24 décembre 2008
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Vous êtes gâtés, ce soir...
Voici le meilleur de Pink... Animals... Pigs...(à mon humble avis).
Provocateurs?... hummm, certes...
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24 décembre 2008
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Vous savez désormais que je suis un grand fan des Pink Floyd. Je n'ai pas trouvé "The wall" en version sous-titré, mais seulement cet extrait-montage...
C'est un moment clef. C'est vraiment ce que j'ai ressenti de l'Education Nationale. C'est une prof de français en BEP qui m'a fait découvrir le film. J'étais amoureux d'elle, je sais maintenant pourquoi. Je lui envoie tous mes respects pour son action éducative de base. Merci!
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24 décembre 2008
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17:49
Pas de balade, aujourd'hui. Le brouillard est arrivé en début d'aprem et s'est senti tellement bien qu'il n'a pas bougé, enveloppant le pays d'un coton froid et humide.
Je suis sur mon île déserte, avec ma chatte, et je me fais un plaisir de me préparer à un réveillon qui n'en sera pas un. Bien entendu, je ne crois pas au Père Noël depuis longtemps et je sais que cette fête est surtout celle pour célébrer le début de la croissance lumineuse, les jours vont désormais augmenter au détriment de la nuit. Et c'est bien au coeur de cette longue nuit qu'il faut se réfugier en son Soi, au plus profond, presque à toucher son âme.
En tirer les conclusions d'une année ou d'une vie, voir ce qu'il faut réparer, ce qu'il faut construire et, en cette période où les fondements même de notre société sont (enfin) remis en questions, nous devrions en profiter pour se préparer à de grands changements.
Tous les voyants sont au rouge depuis un an, ils clignotent tous depuis 6 mois. Désormais, ce sont les sirènes qui hurlent dans chaque secteur social. C'est la grande débandade...
Une minorité à mis en garde mais les médias, et surtout la télévision auront été plus forts. Il n'est désormais plus possible de faire marche arrière et nous allons payer l'addition.
C'est cela aussi, Noël, les cadeaux que nous méritons.
Profitez bien en ouvrant vos cadeaux. C'est sûrement le dernier Noël sous le signe de l'opulence.
L'année prochaine, tous les paquets seront piégés.
Joyeux Noël à tous.
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24 décembre 2008
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Nous en avons tous marre de la crise, nous en avons tous marre du système où une poignée s'engraisse sur le dos de l'humanité. Il est grand temps que cela cesse.
Mountazer al-Zaïdi nous a montré le chemin. Ce chemin est de prendre 
collectivement notre pied, d'en défaire nos chaussures et de leur envoyer par la gueule.
A chaque déplacement de personnalité politique, il faut que volent nos plus hautes pointures, qu'ils essayent d'être maîtres de l'esquive, comme ils le font depuis longtemps dans la vie, devant la dure réalité.
Chaque fête, chaque célébration, chaque inauguration devra subir une volée de chaussures, signe de notre ras le bol de la collaboration entre la politique et la finance.
Mettre sa chaussure dans la gueule de son banquier, sans violence, sans force, est aussi conseillé. Juste pour lui démontrer notre insoumission à leur ordre.
Ainsi, ils ne se déplaceront plus, ils seront paralysés, plus du tout droits dans leurs godasses.
Ils ont un talon d'Achille, il faut leur botter...
Toutes ces pointures, pleine de la boue de crimes commis au nom de la croissance, de la financiarisation de l'humanité, seront ainsi montrées du doigt, de pied, bien évidemment...
Préférez les chaussures fabriquées en Chine, pas chères, faites souvent par des enfants dans des entreprises créées par ceux qui les recevront dans la poire.
Les chaussures italiennes sont à proscrire pour l'instant. Nous utiliserons les talons aiguilles dans les derniers moment, lorsqu'il faudra viser leurs yeux déjà clos. En espérant que nous n'aurons pas besoin d'en arriver là.
Il ne faut plus qu'ils "semelle" des affaires de l'humanité, que ce soit bien clair.
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23 décembre 2008
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Enfin un ciel dégagé en milieu d'après midi, en cette période où les jours stagnent, semblent hésiter entre s'engouffrer dans la nuit ou revenir vers la lumière.
