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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 06:49
Les terroristes d'Etat en action. Femmes et enfants ne sont pas épargnés...

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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 13:15
Crier «Sarkozy» et hop, au tribunal

JUSTICE. On ne crie pas impunément à Marseille. Même dans une gare, même à l'heure de pointe, même si on fait rire les voyageurs. Un enseignant de 47 ans un peu anti-sarkozyste sur les bords risque bien d'en faire les frais, mardi prochain, devant le tribunal de police de Marseille. Motif de la comparution: «tapage injurieux diurne troublant la tranquillité d’autrui».


L'affaire remonte à plus d'un an. Le 27 février 2008, il est presque 18 heures gare Saint-Charles quand deux policiers font un contrôle d'identité tendu. Notre enseignant, qui passait par là, s'en émeut et, pointant les policiers du doigt, lance haut et fort «Sarkozy, je te vois!». Deux fois. Les passagers sont hilares, les policiers nettement moins, qui embarquent illico l'impertinent au commissariat.

Les policiers, «sans doute un peu vexés», glisse Me Philippe Vouland, l'avocat de l'enseignant, lui reprochent alors, non pas l'injure ou l'outrage, mais d'avoir fait du bruit de nature à troubler la santé d'autrui, sur la base de l'article R1337 du code de la santé publique.


Les jours passent, l'incident semble clos, quand un an plus tard le Marseillais est convoqué au commissariat puis cité à comparaître. Le motif des poursuites a entre temps changé, relève l'avocat: en plus d'être bruyant le tapageur a été «injurieux».

Ce qui, en vertu de l'article R632-2 du code pénal, expose le contrevenant à 450 euros d'amende.

«Du tapage diurne à l'heure de pointe en pleine gare Saint-Charles, dans une ville bruyante comme Marseille, faut quand même faut pas pousser», s'offusque pince-sans-rire Me Vouland, qui compte plaider «l'ambiguité de la situation». Et au besoin procéder à une petite démonstration par l'absurde en réclamant une reconstitution des faits, expert et neurologue à l'appui, pour mesurer, un mardi à 17h50, la différence de décibels qu’aurait pu provoquer l’exclamation de son client et les effets sur la santé d'autrui.


Cordélia Bonal

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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 10:33

Par Farid, We Are Change Paris, pour Mecanopolis


Le mondialisme est un projet politique ayant pour objectif la mise en place d’un gouvernement mondial. Pour y arriver, les groupes mondialistes mettent en place de grands blocs continentaux standardisés où les nations perdent leur souveraineté pour passer sous la domination d’instances supranationales.

mains_boule_europe

La fabrication de l’Union Européenne étant le prototype même de ce redécoupage planétaire et aussi le plus avancé. En 1958, le traité de Rome a été une première étape de la construction de l’UE , créant un marché commun de libre échange, qui a progressé au fil des années jusqu’au stade actuel avec la ratification du traité de Lisbonne par la France le 8 février 2008, soit … trois ans après le refus du peuple français ! Dejà, le traité de Maastricht en 1992 stipulait dans son article 104 l’interdiction aux états membres de battre monnaie, devenu l’article 123 du traité de Lisbonne dit “simplifié”(1) . L’Union interdit donc aux états membres de fabriquer leur monnaie au profit de cartels de banques privées avec intérêts ! Ce racket financier est dans la continuité de la loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973 par laquelle la Banque de France abandonne son rôle de service public. La dette française de 1200 milliards d’euros est constituée d’environ 1142 (milliards, je suppose. ndFerlin)euros d’intérêts des prêts auprès des banquiers privés(2) !

Un article crucial à lire ICI.

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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 09:28
J’ai pris l’habitude, depuis quelques années, de me rendre en Palestine, au moins une fois par an, pour donner une série de conférences sur l’éducation, la culture, l’art et la résistance en Palestine.
Cette année, c’était au tour de Gaza d’accueillir deux de mes conférences.


