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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 08:32
Le président vénézuélien Hugo Chavez a pressé jeudi les altermondialistes réunis au Forum social mondial de Belem de "passer à l'offensive" contre le capitalisme libéral.

Le chef de file de la gauche radicale en Amérique latine a retrouvé dans la ville amazonienne ses homologues de quatre autres pays pour discuter d'initiatives communes contre la crise du capitalisme, à l'occasion du grand rassemblement des altermondialistes.


Luiz Inacio Lula da Silva (Brésil), Hugo Chavez (Venezuela), Evo Morales (Bolivie), Rafael Correa (Equateur) et Fernando Lugo (Paraguay) ont été invités par les organisateurs du Forum Social Mondial (FSM).

Au programme de leurs discussions figurent l'impact de la crise économique sur leurs pays, la recherche d'alternatives au modèle de développement capitaliste et la lutte contre le réchauffement climatique.

"Le FSM doit passer à l'offensive parce qu'il a été dans ses premières années le bastion de la résistance à l'offensive libérale", a exhorté Hugo Chavez qui a accueilli en 2006 l'édition latino-américaine du FSM.

"Pourvu que l'alternative (au système néo-libéral) vienne de ce Forum et d'Amérique latine", a dit l'Equatorien Rafael Correa. A son arrivée, il s'est joint à un orchestre et a chanté "Commandante Che Guevara" en duo avec Fernando Lugo, alors que les militants répondaient en choeur: "le peuple uni ne sera jamais vaincu!"

Les quatre présidents les plus à gauche (Venezuela, Bolivie, Equateur, Paraguay), sans le Brésilien Lula, devaient participer à un débat organisé par le Mouvement des Travailleurs ruraux sans terre (MST) du Brésil et Via Campesina, l'organisation paysanne internationale.


"Nous avons invité les présidents qui ont une vraie relation avec les mouvements populaires et sont engagés dans la construction d'une alliance politique et souhaitent avancer dans l'intégration sud-américaine", a dit le dirigeant du MST Ulisses Manaças pour qui Lula "ne fait plus partie de ces gens là".

Lula, un ancien ouvrier métallurgiste et dirigeant syndicaliste est un habitué du FSM depuis sa fondation à Porto Alegre (sud du Brésil) en 2001 où il était venu faire campagne avant son élection en 2002.

A Belem, il devait présenter un projet de sortie de crise passant "par un nouveau modèle productif et de consommation écologiquement durable", a affirmé son porte-parole, Marcelo Baumbach.

Les cinq présidents devaient se réunir en privé pour discuter "de l'impact de la crise économique en Amérique latine et d'initiatives communes pour la combattre", a ajouté le porte-parole.

Ces chefs d'Etat n'étaient toutefois pas épargnés non plus par les critiques. "Nous devons soutenir les présidents qui disent être de notre côté, mais ils doivent montrer qu'ils le sont dans la pratique", a déclaré Miguel Palacin, responsable de la coordination andine des organisations indigènes.


Une grande affiche au siège d'un syndicat prône "l'opposition" au président Lula, tandis que la Confédération des nations indigènes d'Equateur (Conaie) exhorte le FSM à "déclarer le président équatorien persona non grata", considérant ses actions "répressives et racistes".

Amnesty International a également appelé le président paraguayen "à faire la preuve de son engagement envers les droits des peuples indigènes".


Quelque 100.000 militants de 150 pays participent à ce FSM qui s'est ouvert mardi sous sa traditionnelle devise "un autre monde est possible".

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