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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 00:07

Le 14 Décembre, je suis arrivé à l'aéroport Ben Gourion à Tel Aviv, en Israël pour m’acquitter de mon rôle auprès de l'ONU en tant que rapporteur spécial sur les territoires palestiniens.
J'étais à la tête d'une mission qui avait l'intention de visiter la Cisjordanie et Gaza pour préparer un rapport sur le respect par Israël des standards des droits de l'homme et du droit international humanitaire.

De nombreuses réunions avaient été programmées au cours des six jours, commençant avec Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité Palestinienne, le lendemain.

Je savais qu'il pourrait y avoir des problèmes à l'aéroport. Israël s’était fermement opposé à ma nomination quelques mois plus tôt et son Ministère des Affaires Etrangères avait publié une déclaration selon laquelle il interdirait mon entrée si je venais en Israël en ma qualité de représentant de l'ONU.

En même temps, je n'aurais pas fait le long voyage depuis la Californie, où je vis, si je n'avais pas été raisonnablement optimiste quant à mes chances d'y entrer. Israël avait été informé que je conduirais la mission et avait reçu une copie de mon itinéraire, et il avait délivré des visas aux deux personnes qui m’accompagnaient : un membre du personnel de sécurité et une assistante, qui travaillent tous les deux au bureau du Haut-Commissaire des droits de l'homme à Genève.

Pour éviter un incident à l'aéroport, Israël aurait pu soit refuser d'accorder des visas ou informer l'ONU que je ne serais pas autorisé à entrer, mais aucune de ces mesures n’a été prise. Il semble qu’Israël voulait me donner une leçon, et de façon plus significative, à l'ONU : il n'y aura pas de coopération avec ceux qui critiquent vivement la politique d'occupation d’Israël.

Après avoir été refusé d’entrer, j'ai été mis dans une salle d’attente avec environ 20 autres personnes qui faisaient l’expérience de problèmes d'entrée. À ce moment-là, j'ai été traité non pas comme un représentant de l'ONU, mais comme une sorte de menace pour la sécurité, soumis à une fouille corporelle et à une inspection des bagages la plus minutieuse que j'aie jamais vue.

J'ai été séparé de mes deux compagnons de l'ONU qui ont été autorisés à entrer en Israël et j’ai été emmené au centre de détention de l'aéroport situé à 1 kilomètre. On m’a demandé de mettre tous mes sacs et mon téléphone portable dans une pièce et j’ai été emmené dans une pièce minuscule fermée à clé qui sentait l'urine et la saleté. Elle contenait cinq autres détenus et était une mauvaise invitation à la claustrophobie.
J'ai passé les 15 heures suivantes ainsi confiné, ce qui équivaut à un cours intensif sur les misères de la vie carcérale, y compris les draps sales, les aliments non comestibles et les lumières trop vives ou l’obscurité qui étaient contrôlées par un garde du bureau.

Bien sûr, ma déception et mon dur confinement étaient des choses insignifiantes, et par elles-mêmes pas dignes d’y prêter attention, étant donné le genre de graves difficultés que des millions de gens dans le monde subissent chaque jour. Leur importance est largement symbolique. Je suis une personne qui n'avait rien fait de mal sauf exprimer une forte désapprobation des politiques d'un État souverain. Plus important encore, l'intention évidente était de m’humilier en tant que représentant de l'ONU et ainsi d'envoyer un message de mépris aux Nations Unies.

Israël m’a depuis le début accusé de parti pris et de faire des accusations inflammatoires au sujet de l'occupation des territoires palestiniens. Je nie être partial, mais plutôt j’insiste sur le fait que j'ai essayé d'être honnête dans l'évaluation des faits et des lois appropriées. C’est la nature de l'occupation qui donne lieu à de vives critiques de l'approche d'Israël, en particulier de son blocus sévère de la bande de Gaza, entraînant la punition collective de 1,5 million d'habitants. En attaquant l'observateur plutôt que ce qui est observé, Israël joue un habile jeu de l'esprit. Il éloigne l'attention de la réalité de l'occupation, en pratiquant en fait une politique de distraction.

Le blocus de la bande de Gaza n'a pas de fonction valable pour les Israéliens. Il est censé être imposé en représailles de quelques roquettes du Hamas et du Jihad islamique tirées de l’autre côté de la frontière sur la ville israélienne de Sderot. L'illicéité de ces tirs de roquettes est incontestable, mais cela ne justifie nullement des représailles israéliennes aveugles contre l'ensemble de la population civile de Gaza.

