICI
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 18:34
Ce titre est un petit clin d'oeil aux Pink Floyd

Si vous regardez l'image "les 30 derniers jours du Soleil" à gauche, vous remarquerez que de nombreuses éruptions se résorbent en arrivant face à la Terre. Il y a eu des explosions, ces derniers jours, mais toujours en limite de la face cachée du Soleil. Leurs effets n'ont pas affecté la Terre.

Cela veut dire que si le Soleil est très calme en ce moment, ce n'est pas sur toute sa surface, mais uniquement sur celle qui concerne notre planète.

D'ailleurs, depuis une dizaine d'années, l'activité de l'autre face du Soleil (qui tourne sur lui même en une période de 27 jours) est observable par résonance.


Les données du satellite SOHO viennent préciser ces mécanismes. L'imageur Doppler MDI par exemple permet d'effectuer des mesures holographiques pour analyser des taches solaires sur la face cachée du Soleil en traversant littéralement le coeur de notre étoile. Ces données peuvent être complétées par l'expérience tout à fait étonnante d'Anisotropie du Vent Solaire (SWAN) également embarquée à bord de SOHO qui permet de visualiser en lumière ultraviolette les "empreintes" que provoquent les taches solaires de la face cachée dans le milieu interplanétaire. Complétées par les données de GONG et une fois mises en corrélation ces données permettent d'analyser la propagation des ondes acoustiques à l'intérieur du Soleil.

Cette image réalisée par l'instrument MDI montre la région active AR9393 en transit sur la face cachée du Soleil le 12 Avril 2001. Les régions jaunes et rouges indiquent des condensations magnétiques qui affectent la vitesse de propagation des ondes acoustiques à l'intérieur du Soleil. Document SOHO/MDI.

Il faut en effet chercher l'origine de ces vibrations dans la structure interne du Soleil[18]. Si nous comparons l'astre à un résonateur pour des ondes acoustiques, on peut le comparer par analogie avec un tambour. En effet, nous savons que le Soleil vibre avec une amplitude très faible, les ondes se réfléchissant entre la surface et les niveaux plus profonds. Ces deux régions limites jouent un rôle similaire aux parois d'un tambour ou d'un tuyau d'orgue, entre lesquelles un système d'ondes stationnaires s'établissent. Le son se propage ainsi plus ou moins bien en fonction de la densité du milieu et de sa température, la période des oscillations solaires étant étroitement liée à la température et la densité du plasma. L'analyse de la propagation radiale des oscillations et leur durée d'amortissement permettent d'élaborer des modèles de la structure interne du Soleil et de les comparer aux observations.

Les astrophysiciens expliquent ces phénomènes d'oscillations comme étant une manifestation de la turbulence des électrons issus de l'activité nucléaire. Accélérés par le champ magnétique, les électrons peuvent acquérir des vitesses voisines de la moitié de celle de la lumière ! En percutant les couches successives de l'atmosphère solaire ils provoquent des vibrations du plasma, des ondes de choc et des phénomènes acoustiques responsables des "sursauts" radioélectriques qui peuvent durer plusieurs heures.

Certaines ondes acoustiques proviennent de la granulation visible au niveau de la photosphère, ces petits tubes de convection d'environ 1000 km de diamètre. Selon Phil Scherrer de l'Université de Stanford et principal chercheur attaché à l'instrument MDI, les ondes sonores analysées ont une période d'environ 5 minutes ce qui est grosso-modo la fréquence d'une granule de la taille de l'état de Californie.

Source

 

Les dernières données pour cette analyse de la face cachée du Soleil sont disponibles ICI


Pour le 25 avril 2009


Pour le 26 Avril 2009

Vous avez d'autres mesures et repères ICI


Pour le 26 Avril 2009

Cela fait maintenant plusieurs mois que je vois les éruptions ainsi mourir "à notre porte", seules quelques unes survivant pour maintenir une activité très basse, jamais vue depuis le début du siècle dernier.

La question que je me pose, même si elle paraîtra stupide à beaucoup, c'est que si l'activité n'est pas la même d'un côté et de l'autre du Soleil, n'y a-t-il pas une "intention" derrière tout cela.

