12 septembre 2009
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19:54
Allez, encore un titre sensasionnel vont dire certains. Mais non. Cela fait un petit moment que je me plonge sur ce sujet et c'est en toute conscience que je pose la question.
Je suis même sur le point d'apporter une réponse. Cette réponse est OUI!
Commençons par un article de la Pravda, du 5 octobre 2002. C'est explicite.
Hoagland, ainsi que d’autres chercheurs, avancent l’idée qu’une race extraterrestre a utilisé la Lune comme une base d’opérations spatiales durant leurs activités sur la Terre et qu’on en trouve le reflet dans les mythes et légendes de nombreuses cultures terrestres. Les ruines des cités lunaires s’étendent sur plusieurs kilomètres. D’immenses dômes aux fondations massives, des tunnels et autres constructions poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale.
Ces structures lunaires, dont certaines sont dans un état de délabrement avancé, possèdent une organisation et une géométrie si complexe qu’elles ne peuvent être assimilées à des formations géologiques naturelles. Il existe par exemple sur le bord supérieur de Rima Hadley, non loin du site d’atterrissage d’Apollo XV, une construction entourée d’une haute muraille en forme de D. Le Centre de Vol Spatial Goddard et l’Institut de Planétologie de Houston, qui étudient ces artéfacts, les ont répertoriés sur 44 régions. De mystérieuses excavations en forme de terrasse ont été observées près du cratère Tiho (sic ; Tycho ?). Il est improbable que ces excavations concentriques hexahedriques, ainsi que l’entrée du tunnel adjacente à la terrasse résultent de processus géologiques naturels. En fait, elles ressembleraient assez à des entrées de galeries de mines.
Près de Copernic, un dôme transparent s’élève au bord du cratère, illuminé de l’intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Au nord de la région de l’Usine, on observe un objet tout-à-fait inhabituel, même au regard des critères lunaires : un disque de 50 m de diamètre posé sur une embase carrée entourée de murs. On peut aussi voir sur l’image, près du losange, une ouverture circulaire dans le sol, qui fait penser à l’entrée d’un souterrain. Entre l’Usine et le cratère Copernic, il y a une sorte d’esplanade rectangulaire de 400 m de long sur 300 de large.
Article original
Vous l'avez compris, nous touchons là au "grand secret", car s'il existe des bases sur la Lune, cela veut dire qu'"ils" ont été là, depuis fort longtemps. Cela veut dire que les textes sumériens, considérés comme de la mythologie par les biens pensant ne sont pas du domaine de la légende, mais bien historiques.
Car s'ils étaient là, rien ne nous prouve qu'ils soient répartis.
Pour faire taire tout début de scepticisme, regardez bien les photos les plus récentes de la surface lunaire, publiées en juillet et septembre de cette année.
La première, par LRO, de la zone d'Apollo XIV :
Celle récente, qui m'a fait beaucoup rire, de la sonde indienne, sur le site d'alunissage d'Apollo XV, parait-il.
En 2009, proposer de telles images n'est pas seulement grotesque, c'est carrément du grand foutage de gueule. On voudrait nous faire croire qu'on ne peut pas faire mieux qu'en 1960, et qu'on envoie des sondes lunaires, aujourd'hui, avec des budgets de plusieurs centaines de millions d'euros pour ramener des images de merde.
Même des amateurs, avec du matériel amateur, font mieux, tel John Lenard Walson. Ce monsieur, déjà évoqué ici pour avoir filmé d'étranges structures spatiales, a filmé diverses choses sur la Lune, dont ce pont, assez fabuleux :
Je suis même sur le point d'apporter une réponse. Cette réponse est OUI!
Commençons par un article de la Pravda, du 5 octobre 2002. C'est explicite.
Des scientifiques et ingénieurs impliqués dans les projets d’exploration de Mars et de la Lune ont fait part des résultats de leurs découvertes lors d’une réunion du Club National de la Presse à Washington, DC, le 21 Mars 1996. Ils révélaient pour la première fois la présence sur la Lune de structures et d’objets artificiels. Le discours des scientifiques était plutôt prudent et évasif, et ne faisait pas référence aux OVNI. Selon eux, l’existence de ces artéfacts était possible, mais cette information était en cours de traitement et ses conclusions seraient publiées ultérieurement.