Le but de mes rapports est de documenter pour le compte de l'ONU l'urgence de la situation à Gaza et ailleurs en Palestine occupée. Ce travail est particulièrement important maintenant puisqu’il y a des signes d'une nouvelle escalade de la violence et même d’une menace de réoccupation par Israël.

Avant qu'une telle catastrophe se produise, il est important de rendre la situation aussi transparente que possible, et c'est ce que j'avais espéré faire dans l'accomplissement de ma mission. Bien que mon entrée ait été refusée, je continuerai à utiliser tous les moyens disponibles afin de documenter les réalités de l'occupation israélienne aussi honnêtement que possible.

Richard Falk
Professeur de droit international à l'Université de Princeton et rapporteur spécial sur les territoires palestiniens de l'ONU
USA - 19-12-2008
Source : 
http://www.guardian.co.uk/c

 Traduction : MG pour ISM
 http://www.ism-suisse.org

 

Richard Falk
http://www.polemia.com/article.php?id=1833

Trouvé chez Bridge

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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 12:31

Ceci est une vidéo datant visiblement d'aout 2007, au tout début de la crise financière.

Ce journaliste financier, Jim Cramer, pète un plomb car il sait, comme beaucoup d'autres, que la situation est extrêmement grave. En substance, au départ, il dit ce que tout le monde fait; se taire.

Tout le monde sait, dans la finance et dans la politique que LA crise est là, prête à exploser, mais personne ne dit rien.

Il cite les responsables, Ben BRENANKE et Bill POOLE, les dirigeants de la FED, organisme privé géré par certains banquiers. Ils ont fait monter les taux de crédits 17 fois, rendant impossibles les remboursements les plus sensibles. Comme ces crédits ont été "vendus" dans toute les banques du Monde, dans tous les fonds de pensions, dans tous les fonds d'investissements, LA crise était amorcée.

En gardant le silence, elle pouvait proliférer sans que personne ne se protège suffisament. C'est un complot, c'est volontaire.

Merci au Panier de Crabes pour le rappel de cette info.


Les raisons de la colère de Jim Cramer
envoyé par SPOOKYDOM

Pour commencer à comprendre, lire ceci.
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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 09:57


Cher Sénateur Obama,


A cours de vos deux années de campagne présidentielle, les mots "changement et espoir" ont été la marque de fabrique de vos déclarations. Il y a pourtant une dissonnance entre ces objectifs et votre personnage politique qui succombe à des cercles de pouvoir contraires, nullement désireux d’espoir et de changement, mais souhaitant au contraire voir perdurer le statu quo du pouvoir établi.

Bien plus que le sénateur McCain, vous avez reçu d’énormes contributions financières, sans précédent, venant d’intérêts commerciaux, de Wall Street, et, plus intéressant encore, d’importants cabinets spécialisés en droit des sociétés.


Pourquoi, en dehors votre vote inconditionnel en faveur de la subvention de 700 milliards de dollars à la Bourse, ces très importants intérêts ont-ils tellement investi dans le Sénateur Obama ? Serait-ce parce que votre rapport de Sénateur de l’Etat de l’Illinois, votre rapport de sénateur des Etats-Unis et votre rapport de campagne présidentielle, sont en faveur de la puissance nucléaire, de forages pétroliers en mer, des subventions aux entreprises, y compris du Mining Act de 1872 (Loi Minière), et qu’ils évitent tout programme détaillé de sanctions contre la vague de délits financiers, et de réductions du budget militaire obèse et ruineux ?

Pour faire avancer le changement et l’espoir, la personne du président exige du caractère, du courage, de l’intégrité. Prenez, par exemple votre transformation : d’ardent défenseur des droits des Palestiniens - à Chicago avant votre course pour le Sénat des Etats-Unis - vous êtes devenu l’acolyte, le reflet des "durs" d’un lobby dur, l’AIPAC, qui milite pour le renforcement de l’oppression militaire, de l’occupation, des bouclages, de la colonisation et de la confiscation des terres aquifères du peuple palestinien et de ses territoires rétrécis en Cisjordanie et à Gaza.