D’abord, passer en Palestine
Comme d’habitude, pour aller en Palestine, je passe par la Jordanie, depuis Amman, puis me rends au Pont du Roi Hussein, point de passage des frontières jordano-palestinienne, contrôlé, côté palestinien, par les militaires israéliens.
Comme d’habitude, une fois arrivé au poste frontière, la jeune soldate israélienne, âgée d’une vingtaine d’années, sait, à la lecture de mon nom qu’elle a à faire à un Français d’origine palestinienne, ce qui est en soi incitateur d’une punition dont le contour se précisera au fur à mesure de la lecture d’éventuelles informations supplémentaires que le fichier informatique lui fournira. Consultation informatique faite, un regard haineux anime son visage et le geste, d’une main remplie de mépris, me fait signe d’aller attendre. Puis elle se presse d’aller consulter ses chefs.
Car le cas des Palestiniens de la Diaspora constitue un des cas de figures qui fâche le plus ! Dans le regard que portent les Israéliens sur ces Palestiniens qu’ils préféreraient ne plus jamais voir revenir en Palestine, cohabitent méfiance et haine : c’est le « syndrome du retour ». Ils voient en eux des Palestiniens déguisés en Occidentaux, tentant de détourner le Droit au retour, ne serait-ce que pour quelques jours. Aussi, ces Palestiniens suscitent auprès des Israéliens une envie aiguë de les punir d’autant plus que ces Palestiniens semblent se croire protégés par leur statut d’« Occidentaux » !. Alors peu importe la nationalité, aucun passeport ne peut protéger aucun Palestinien. D’ailleurs, c’est pourquoi la peur et l’inquiétude nous envahissent à chaque fois que l’on a à faire aux autorités israéliennes. Car nous savons que derrière la petite soldate, il y a une impitoyable machine prête à se mettre en route, capable de vous humilier, arrêter, interroger et même vous broyer si elle considère que cela peut avoir la moindre utilité. Une telle machine fonctionne selon une logique imprévisible dont on ne peut décoder ni deviner les tenants et les aboutissants.
La soldate, hautaine de ses 150 cm, revient, les yeux pétillants, l’envie débordante de procéder à l’interrogatoire. Des questions, généralement sans intérêt, sont alors posées, les réponses données, elle décide de m’octroyer un visa d’une semaine. Il s’agit d’une sortie honorable : sans grande difficulté, l’autorisation de rester en Israël quelques jours m’est accordée, ce qui est suffisant pour accomplir ma mission. Je peux m’estimer heureux.
J’arrive à Jérusalem où des amis attendent pour m’amener à Gaza.

La suite de ce voyage, c'est ICI.
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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 10:58
par Robert Fisk

Les massacres répétés de populations civiles sous les bombardements de la coalition en Afghanistan réduisent à néant toutes les prétentions morales qui sont avancées pour justifier cette guerre. Une armée en campagne qui prend le risque de tuer des dizaines de civils en écrasant des villages sous les bombes pour ne pas avoir à exposer la vie de ses soldats dans un affrontement rapproché avec les rebelles ne vaut pas mieux que ceux qu’elle prétend combattre. Les morts du village de Granai n’ont pas fait les gros titres. Aucune voix ne s’est élevée ici pour poser cette question brûlante : que fait la France dans cette sale guerre ? L’indifférence en ces circonstances confine à la complicité. Quelque soient les arguments que l’on puisse avancer sur les différences entre les règles d’engagement entre les forces américaines et européennes, après ce massacre, ce ne sont qu’arguties. Qui pourrait, après Granai, avoir le front d’affirmer que cette guerre est « juste » ? Qui pourrait décemment le croire ? Sûrement pas le peuple Afghan, sans l’ombre d’un doute.

A lire sur Contre Info.
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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 22:10
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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 10:39



Dans un entretien à la télévision Russia Today, le journaliste états-unien Wayne Madsen a confirmé les informations de son collègue Seymour Hersh sur l’existence d’escadrons de la mort US placés sous la direction exclusive du vice-président Cheney, de 2001 à 2008, et lié à une structure israélienne équivalente.