Quiconque observant le Soleil en ce moment doit se poser la question, tellement c'est flagrant.

Il faut juste se rappeller que le Soleil a longtemps été un Dieu pour les hommes. Sun, en anglais, est le dimanche, le jour du Seigneur... Bien sur, aujourd'hui, dans ce siècle d'obscurantisme total, se poser de telles questions mène tout droit vers l'asile...

Nous vivons une époque merveilleuse...

Merci à Christalain pour ses précieux liens.

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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 06:22

Le 4 janvier 2008, la Nasa a enregistré l’inversion magnétique du soleil qui annonçait le début du cycle 24. Si l’année 2008 était indiscutablement, comme attendue, celle du minimum du cycle de Schwabe (11,2 ans) avec 73% de l’année sans tache, notre bonne vieille étoile vient de faire un bras d’honneur aux astronomes qui attendaient, comme des politiques devant la crise, la reprise de l’activité.

Au premier trimestre 2009, non seulement l’activité n’a pas repris, mais l’accalmie s’est amplifiée et l’étoile s’est complètement endormie : 87% du temps sans la moindre petite tache. Un record de calme, la plus petite activité depuis 1 siècle. Selon Louise Hara, de l’université de Londres, "On ne sait pas pourquoi ça arrive, ni quand ça va reprendre".

La Nasa se veut rassurante : En 1901 et 1913, les minimum étaient plus longs que maintenant, il faudrait encore un an supplémentaire pour les dépasser. Selon Pesnell, l’affaire devrait tourner à nouveau "probablement d’ici la fin de l’année".

Toutefois, selon le chercheur australien David Archibald, si le cycle 23 s’étend à 13 ans, la température moyenne terrestre pourrait enregistrer une baisse de 1 à 1,5°C, ce qui, comparé à l’augmentation de 0,6°C de la température globale au XX° siècle, ferait entrer la planète dans un refroidissement sensible.

On songe bien-sûr au minimum de Maunder, période qui alla de 1645 à 1715, où des corrélations furent établies, bien que non encore expliquées scientifiquement, entre une activité solaire très basse et une période de froid rigoureux appelé "petit âge glaciaire". Cette corrélation étant mal connue, et le différé de la reprise de l’activité solaire n’étant pas modélisable, aucun scientifique ne s’est encore hasardé à parler d’un nouveau "petit âge glaciaire". Reste à attendre le reveil de la bête, et suivre les prochaines hypothèses scientifiques. On est bien peu de chose.

Source

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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 05:57
Immédiatement après celle d'hier, la même éruption lache un nouveau flot solaire.




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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 11:07
Tout comme la dernière, il y a quelques jours, elle n'est pas dirigée vers la Terre. Le Soleil, même s'il reste inactif quand il est face à nous, ne l'est pas par ailleurs...





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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 14:49
C'était hier après midi. Vues prises de Lasco C2.



La même explosion, vue par Lasco C3


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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 19:44
Un très bon article sur le Soleil, dans un média mainstream, tiens donc...

Ne rêvons pas, dans cet article, le Soleil n'est pas responsable du "réchauffement climatique" (quoi que la porte est entrebaillée) malgré le fait que la chute de son activité coïncide avec une baisse des températures globales depuis la fin des années 90 (dernier maximum solaire : an 2000).




Même lorsqu'il semble profondément endormi, le Soleil pique parfois d'homériques colères. Comme celle captée en décembre 2008 par les deux sondes jumelles Stereo, dont les images ont été rendues publiques, mercredi 15 avril, par la NASA. Les deux engins, en orbite autour de l'astre de jour - l'un précédant la Terre, l'autre la suivant - ont pu reconstituer, en trois dimensions, la forme de l'une de ces bouffées électromagnétiques que notre étoile expulse parfois, sans prévenir, dans le milieu interplanétaire.