J'en ai profité pour dégourdir mes jambes. Comme je ne connais pas le pays et que je n'ai pas encore pensé à acheter une carte (étonnant), Je suis parti au hasard sur la petite route qui passe derrière la maison.
C'est un paysage de doux vallons, avec une vue lointaine à chaque hauteur. Des bois ou même des forêts par-ci par là. Je ne suis pas trop dépaysé.
J'avoue que je me suis arrêté, un peu stupéfait, lorsque j'ai entendu un glapissement lointain, dans le ciel. Figé, j'observe vers l'Est, mais je n'y crois pas trop. Pourtant, je les vois, elles sont là, en désordre. Un groupe de grues cendrées reforme son V caractéristique, se dirige vers l'Ouest, puis vers le Sud-Ouest. Un 23 décembre, je suis bleu, comme le ciel...
Je les regarde passer, passionné, ébahi, toujours stupéfait par cette magie naturelle, par cette beauté incommensurable.
Je prends un chemin bordé d'arbres qui part vers une forêt et j'aperçois un château prétentieux, du XVIII ou XIX ème, carré, symétrique, trônant avec fierté sur un fond d'arbres droits mais tortueux... Je croise aussi d'autres chevaux, un âne. Ils sont eux aussi surpris de me voir. Je leur adresse un salut amical, quelques mots. Je marche, je marche, je ne sais pas où je vais...
Le Soleil se couche derrière une barrière nuageuse, là bas, vers l'Ouest. Je trouve une route et la suis. Je rentre alors que la nuit et le froid tombent...
Je suis bien.
Je suis seul au Monde.
Je suis libre.
Je décide là de rester seul pour les fêtes. C'est trop bon de s'occuper du feu, de vivre au rythme de l'ancienne pendule qui fait tic, qui fait tac. Je suis bien...
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22 décembre 2008
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18:56
Hooooooooo non, je ne vais pas minimiser l'impact de l'humain sur la nature, mais après deux ans de recherches, je peux clarifier certaines choses.
Car la mode, comme il est en vigueur dans de nombreux crimes dans nos sociétés, est de faire condamner le coupable qui arrange le mieux. Nous allons donc faire venir à la barre Monsieur Co2, ce coupable parfait qui arrange bien les affaires.
Monsieur Co2 est un nègre naturel, il pullule autour de nous, est considéré comme nocif, agressif. Comme tout ce qui est différent, Monsieur Co2 ressemble à tous ses frères et soeurs... C'est bien pratique pour confondre un coupable, il ressemble à tous les autres...
Il y a des Monsieurs Co2 rejetés par toutes les matières en décomposition de par le monde... Vous et moi dans quelques années, tout ce qui meurt, et même la moindre feuille d'arbre... C'est colossal. Mais ce n'est pas le pire. C'est l'océan, dans ses échanges avec l'atmosphère qui rejette le plus de Co2. Tout ce qui respire, pète ou rôte dégage du Co2... On dirait pas, mais multiplié par tous les êtres qui éjectent leurs flatulences sur la planète, c'est énorme aussi...
Bref, le Co2 rejeté par l'être humain est une poussière dans tout ce cirque vivant, moins de 1%.
Mais c'est le coupable idéal, car chaque être vivant rejette du Co2, tous les humains, qu'ils conduisent ou pas, qu'ils pètent ou pas, qu'ils rôtent ou pas, rejettent du Co2... tout simplement en vivant. Alors nous, petits bourgeois consommateurs, nous sommes les champions du monde de la catégorie poids plume. L'océan, bien entendu, nous surpasse, que dis-je, nous écrase lamentablement...
Mais Monsieur Co2 est un coupable idéal car il permet de tous vous taxer. Vous vous rendez compte, vous êtes coupables de crime contre l'humanité, mais aussi de crime contre la vie, contre la Terre, contre l'Univers tout entier. Nous sommes tous des affreux criminels irrécupérables...