Eric Alterman a repris de nombreux sondages, dans un numéro de décembre 2007 de "The Nation magazine", et montré que la majorité des Juifs américains sont opposés à la politique de l’AIPAC.

Vous savez pertinemment qu’il ne peut y avoir de résolution heureuse de ce conflit qui dure depuis 60 ans, sans une intervention du gouvernement des Etats-Unis en faveur des mouvements pour la paix israéliens et palestiniens. Mais vous vous alignez sur les extrémistes, au point d’avoir soutenu, dans votre discours infâme et humiliant à la convention de l’AIPAC, juste après être devenu le vainqueur du parti Democrate, l’idée de l’indivisibilité de Jérusalem, et de vous être opposé à des négociations avec le gouvernement Hamas de Gaza.

Une fois encore, vous avez ignoré la volonté du peuple israélien qui, dans un sondage du 1er mars 2008 publié par le très respecté quotidien Ha’aretz, a montré que 64% des Israéliens sont favorables à des négociations directes avec le Hamas.


Se mettre du côté des faucons de l’AIPAC c’est ce qu’un des nombreux Palestiniens qui appellent au dialogue et à la paix avec le peuple israélien décrivait en disant : "l’antisémitisme aujourd’hui c’est la persécution de la société palestinienne par l’Etat d’Israêl...".


Quand vous êtes allé en Israël cet été, vous n’avez consacré que 45 minutes de votre temps aux Palestiniens, sans conférence de presse, ni visite des camps de réfugiés palestiniens, ce qui aurait attiré l’attention des medias sur la brutalité infligée aux Palestiniens. Votre visite était un soutien au bouclage illégal et cruel de Gaza, au mépris dü droit international et de la charte des Nations Unies.


Vous vous êtes intéressé aux victimes du sud d’Israël, qui ces dernières années a compté une victime civile pour 400 victimes palestiniennes à Gaza. Au lieu des qualités d’homme d’Etat qui discrédite la violence mais favorise l’acceptation de la proposition faite en 2002 par la Ligue Arabe pour permettre un état palestinien dans les frontières de 1967 en échange de pleines relations économiques et diplomatiques avec les pays Arabes et Israël, vous avez tenu le rôle d’un politicien médiocre, qui quitte la région et les Palestiniens, sans respect pour eux.


Devid Levy, ancien négociateur de paix israélien, a décrit votre visite succinctement : "Il y avait comme l’affichage délibéré d’une indifférence au fait qu’il y a deux histoires ici. Cela pourrait le servir comme candidat, mais certainement pas comme Président."


Le commentateur palestino-américain, Ali Abunimah, a noté qu’Obama n’a pas émis une seule critique à l’égard d’Israël, de sa colonisation inexorable, du mur en construction, des bouclages qui rendent la vie de millions de Palestiniens insupportable... Même l’administration Bush a récemment critiqué l’usage israélien des bombes à fragmentation contre les civils du Liban (voir www.atfl.org).


Mais Obama a défendu l’attaque d’Israël contre le Liban parlant de l’exercice de son droit légitime de se défendre.

Dans de nombreux article, Gideon Levy, écrivant pour Ha’aretz, a durement critiqué l’attaque du gouvernement israélien contre les civils de Gaza, y compris les attaques contre le cœur de camps de réfugiés surpeuplés dans un terrible bain de sang, au début de 2008. Or, il vous a présenté comme "celui qui a pulvérisé tous les records d’obséquiosité et de servilité devant l’AIPAC", ajoutant qu’en se comportant ainsi "Obama est prêt à sacrifier les intérêts américains les plus basiques. Après tout, les Etats-Unis ont un intérêt vital à la réalisation d’une paix israélo-palestinienne qui leur permettrait de trouver leur chemin dans le cœur des masses arabes, de l’Irak jusqu’au Maroc. Obama a entâché cette image dans le monde musulman et a hypothéqué son futur. Une des choses dont je suis certain : les déclarations d’Obama à la conférence de l’AIPAC sont très très mauvaises pour la paix. Et ce qui est mauvais pour la paix est mauvais pour Israël, mauvais pour le monde et mauvais pour le peuple palestinien."