Prolongeant ces révélations, Wayne Madsen a déclaré avoir recoupé diverses sources et être en mesure d’affirmer que Dick Cheney avait ordonné l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri (14 février 2005). Cette information surgit quelques semaines après l’installation par l’ONU du Tribunal spécial pour le Liban, principalement chargé de juger ce meurtre.

L’existence de plans pour assassiner des leaders politiques dans le monde entier a été évoquée par Bob Woodward dans le Washington Post dès janvier 2002. Wayne Madsen avait alors révélé le nom des premières cibles (le leader papou Theys Eluay, le ministre de la Justice du Nigéria Chef Bola Ige, le gouverneur de la province d’Aceh Abdullah Syaffi, et le chef des milices chrétiennes libanaises Elie Hobeika). La stratégie de ces escadrons de la mort avait été précisée un mois et demi plus tard par Thierry Meyssan dans L’Effroyable imposture 1 (chapitre 10). Le réseau logistique ayant préparé l’assassinat de Rafic Hariri a été détaillé dans L’Effroyable imposture 2.

Source

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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 20:33
Suite aux commentaires sur cet article, je vais essayer de donner mon avis sur la crise actuelle. Un avis d'observateur amateur et totalement détaché.

L'empressement des politiques à s'engouffrer dans l'appel au Nouvel Ordre Mondial, sitôt la crise enfin visible (les politiques n'avaient rien vu venir, soit disant, alors que la chose était déterminée depuis plus d'un an), prouve la connivence logique et obligatoire entre la finance et la politique.
Aucun homme politique ne peut atteindre le pouvoir sans passer par les tiroirs caisse des multinationales, des banques. C'est, je pense, désormais indéniable.

Si ma mémoire est bonne, entre le moment où la politique US a été de donner des crédits à des pauvres gens pour accéder à la propriété et le moment de l'éclatement de la bulle des subprimes, ce n'est pas moins de 17 hausses des taux d'intérêts qui ont été promulgués par la F.E.D.
La Reserve Fédérale, comme son nom ne l'indique pas, est dirigée par les plus puissants banquiers privés. L'Etat U.S. n'a rien à voir dans cela.
Les banquiers ayant prêté l'argent, et augmenté les taux d'intérêts par la suite, ne pouvaient être qu'au courant des conséquences que cela allait entraîner.

On peut donc dire sans aucun détour que la crise est fabriquée par la finance internationale.

Pourquoi?...

La finance internationale, magnifiée par le FMI et la Banque mondiale (qui viennent d'avoir le plein soutien de nos politiques lors du G-20) a besoin de ses mains libres, internationalement, pour assouvir sa soif d'exploitation à outrance, que ce soit au niveau des richesses terrestres ou humaines. Ils veulent tout exploiter, sans aucune limite.
Un gouvernement mondial à sa solde, et ce sont toutes les barrières sociales, écologiques qui tombent.

Du pain béni.

Pour l'instauration de ce Nouvel Ordre Mondial, non démocratique car aucun peuple ne voudrait de ce système, les financiers, aidés de leurs caniches les politiciens, ont décidé de faire une crise mondiale, de piller les économies nationales, à coups de renflouements bancaires. Ils nous tenaient par les couilles, avec la dette. Ils tiennent maintenant nos spermatozoïdes et nos ovules, ayant endettés nos enfants et nos petits enfants.

Cette crise est loin d'être finie. Le tournant va s'opérer cette année et conduire le monde au bord du chaos. Car les annonces sur le Nouvel Ordre Mondial ne sont pas anodines. Elles nous préparent.

Vous avez entendu des nouvelles concrètes sur la formation d'un gouvernement mondial?

Y a t-il des discutions en ce sens?

Non. Car tout est prêt, déjà, sur le papier. Manque plus que le contexte où le peuple sera en demande de ce IV ème Reich.

Il ne faut plus en douter. Ce contexte viendra tôt ou tard.



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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 13:59
Les banques américaines et européennes n'ont pas été des victimes de la crise financière qui a éclaté aux Etats-Unis en 2008, mais sont coupables de l'avoir délibérément provoquée, estime mercredi une organisation américaine de journalisme d'investigation.