Heureusement, Al Gore et ses amis banquiers, politiciens, scientifiques et philosophes sont arrivés pour nous dire ce qu'il faut faire. Il faut changer de maison, changer d'alimentation, changer d'énergie, changer de voiture, changer nos habitudes, changer d'humanité. Ils vous disent chaque jour combien vous êtes coupable d'aller travailler en voiture pour survivre, combien vous êtes coupable d'acheter pour vous nourrir ou vous vêtir, combien vous êtes coupable de vivre, tout simplement.
En attendant, vous oubliez les 100 000 produits chimiques qui sont fabriqués et qui ont depuis longtemps envahi le monde. Vous oubliez les métaux lourds dans chaque parcelle de terre, dans chaque ruisseau, dans chaque brin d'herbe. Vous oubliez les particules radioactives qui circulent partout autour de la planète et que les militaires, financés par vos impôts, répandent allègrement pour punir les plus pauvres que vous.
Vous oubliez que toutes les terres sont spoliées aux paysans du monde entier pour servir les multinationales qui usent et abusent des engrais et autres pesticides qui déciment la vie un peu partout sur la planète, y compris nos plus chères amies, les abeilles...
Vous oubliez toute cette industrie que l'on vous a imposée guerre mondiale après guerre mondiale, cette industrie qui vous a rendu esclave de vos goûts et de vos choix, cette industrie qui a fait de l'humain un petit merde tout juste bonne à se lever le matin, aller travailler et rentrer pour regarder la télé...
Ils vous abreuvent de leurs "vérités" sans fondement et vous oubliez l'important. Rien ne compte si le coupable est désigné, plus rien n'a d'importance si le Co2 est enfin sous les verrous.
Le Co2 n'est pas encore sous les verrous, et ne le sera jamais. Mais c'est très bien joué, car si jamais il l'était et que les crimes continuaient, ils vous diraient; "on vous l'avait dit, c'est trop tard...".
Je suis allé voir "le jour où la Terre s'arrêta", hier soir. Je voulais voir jusqu'où ils allaient. C'est un film très gentil que je vous conseille (si vous arrivez à négocier la gratuité de la séance en échange de la dose de pub qu'il faut ingurgiter). Le message final de ce film est: "C'est au bord du précipice que l'on peut changer, que l'humanité peut changer".
Ok, à six milliards d'humain au bord du précipice, tant pis pour ceux qui vont tomber dedans...
Un conseil, restez en retrait de tout ça.
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20 décembre 2008
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18:57
Lorsque je me suis garé sur le chemin forestier, le cheval m'a regardé. Cela devait faire longtemps qu'il n'avait pas vu un energumen pareil...
Il pleuviote, il fait froid et le bois est a environ cinq cents mètres...
Je suis là pour trouver du bois, du bois mort... Le chemin étant impraticable pour ma super Super5, je dois y aller à pied. Bon, y a du bois partout, par terre, du bois trempe, pourri, mais je vais bien en trouver un moins moche.
C'est une forêt de hêtres, au sol très propre, si ce n'est cet enchevêtrement d'arbres tombés, de branches déchirées...
Voilà un arbre qui va bien, une dizaine de centimètres de diamètre, dix mètres de long et il ne touche pas terre, retenu dans sa chute par sa base. Je prends donc l'arbre, le secoue dans tous les sens pour arracher les quelques fibres qui le retiennent à la base, et me voilà parti avec mon tronc sur l'épaule.
J'entends bien le cheval penser, lorsque j'ai traîné l'arbre sur la moitié du chemin, "mais il va où ce fada"?
Je lui fait un signe amical de ma main libre et j'arrive enfin à la voiture. Là, je sors ma scie "la défonceuse (c'est la marque)" et je débite mon tronc en plusieurs morceaux pour les mettre dans la voiture.
Bon, tout cela serait bien joli, bien bucolique, si, trois jours plus tard, poussé par une bien impétueuse curiosité, je n'avais pas découvert un stock énorme de bois bien sec dans la grange, à 10 mètres de la maison...
Tout cela en me lavant avec une bassine, ayant fait chauffer l'eau chaude sur la cuisinière à bois, comme au bon vieux temps... Croyant à une incompréhensible panne de chauffe eau...
Bin non, il suffisait de tourner un simple robinet en dessous de l'évier...
J'ai découvert cela huit jours après mon arrivée...