Une autre illustration de votre manque de caractère est la manière dont vous tournez le dos aux Musulmans américains de ce pays. Vous avez refusé d’envoyer des délégués parler aux électeurs, à l’occasion des fêtes musulmanes. Vous avez visité de nombreuses églises et synagogues, mais refusé de vous rendre dans une seule mosquée d’Amérique.


Même Georges W. Bush a rendu visite à la Grande Mosquée de Washington (District de Columbia) après le 9.11 pour rassurer un groupe religieux important et effrayé d’innocents.


Le New York Times a publié un grand article le 24 juin 2008 sous le titre : "Les électeurs musulmans se sentent rejetés par Obama" (par Andrea Elliott), citant des exemples de votre aversion pour ces Américains, qui travaillent pourtant comme les autres à faire vivre un jour le rêve américain. Trois jours plus tôt l’International Tribune avait publié un article de Roger Cohen intitulé "Pourquoi Obama devrait se rendre dans une mosquée". Aucun de ces commentaires et reportages n’a toutefois modifié votre attitude hostile aux Musulmans-Américains, même si votre père était un musulman du Kenya.


Rien peut-être n’illustre mieux votre incroyable absence de courage politique que votre capitulation devant l’exigence des faucons d’interdire à l’ex-président Jimmy Carter de prendre la parole à la Convention Nationale Democrate. C’est pourtant la tradition pour les anciens présidents, et Bill Clinton a d’ailleurs eu droit à une heure de grande écoute cette année.


Mais le livre de Carter pressant Israël de mettre un terme à l’Apartheid des Palestiniens et de faire la paix, a suffi à le mettre sur la touche. Il a été privé de discours et a dû se contenter d’un petit tour sur scène, sous des applaudissements tumultueux, après la projection d’un film sur le travail du Centre Carter après le passage de l’ouragan Katrina. Honte à vous, Barack Obama !


Mais alors votre honteuse conduite s’est étendue à d’autres secteurs de la vie américaine. Vous avez tourné le dos aux cent millions d’Américains pauvres, qui se composent de Blancs, d’Africano-Américains et de Latinos. Vous mentionnez toujours l’aide à la classe moyenne mais vous omettez constamment de mentionner les pauvres d’Amérique.


Si vous êtes élu président, ce devra être plus qu’une ascension professionnelle sans précédent après une brillante campagne dénuée de scrupules, qui parlait de changement mais montrait surtout une véritable révérence envers les grandes firmes arrogantes. Il faudra faire passer le pouvoir des mains de quelques uns à celles d’un plus grand nombre. A la Maison Blanche, le président noir ne devra pas tourner le dos aux opprimés d’ici et d’ailleurs, mais affronter les forces de l’avidité, du contrôle dictatorial du travail, des consommateurs et des contribuables, ainsi que la militarisation de la politique étrangère. Il faudra une Maison Blanche qui s’attache à transformer la politique américaine, en donnant une chance au plus grand nombre d’être entendus dans les débats et dans la plénitude de leurs libertés civiles actuellement limitées.


Votre campagne présidentielle a encore et encore prouvé des positions de lâche. L’espoir, dit-on, est éternel. Mais pas quand la réalité le dévore jour après jour.


Sincèrement

Ralph Nader


*Ralph Nader était candidat à la présidence, sous l’étiquette indépendant, dans 45 Etats.

 

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 10:08
Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela
COMMUNIQUE

Le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela est mis en présence une fois de plus, ainsi que tous les Peuples du monde, de l’horreur de la mort d’enfants et de femmes innocents, causés par l"invasion de la Bande de Gaza par les troupes israéliennes et par le bombardement impitoyable que, du ciel et de la terre, l’Etat d’Israel fait subir au territoire palestinien.

En ce moment tragique et révoltant, le Peuple du Venezuela manifeste sa solidarité sans restrictions avec le Peuple Palestinien héroïque, il communie avec la douleur qui accable les milliers de familles qui ont perdu des êtres chers, et il leur tend la main, affirmant que le le Gouvernement venezuelien ne prendra pas de repos tant qu’il ne verra pas sévèrement châtiés les responsables de ces crimes atroces.

Le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela condamne catégoriquement les violations flagrantes du droit international qu’a commises l’Etat d’Israel, et dénonce l’ utilisation planifiée du terrorisme d’Etat qui place ce pays en marge du concert des nations.