Sans prévenir ? "Nous avons besoin de mieux connaître les détails de ces phénomènes afin - précisément - de pouvoir un jour les prévoir, dit Jean-Louis Bougeret, directeur du Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysique (Lesia) et responsable de l'un des instruments de la mission Stereo. Pour cela, il nous faut, entre autres, avoir accès à la forme, en 3D, de ces grandes structures magnétiques."

Ces immenses bouffées de particules (électrons, protons, particules alpha...), aussi appelées éjections de masse coronale (EMC), parviennent à la Terre en deux à quatre jours. En interagissant avec la haute atmosphère, elles y forment les belles iridescences des aurores polaires. Mais elles peuvent aussi provoquer des dégâts considérables sur l'électronique embarquée des satellites, sur les systèmes d'information ou même sur les réseaux électriques. En mars 1989, un effondrement du réseau électrique canadien, suivi d'une panne générale de près de dix heures, avait ainsi été provoqué par l'un de ces accès de mauvaise humeur solaire...

Il n'y a pas, actuellement, trop lieu de s'inquiéter. "Nous assistons en ce moment à un minimum profond de l'activité solaire", précise M. Bougeret. Certes, des EMC se produisent toujours, au rythme de quelques-unes par semaine, mais elles sont à la fois moins spectaculaires et moins nombreuses que lorsque le soleil est au plus fort de son activité.


Anticiper la survenue des EMC, ces sautes d'humeur ponctuelles, est compliqué. Mais pas moins, sans doute, que d'anticiper les variations de l'activité moyenne de notre étoile. Cette activité est intimement liée au nombre de taches solaires, qui font l'objet d'observations depuis le XVIIe siècle. Chacun de ces points sombres est entouré d'une zone très brillante, la facule : plus le nombre de taches est élevé, plus l'étoile est brillante et turbulente. Plus il est faible, plus l'étoile s'assagit.


En théorie, ces variations sont pourtant relativement prévisibles : elles suivent un cycle d'environ onze ans. Mais, de l'un à l'autre, les fluctuations peuvent être notables. Commencé en 1996, le dernier cycle (dit cycle 23, par convention) a culminé en 2001 et s'achève depuis plus d'un an, sur une interminable agonie. La NASA a annoncé, début avril, que l'année 2008 avait été exceptionnellement calme pour notre étoile. Celle-ci n'a exhibé aucune tache solaire pendant 266 des 366 jours de l'année (soit 73 %). Il faut remonter à 1913 pour trouver une année de Soleil plus calme (avec 311 jours sans taches).


"Le plus étonnant est qu'on ne voit toujours pas le cycle 24 commencer réellement, ajoute Andrei Zukhov, physicien au Solar Influences Data Analysis Center (SIDC) de Bruxelles. Cela veut dire que le cycle 23 dure depuis maintenant treize ans, alors que la durée moyenne d'un cycle est de 11,2 ans. Le plus court jamais observé a été de neuf ans et le plus long de quatorze ans. Si la situation n'est donc pas totalement exceptionnelle, elle est malgré tout très inhabituelle."


Quand l'activité solaire va-t-elle "redémarrer" ? Peut-être pas en 2009. Selon la NASA, notre étoile est demeurée vierge de toute tache pendant 78 des 90 premiers jours de l'année (soit 87 %) ! Une proportion encore supérieure à celle enregistrée sur l'ensemble de l'année 2008.


Les scientifiques ignorent à quel moment le Soleil va enfin sortir de sa torpeur. Quant à ce que sera le cycle 24, tout porte à croire aujourd'hui - sans en être certain - qu'il sera de faible amplitude. "Peut-être sera-t-il comparable à ce qu'on a pu observer autour de 1810 et 1900, avec des maximums d'activité très faibles, dit Gérard Thuillier, chercheur au Laboratoire atmosphère, milieux, observations spatiales (Latmos). Cela correspondrait au cycle de Gleissberg, dont la période est de 90 à 100 ans, mais la réalité de ce cycle est sujette à caution, car nous avons très peu de recul." En effet, le cycle solaire de onze années, bien connu, pourrait être modulé par des cycles de plus grande période - celui de Gleissberg et d'autres, de périodes plus longues encore, mais dont la réalité demeure spéculative.