Bon, pour Noël, je commande un brassard blanc, donc, et un cerveau.
Merci petit Papa Noël...
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18 décembre 2008
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Cette crise économique ne doit rien au hasard. Trop d'hommes politiques ou économiques l'ont dit, il n'y a aucune croissance ou décroissance qui se fait sans la volonté des financiers, aucune guerre ne se déclare sans leur accord, ils tiennent ce monde dans leurs coffres...
Tout cela était bien dissimulé. Ils nous faisaient et nous font encore croire en la démocratie, en la vertue de l'Occident et de ses journalistes et philosophes qui ne s'avèrent être que des dignes descendants de Laval. Les exceptions, on ne les entend pas, on ne les voit pas, tout comme la vérité.
Alors oui, nous ne pouvons pas reprocher à nos aïeux de s'être lamentablement traînés dans ce système, ils n'avaient pas le choix. Mais Internet est passé par là et Internet est en train de tout bouleverser.
Finie la mainmise des chiens de garde de la financiarocratie, de la médiacratie, fini l'énorme impact de la télé et de la presse, asservies aux intérêts financiers, sur l'esprit de notre jeunesse consciente aujourd'hui de la réalité de notre état d'êtres inhumains, notre état de bétail trait matin, midi et soir.
Cette jeunesse est désormais consciente de cette vie de merde qui l'attend et elle n'en veut pas.
Mais attention, car ce billet est une mise en garde. Les gens qui dirigent le Monde ne sont pas des débiles, et la jeunesse risque bien de tomber dans le même panneau qu'est tombée celle de 1914.
Ce n'est pas dans la haine ou la destruction que vous trouverez votre avenir, mais dans la compréhension et dans la résistance active, dans la décollaboration sociale pour une collaboration collective.
Ils vont vous pousser à l'extrême pour mieux éliminer cette révolte qui est en vous, qui est en moi, qui est en beaucoup. Faire leur jeu, c'est monter au front sur le chemin des dames, c'est aller mourir dans la boue de Verdun.
Ne les écoutez pas, même dans leurs manipulations les plus vicieuses.
PAIX, PAIX, PAIX.
Faites des systèmes d'échanges locaux, faites des collectifs de survie, imaginez, rêvez, construisez...
De toute façon, ce système, ils le tuent. Alors au lieu de donner vos cadavres comme beau parterre à leur Nouvel Ordre Mondial, oeuvrez à contresens, prenez le Pouvoir de l'imagination, de l'intelligence, du partage, d'ETRE humain.
Nous serons nombreux à vos côtés.
Nous vaincrons.
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18 décembre 2008
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J'ai trouvé ce texte sur ce forum. Ici un Lycéen, perdus dans ce monde où le sens de rotation n’est plus : Mon monde stagne, notre monde stagne. La société nous impose cet arret d’évolution tres tôt pour être sur qu’il n’y ai pas de « moutons noirs »
Le Lycée ne me sert à rien, même pas à m'extravertir. J'ai l'impression de mourir à petit feu, enfermé dans de petites salles de ciment, de plastique et de métal, avec trente autres humains, à écouter un adulte débiter des âneries inutiles qu'on appelle 'connaissances', et imposer la pensée collective.
Je commence à penser que le plus grand combat d'une vie, c'est de résister au formatage que la société impose. Je mène un combat quotidien contre l'esprit collectif des moutons humains. Je suis à la période la plus dangereuse de ma vie : celle où la société et tous les déjà-formatés tentent de me conformisé, de me mettre dans leur moule. Le vrai but de la scolarité est de supprimer les rebelles, les révoltés, les mécontents et les non-conformes. De les rendre 'sociaux'. Comme il est dit en philo, l'aliénation, c'est la disparition de l'ego et de l'individu au profit du collectif. Et bien, je refuse cette conformisation, je refuse les barrières que je ne me suis pas fixées... Je refuse cette société ! C'est bien simple, dans un monde perdu, mourant, et impossible à sauver, je vais me changer en Missionnaire, Missionnaire de ce monde, celui où j'écris, et dans lequel je compte nous échapper de notre réalité condamnée. Je crois que c'est la fin. Notre monde vit ses dernières années. D'ici 2100, tout est fini.