Pour ces raisons, le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela a décidé d’expulser l’Ambassadeur d’israél et une partie du personnel de l’Ambassade d’Israél au Vénézuéla, réaffirmant son attachement à la paix et son exigeance de respect du Droit International.

Le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela a donné des instructions à son représentant à l’ONU pour que, de concert avec la majorité des gouvernements qui le réclament aussi, s’exercent des pressions pour que le Conseil de Sécurité applique les mesures urgentes et nécessaires pour mettre fin à l’invasion du territoire palestinien par l’Etat d’Israel.

Le Président Hugo Chávez, qui a eu des rencontres avec de hauts représentants du Conseil Juif Mondial et s’est toujours opposé à l’antisémitisme comme à quelqu’autre type de discrimination et de racisme, lance un appel fraternel au peuple Juif à travers le monde pour qu’il s’oppose à cette politique criminelle de l’Etat d’Israel qui rappelle les pires pages de l’histoire du XX° siècle. Avec le génocide du Peuple palestinien, l’Etat d’Israel ne pourra jamais offrir à son peuple la perpective d’une paix et nécessaire et durable.

Caracas le 6 Janvier 2009

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 12:37
Quinze jours avant de quitter la Maison blanche avec la réputation d'avoir été le plus mauvais président des Etats-Unis de mémoire humaine, George Bush a donné lundi son blanc seing à la poursuite de l'opération israélienne à Gaza. Dans le même temps, Nicolas Sarkozy effectuait une gesticulation diplomatique dont il a le secret, dont l'impact risque d'être plus fort sur les journaux de 20h00 en France que sur le déroulement du conflit.

Un article à lire ICI
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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 11:09

Face au drame des Palestiniens, nous ne pouvons pas faire grande chose, a part relayer les informations qui nous parviennent. Hors cela, il y a tout de même une arme en notre pouvoir, le boycott. En effet de nombreuses entreprises, israéliennes ou non, soutiennent la politique sioniste d’occupation. En voici une liste, à vous de faire le reste:

Parmi les produits israéliens:

- Carmel (fruits et légumes) -Jaffa (fruits et légumes) - Kedem (avocats) - Coral (Cerises) - Top (fruits et légumes) - Beigel (biscuits apéritifs) - Hasat (agrumes) - Sabra (repas complets) - Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) - Dagir (conserves de poissons) - Holyland (miel, herbes) - Amba (conserves) - Green Valley (vin) - Tivall (produits végétariens) - Agrofresh (concombres) - Jordan Valley (dattes) - Dana (tomates cerises) - Epilady (appareils d’épilation) - Ahava (cosmétiques de la Mer morte)

Le code barre sur la plupart des produits israéliens commence par : 729

Les produits des entreprises qui soutiennent l’Etat d’Israël (américaines ou européennes)
COCA-COLA - Marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical. Cette entreprise soutient l’Etat d’Israël depuis 1966.

DANONE - Marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic. Danone vient d’investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.

NESTLÉ - Marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni. La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l’économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l’imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

INTEL - Cette grosse entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat.

L’ORÉAL - Marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa.

L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ».

ESTÉE LAUDER - Marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger
Outre ses investissements, le directeur est le président d’une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.

DELTA GALIL - Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria’s Secret, DKNY, Ralph Lauren.

LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO ( magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes)
Ces entreprises fort bien implantées en France financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.

TIMBERLAND (Vêtements, chaussures, chaussettes) - Tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d’encourager la communauté juive US à se rendre en Israël mais également d’envoyer des soldats israéliens pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.

DISNEYLAND - L’entreprise Disney n’a rien d’idyllique et contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU.
NOKIA - Le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l’Etat d’Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu’ Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.

MC DONALD’S - Entreprise emblématique de l’impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de restaurants fast-food apporte un soutien non négligeable à l’Etat israélien. McDonald’s dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste «Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël.

CATERPILLAR (Equipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) - Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C’est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat israélien en 2003.

La chaîne hôtelière ACCORHOTEL (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) - Cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.

Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz, Burger King

Autres produits : Cigarettes Morris (dont Marlboro), Produits Kimberly-Clarck (Kleenex, Kotex, Huggies), SanDisk (informatique), Toys RUs (jouets)

Cette liste est publiée par le blog des Intransigeants (étudiants catholiques engagés)

Trouvé dans Le panier de crâbes
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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 08:42

Les raisons avancées par Israël pour justifier le bombardement de Gaza font l’impasse sur la réalité fondamentale de ce conflit. Israël ne désire pas la paix mais la défaite complète des Palestiniens et de leur revendication légitime du retour aux frontières de 1967. Clamant vouloir protéger les civils, Israël a pourtant soumis la population de Gaza à un blocus inhumain - punition collective pour cause de vote politiquement incorrect - cyniquement qualifiée de « mise au régime » par un conseiller de Sharon, et provoque aujourd’hui des centaines de victimes dans une population prise au piège. Comment ne pas voir, pourtant, que cet aveuglement qu’autorise la supériorité militaire et la complicité de l’occident ne conduira jamais à une paix durable, c’est à dire équitable, seule garante de la sécurité d’Israël ? Chaque jour qui passe, de nouveaux combattants Palestiniens se léveront, emplis du désir de revanche, prêts à tout pour faire reconnaitre un droit reconnu par l’ONU voilà 40 ans, mais qui reste en souffrance depuis lors. Et dans les circonstances actuelles, comment ne pas le comprendre ?

Un article à lire
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2 janvier 2009 5 02 /01 /janvier /2009 13:57
Désinformation, secret et mensonges. La préparation de l’attaque de Gaza racontée par Haaretz

Selon Haaretz, l’attaque de Gaza a été préparée depuis six mois, et la trêve signée avec le Hamas avait pour objet de gagner le temps nécessaire à la collecte des informations sur l’infrastructure de l’organisation. De fausses nouvelles, destinées à intoxiquer le Hamas, ont également permis de le prendre par surprise et d’accroître le nombre des victimes de l’organisation lors des premières frappes.

Un article à lire
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1 janvier 2009 4 01 /01 /janvier /2009 17:21
Les produits bio pourront contenir jusqu'à 0,9% d'OGM
Les produits biologiques vendus en Europe pourront dorénavant contenir des résidus d'organismes génétiquement modifiés (OGM) sans étiquetage particulier, conformément à un nouveau règlement européen qui entre en vigueur ce jeudi.

Adopté en juin 2007 par les ministres européens de l'Agriculture, ce nouveau texte législatif autorise la présence "fortuite ou techniquement inévitable" d'OGM à hauteur de 0,9% dans les produits bio. Au-delà de ce seuil, ces aliments devront être étiquetés comme contenant des OGM. En deçà, aucune indication au consommateur n'est prévue.

Ce nouveau règlement, qui avait provoqué la controverse lors de son adoption, étend en réalité aux produits bio des dispositions européennes déjà en vigueur depuis 2004 pour l'ensemble des aliments issus de l'agriculture conventionnelle. Outre l'introduction de ce seuil controversé, le nouveau texte établit une série de règles fondamentales pour l'agriculture biologique en Europe. Ainsi, seules les denrées alimentaires contenant au moins 95% d'ingrédients biologiques pourront porter le nouveau logo biologique européen, lequel sera obligatoire.

Celui-ci aurait normalement dû faire son apparition ce 1er janvier en même temps que le nouveau règlement, mais son introduction a été reportée au 1er juillet prochain. Les autorités européennes ont en effet été contraintes de redessiner le nouveau logo biologique européen. Le dessin initialement retenu ressemblait en effet trop fortement à celui utilisé par une chaîne de supermarchés allemands pour ses propres produits bio... Les logos biologiques nationaux déjà existants pourront perdurer, mais devront obligatoirement être accompagnés du logo communautaire.

Le texte prévoit également pour ces produits une indication du lieu de culture, et établit une nouveau régime d'importation imposant aux producteurs de pays tiers les mêmes conditions que les producteurs européens. En 2005, quelque 4% de la superficie agricole européenne était consacrée à l'agriculture biologique, mode de production qui refuse le recours aux engrais et pesticides chimiques, et a fortiori les OGM.