Il fut également mentionné lors de cette réunion que l’Union Soviétique possédait des preuves photographiques de la présence d’une telle activité sur la Lune. La nature de cette activité demeure indéterminée mais ses traces seraient indéniables en de nombreux points de la surface lunaire, comme en témoigneraient les milliers de photos et vidéos provenant des vaisseaux Clementine et Apollo. Des vidéos et des photos de ce dernier programme ont été projetées et beaucoup ont trouvé très surprenant que ce matériel n’ait pas été rendu public plus tôt. Les spécialistes de la NASA ont répondu qu’il était difficile de prévoir les réactions du public devant la révélation que des créatures étrangères avaient foulé ou foulent peut-être encore le sol lunaire. Ils ajoutèrent qu’il y avait également d’autres raisons à ce secret, et dont le contrôle dépassait la NASA elle-même. Le spécialiste des études lunaires Richard Hoagland a par ailleurs déclaré que la NASA procédait toujours à la retouche des photos avant leur publication.
Hoagland, ainsi que d’autres chercheurs, avancent l’idée qu’une race extraterrestre a utilisé la Lune comme une base d’opérations spatiales durant leurs activités sur la Terre et qu’on en trouve le reflet dans les mythes et légendes de nombreuses cultures terrestres. Les ruines des cités lunaires s’étendent sur plusieurs kilomètres. D’immenses dômes aux fondations massives, des tunnels et autres constructions poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale.
Ces structures lunaires, dont certaines sont dans un état de délabrement avancé, possèdent une organisation et une géométrie si complexe qu’elles ne peuvent être assimilées à des formations géologiques naturelles. Il existe par exemple sur le bord supérieur de Rima Hadley, non loin du site d’atterrissage d’Apollo XV, une construction entourée d’une haute muraille en forme de D. Le Centre de Vol Spatial Goddard et l’Institut de Planétologie de Houston, qui étudient ces artéfacts, les ont répertoriés sur 44 régions. De mystérieuses excavations en forme de terrasse ont été observées près du cratère Tiho (sic ; Tycho ?). Il est improbable que ces excavations concentriques hexahedriques, ainsi que l’entrée du tunnel adjacente à la terrasse résultent de processus géologiques naturels. En fait, elles ressembleraient assez à des entrées de galeries de mines.
Près de Copernic, un dôme transparent s’élève au bord du cratère, illuminé de l’intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Au nord de la région de l’Usine, on observe un objet tout-à-fait inhabituel, même au regard des critères lunaires : un disque de 50 m de diamètre posé sur une embase carrée entourée de murs. On peut aussi voir sur l’image, près du losange, une ouverture circulaire dans le sol, qui fait penser à l’entrée d’un souterrain. Entre l’Usine et le cratère Copernic, il y a une sorte d’esplanade rectangulaire de 400 m de long sur 300 de large.
L’une des photos prises par la mission Apollo X (AS10-32-4822) montre une structure d’un mile (1.6 km) de long appelée le « Château », située à une hauteur de 14 km et qui projette une ombre distincte sur la surface lunaire. L’objet paraît être composé de plusieurs unités cylindriques [et d’une large unité conjointe] (?). Sur l’une des images, la structure interne du « Château » apparaît poreuse, de sorte que certaines de ses parties semblent transparentes.
De nombreux scientifiques de la NASA assistaient à cette conférence, mais lorsque Richard Hoagland demanda à voir les originaux des photos du « Château », ceux-ci avaient disparu ! Ils se trouvèrent même inexplicablement absents de la liste des images d’Apollo X. Comme par hasard, les archives ne recelaient que quelques photos intermédiaires qui, malheureusement, ne montraient pas la structure interne de l’objet.
Au moment où Apollo XII se posa sur la Lune, l’équipage s’aperçut qu’il était observé par un objet pyramidal, semi-transparent, qui planait immobile à quelques mètres à peine au-dessus du sol et chatoyait de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel contre le ciel noir. En 1969, on projeta le film du voyage des astronautes vers la Mer des Tempêtes (ces hommes aperçurent à nouveau ces étranges pyramides, que l’on appela plus tard les « verres dépolis ») et la NASA prit enfin conscience des conséquences possibles de cette forme de contrôle. Après son retour réussi, l’astronaute Mitchell confia ses impressions :
- Nous sentions bien que nous n’étions pas seuls. Je devais me retourner si souvent pour regarder derrière moi que j’en ai encore le torticolis ! La seule chose que nous pouvions faire était prier ».