Le pire c'est que se lever, renverser tout cela est aujourd'hui presque impossible. Je n'ai qu'une arme pour tenter de changer le monde, et c'est mon pouvoir divin, celui d'écrire tout ce que je désire, d'offrir un ultime refuge où mes pensées pourrons atteindre des milliers de personnes. Et offrir un refuge à tous les gens qui ne souhaitent plus cette réalité. Une échappatoire, une porte ouverte sur un univers extrait de ma tête, un lieu où fuir notre planête gachée et dévastée, où oublier notre race déchue.
Le Lycée me conformise, je n'y ai pas de vrais amis. Je suis un anonyme dans la multitude, mais en moi, je suis le Missionaire d'un monde plus grandiose, plus puissant que le nôtre, et à moi seul, je peux essayer de renverser notre monde, et surtout notre race. Stop au formatage, notre société est une usine à produire des moutons, incapable de pensé d’eux même, trop occuper à tenter de vivre, de travailler. Je suis peut-être là pour répandre un message, ce Message c’est peut-être celui de la révolte.
En France la rue à toujours donné raison ! Ne laissez pas ce pouvoir vous échapper, ne le laissons pas nous echapper ! La Démocratie signifie « Pouvoirs au peuple » ! Nous sommes le peuple, ne me laissez pas devenirs moutons, ne devenez pas moutons, réagisser !
Nous voulons juste un avenir fiable ... Ecologiquement, politiquement et socialement. Actuellement, le gouvernement ne nous laisse entrevoire pas une de ces possibilités ...
VOUS ETES DIEUX DE VOTRE VIE, NE LAISSEZ PAS L’ETAT REFLECHIRE POUR VOUS, NE LE LAISSEZ PAS VIVRE A VOTRE PLACE !
JE ME LEVE, REJOIGNEZ MOI, REJOIGNEZ NOUS !
Voici ce que j'ai répondu:
J'aurais pu écrire ces lignes en 6 ème, il y a déjà 27 ans...(Pas dans la forme, je n'avais pas le niveau, mais dans l'idée)
Alors j'ai passé ma vie scolaire secondaire à regarder par la fenêtre, écoutant d'une oreille, maintenant la moyenne sans faire aucun devoir, pour dire que ce qu'ils nous inculquent est inculte...
Alors j'ai fait ma vie, et je suis désolé de déclarer ici que ce que l'on vit au collège, on le vit toute sa vie durant. Si ce n'est pas le patron, ce sera l'état qui sera de l'autre côté du bureau pour vous dire ce qui est bien ou pas... Généralement, cela n'a rien à voir avec le "bien" ni même avec le bon sens, il faut juste que ce soit dans les rails de ce système merdique.
Alors oui, il faut se bouger, mais on ne change pas un système en appliquant ses directives. Ce système ne vit que par la violence, l'oppression, la guerre et la destruction (pour l'instant chez les autres).
Si on veut faire tomber ce système, il ne faut plus collaborer avec lui, trouver des solutions alternatives de vie, se regrouper, s'entraider et trouver ensemble des solutions hors de ce système.
Nous serons combattus, c'est certain, mais même si nous échouons, nous aurons essayé, pacifiquement, de résister et de construire autre chose.
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18 décembre 2008
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07:07
C'est désormais une certitude, l'ancien monde est bel et bien fini.
Cela fait presque 18 ans que Bush père avait annoncé la venue du Nouvel Ordre Mondial, l'idée est maintenant mature et peut être appliquée.
Vous n'en voulez pas?
Peu importe, vous n'avez rien à dire, c'est la crise. Accrochez vous, ça va secouer...
Fini le service public, finis les droits salariaux, finies les couvertures sociales, finies les assurances maladies.
Et peu importe si la Crise n'est pas encore installée, déjà, les premières mesures de rétorsion sont annoncées...
Oui, ils ont osé... La Messe de Minuit, cette année, sera remplacée par un concert de Michel Sardou.
L'Ancien Monde, c'était pas folichon, c'est vrai, mais on pouvait encore rigoler.
Dans le nouveau, ce sera exclusivement réservé aux fans de Michel Sardou.
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