 

La Libre Belgique


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31 décembre 2008 3 31 /12 /décembre /2008 16:17
Ceux qui veulent manger le monde - Les 10 entreprises transnationales les plus grandes de la planète contrôlent : 67 % du marché des graines ; 89 % du marché mondial d'agrochimiques ; 26 % des ventes globales au consommateur ; 55 % du marché pharmaceutique, 63 % de la pharmacienne vétérinaire et 66 % de l'industrie biotechnologique.
Dans beaucoup de cas, les mêmes entreprises se répètent dans différents secteurs, ou elles ont des accords mutuels qui leur permettent un contrôle dans leur secteur et dans les chaînes de secteurs  associés. C'est toujours le supermarché WalMart, la plus grande entreprise du monde, étant la 26 ème parmi les 100 plus grandes économies de la planète, beaucoup plus grande que le PIB de pays entiers comme le Danemark, le Portugal, le Venezuela ou  Singapour.

La disparité de revenus individuels dans le monde a également crû. La richesse accumulée des 1 125 individus les plus riches du monde est de 4.4 milliards de dollars. Ce chiffre est plus grand que les revenus cumulés de la moitié de la population adulte de la planète. 50 administrateurs de fonds financiers (hedge funds et equity funds), les grands spéculateurs qui ont provoqué la "crise", ont gagné en 2007 une moyenne de 588 millions de dollars, 19 mille fois plus que le travailleur étasunien moyen et 50 mille fois plus qu'un travailleur latino-américain moyen. Le directeur exécutif de la financière Lehman Brothers, maintenant en banqueroute, a empoché 17 mille dollars par heure en 2007 (données de l'Institute for Policy Studies).

Une absurde minorité d'entreprises et quelques multimillionnaires qui possèdent leurs  actions contrôlent d'énormes pourcentages des industries et des marchés fondamentaux pour la vie, comme l'alimentation et la santé.

Cela leur permet une puissante ingérence sur les politiques nationales et internationales, accomodant à leur convenance les régulations et les modèles de production et de consommation qui s'appliquent dans les pays, qui sont à leur tour causes des plus grandes catastrophes alimentaires, environnementales et de santé.

L'un des exemples les plus tragiques de cette ingérence est la privatisation et la conversion du système agroalimentaire, quelques décennies auparavant décentralisé et basé majoritairement sur des graines en accès libre, en eau, terre, soleil et travail humain, pour le convertir en une machine industrielle pétrolisée, qui exige de grands investissements, des machines chères, des quantités dévastatrices d'agrochimiques (mieux appelés agrotoxiques) et des graines patentées contrôlées par certaines entreprises. Bien que de plus grandes quantités de quelques grains ont été produites, cela n'a pas résolu la faim dans le monde comme ils le promettaient, mais au contraire elle a augmenté.
Le bilan en terme d'érosion des sols et de biodiversité agricole et d'élevage, avec la pollution chimico-toxique des eaux, n'a pas de précédent dans l'histoire de l'humanité
. Le tout accompagné, comme si c'était peu de chose, d'une crise croissante au niveau de la santé humaine et animale (qui est aussi un négoce pour les mêmes entreprises).
 
Le paradigme le plus significatif de cette "involution verte", sont les transgéniques, des graines patentées dépendantes des chimistes des entreprises, promues comme panacée pour résoudre les actuels problèmes de la faim que le propre modèle a créés. Mais l'usage d'engrais industriels, au lieu de l'équilibre de nutriments naturels des modèles d'agriculture antérieurs, provoque aussi une addiction et une dépendance et est aux mains d'un oligopole fermé transnational. Comme le pétrole, il est basé sur l'usage de produits finis et non renouvelables : selon des données de PotashCorp, la première entreprise globale d'engrais, les réserves de phosphore, un ingrédient fondamental des engrais, diminuent à un rythme accéléré. Globalement, la consommation industrielle d'engrais a augmenté de 31 % entre 1996 et 2008, grâce au développement de l'élevage industriel et de la production d'agrocombustibles. Et avec les crises, les prix ont augmenté de plus de 650 % entre janvier 2007 et août 2008. Il n'est pas étrange que Mosaic, la troisième entreprise d'engrais au niveau global (propriété à 55 % de Cargill) ait augmenté ses bénéfices de plus de 1000 % pendant cette période.

Les solutions réelles existent déjà et sont diamétralement opposées : souveraineté alimentaire, comme le propose La Via Campesina, à partir d'économies agricoles décentralisées, diverses, libres de brevets, basées sur la connaissance et les cultures paysannes.
 
 
Silvia Ribeiro (chercheuse du groupe ETC), La Jornada (Mexique), 06 décembre 2008.
 
Traduit par http://amerikenlutte.free.fr 
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