Johnston, du Centre Spatial de Houston, avait étudié les photos et vidéos du programme Apollo et s’entretint avec Richard Hoagland au sujet des artéfacts. Selon lui, la direction de la NASA était terriblement embarrassée devant le nombre de ces « anomalies », pour employer un euphémisme, et il était même possible qu’elle décide d’arrêter les vols habités vers la Lune.
D’anciennes structures lunaires en partie en ruines intéressent particulièrement les chercheurs. Les photos révèlent des constructions carrées et rectangulaires d’une surprenante régularité géométrique et qui ressemblent à nos propres cités terrestres vues d’une altitude de 5 à 8 km. Un spécialiste du contrôle de mission fit ce commentaire :
- Nos gars ont observé sur la Lune des cités en ruines, des pyramides transparentes, des dômes, et Dieu sait quoi d’autre, dont les photos dorment maintenant au fond des coffres de la NASA. Ils comprenaient ce que Robinson Crusoë avait dû éprouver lorsqu’il tomba soudain sur des empreintes de pas dans le sable d’une île qu’il croyait déserte ! »
Devant les images de ces cités et autres objets lunaires étranges, l’opinion des géologues et scientifiques est unanime : ces objets ne peuvent être naturels. « Nous sommes forcés d’admettre, disent-ils, qu’ils sont artificiels, en particulier les dômes et les pyramides ». Nous devons nous rendre à cette imprévisible évidence : nous avons là sous les yeux, à notre porte, les manifestations d’une intelligence étrangère. Nous n’y étions pas psychologiquement préparés et, même à présent, peu de gens croient à leur réalité.
Article original
Vous l'avez compris, nous touchons là au "grand secret", car s'il existe des bases sur la Lune, cela veut dire qu'"ils" ont été là, depuis fort longtemps. Cela veut dire que les textes sumériens, considérés comme de la mythologie par les biens pensant ne sont pas du domaine de la légende, mais bien historiques.
Car s'ils étaient là, rien ne nous prouve qu'ils soient répartis.
Pour faire taire tout début de scepticisme, regardez bien les photos les plus récentes de la surface lunaire, publiées en juillet et septembre de cette année.
La première, par LRO, de la zone d'Apollo XIV :
Celle récente, qui m'a fait beaucoup rire, de la sonde indienne, sur le site d'alunissage d'Apollo XV, parait-il.
En 2009, proposer de telles images n'est pas seulement grotesque, c'est carrément du grand foutage de gueule. On voudrait nous faire croire qu'on ne peut pas faire mieux qu'en 1960, et qu'on envoie des sondes lunaires, aujourd'hui, avec des budgets de plusieurs centaines de millions d'euros pour ramener des images de merde.
Même des amateurs, avec du matériel amateur, font mieux, tel John Lenard Walson. Ce monsieur, déjà évoqué ici pour avoir filmé d'étranges structures spatiales, a filmé diverses choses sur la Lune, dont ce pont, assez fabuleux :
Revenons à cet étrange château, évoqué dans l'article de la Pravda. Plusieurs images existent.
Il y a d'autres structures. C'est à croire que la Lune est un lieu d'importante urbanisation.
Vous trouverez ICI un article assez complet sur ces phénomènes, et un site américain, ICI.
Je laisse à chacun se faire une idée de la révolution qu'une telle divulgation pourrait provoquer dans l'humanité. Car croire aux extra-terrestres est une chose, mais savoir qu'ils sont là, depuis longtemps, en est une toute autre.
Pour ma part, je comprends mieux pourquoi ceux qui gouvernent le monde ne me semblent pas vraiment humains...
Il y a d'autres structures. C'est à croire que la Lune est un lieu d'importante urbanisation.
Vous trouverez ICI un article assez complet sur ces phénomènes, et un site américain, ICI.
Je laisse à chacun se faire une idée de la révolution qu'une telle divulgation pourrait provoquer dans l'humanité. Car croire aux extra-terrestres est une chose, mais savoir qu'ils sont là, depuis longtemps, en est une toute autre.
Pour ma part, je comprends mieux pourquoi ceux qui gouvernent le monde ne me semblent pas vraiment humains...