Même à moyen terme, la prévision est hasardeuse. Ou impossible. "En 2007, les spécialistes mondiaux du Soleil ont été réunis sous l'égide de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine afin de produire une prévision consensuelle du cycle 24, raconte Andrei Zukhov. Ceux qui fondaient leurs prévisions sur l'étude de précurseurs, comme le magnétisme solaire ou terrestre, prévoyaient un cycle 24 faible. Ceux qui utilisaient des modèles très sophistiqués simulant la dynamo solaire prévoyaient un cycle 24 fort. A défaut de consensus, la NOAA a fourni une double prévision : l'une haute, l'autre basse."

Depuis 2007, l'ensemble de la communauté scientifique a pu constater la lenteur au démarrage du cycle 24. Et, selon M. Zukhov, la plupart de ceux qui tablaient sur un cycle 24 puissant ont revu leur copie. Les scientifiques les plus hardis et les plus extrêmes vont même jusqu'à prévoir "un nouveau minimum de Maunder", ajoute le physicien, en référence à cette période, entre 1645 et 1715, durant laquelle aucune tache solaire ou presque n'avait pu être observée.


Cette accalmie possible pourrait-elle régler, momentanément au moins, le problème du réchauffement ? "Entre minimum et maximum de cycle, il y a une différence de 0,1 % de l'éclairement (énergie irradiée) du Soleil", précise Gérard Thuillier. Une variation somme toute minuscule. "Les études qui cherchent une corrélation entre l'activité solaire et le changement climatique récent ne distinguent plus aucun effet discernable depuis 1950 environ", dit Andrei Zukhov.


Si influence solaire il y a, elle n'est pas liée à la variation d'énergie reçue par la Terre, dit en substance M. Thuillier, mais à des effets plus subtils, peut-être provoqués par le changement de distribution des gammes de longueur d'ondes dans le rayonnement. "Lorsque l'éclairement augmente de 0,1 %, la proportion dans le spectre d'ultraviolets de longueur d'onde 200 nanomètres augmente de 8 %", explique le chercheur, responsable scientifique du satellite Picard. Celui-ci doit être lancé fin 2009. Il cherchera les causes profondes des variations d'activité de notre étoile. Qui, d'ici là, se sera peut-être réveillée.


Stéphane Foucart

Le Monde.fr
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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 19:03

Le chiffre pour le mois de mars 2009 est tombé :

0,7

Nous touchons le fond du fond...

Le départ du nouveau cycle ne devrait pas tarder. C'est juste mon instinct et l'actualité internationale qui me font dire cela.
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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 13:07
Cela faisait très longtemps. Cette explosion, assez importante, à faiblement affecté la Terre, mais l'éruption ne fait pas encore face à la Terre.

FRAME

Voir l'animation ICI

Il faut voir, si, comme beaucoup d'autres, cette éruption va se résorber avant de faire face à la Terre. Car, bizarrement, l'activité solaire sur l'autre côté du Soleil n'est pas aussi faible que le côté faisant face. Je prépare quelque chose sur le sujet. C'est assez étonnant...

Ce sont trois explosions très rapprochées dans le temps qui ont provoqué ces flux de rayons X sur Terre, en tout début de ce jour (en rouge).

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 13:12

L'activité solaire, en dépit des prévisions, continue à se maintenir extrêmement basse, sa dilatatation est au minimum et définir un fait exceptionnel est maintenant un euphemisme. Le mois de Février a fini avec une moyenne journalière de taches solaires à 1.4. Le résultat du mois de février qui s'est terminé en deça du mois de janvier. Les deux premiers mois de 2009 présentent une faiblesse pire que 2008. Pendant les premiers soixante jours de l'an dernier, en effet, les seules tâches solaires produites avaient une moyenne journalière  2.7 tâches solaires, presque le double de 2009. Ce n'est pas tout, le nombre de tâches solaires au jour rejoignait, dans l'ensemble, les 40 unités contre les 49 de cet annnée. Mais nous voyons en détail le nombre de cet interminable minimum solaire.

Un article à lire ICI
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