Le
Center for Public Integrity estime à 25 le nombre d'organismes de crédits immobiliers dont les prêts à risques consentis sont à l'origine de la crise du marché immobilier qui a éclaté en 2007 et qui a provoqué la crise économique.

La plupart de ces organismes étaient détenus par des banques américaines et européennes ou bien n'ont pas pu consentir leurs prêts à risques, appelés "subprime", sans la complaisance des banques, indique l'organistation.

Acteurs, pas spectateurs
"Les méga banques qui ont financé l'industrie des subprime n'ont pas été victimes d'un effondrement imprévu du secteur de la finance, comme elles l'ont parfois dit", indique le directeur exécutif de l'organisation Bill Buzenberg. "Ces banques ont, de manière délibérée, facilité le financement des prêts qui menacent maintenant le système financier", ajoute-t-il.

Cette étude a été publiée alors que la Chambre des représentants américaine devait approuver mercredi un projet de loi visant à créer une commission d'enquête indépendante pour examiner les causes de la crise économique, sur le modèle de celle instaurée après les attentats du 11 septembre 2001.

Emprunteurs peu solides
Le Center for Public Integrity a indiqué qu'il avait étudié des données du gouvernement américain portant sur près de 7,2 millions de prêts à risques consentis entre 2005 et 2007, juste avant que la bulle immobilière n'éclate.

L'étude indique que ces 25 organismes de crédits immobiliers représentaient près de 1.000 milliards de dollars, soit près de 72% des prêts hypothécaires consentis à des emprunteurs peu solides. Au moins 21 des 25 organismes ont été financés par des banques renflouées par le gouvernement américain, et 11 d'entre eux ont payé des sommes importantes pour éviter des poursuites judiciaires pour des abus.

Fonds publics
Quatre de ces organismes ont reçu directement des fonds publics, parmi lesquels l'assureur AIG et la banque Citigroup. Parmi les autres banques citées figurent les Britanniques HSBC et Barclays Bank.

A titre d'exemple, l'ancien numéro un américain du crédit hypothécaire Countrywide Financial, racheté en 2008 par Bank of America pour lui éviter la faillite, a émis au moins 97,2 milliards de dollars de prêts à risque, selon l'étude. "Les banques ont réalisé d'énormes bénéfices pendant que leurs dirigeants récoltaient des primes conséquentes jusqu'à ce que le marché immobilier s'effondre", indique l'étude. (belga)

Source

Trouvé dans Le Panier.
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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 12:59

Environ 7,9 millions de personnes vivaient en dessous du seuil de pauvreté en France en 2006, soit 13,2% de la population, selon une étude de l’INSEE parue mercredi 5 mai. En 2004, rappelle l’Institut national de la statistique et des études économiques, ce taux était de 11,7%, soit près de sept millions de personnes.

L’Insee rappelle qu’en 2006, une personne vivant seule était qualifiée de pauvre quand son revenu disponible était inférieur à 880 euros par mois et à 1.320 euros pour un couple sans enfant.

Près d’un tiers des personnes vivant au sein d’une famille monoparentale (30,3%) étaient confrontées à la pauvreté, soit une proportion 2,3 fois plus importante que dans l’ensemble de la population. Cela représentait plus de 1,6 million de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. A noter que les familles monoparentales sont le plus souvent constituées d’une mère et de ses enfants (85% des cas).


Un retraité sur dix en dessous du seuil de pauvreté

A l’inverse, les ménages les moins touchés par la pauvreté étaient les couples sans enfant : seuls 6,4% des personnes en couple sans enfant étaient dans ce cas.

Dans cette étude intitulée "Inégalités de niveau de vie et mesures de pauvreté en 2006", l’Insee note qu’au cours des dix dernières années, la baisse de la pauvreté a plutôt bénéficié aux familles nombreuses (couples ayant trois enfants ou plus), dont le taux de pauvreté a diminué de l’ordre de cinq points, alors que la situation des personnes seules et des familles monoparentales a peu évolué.

L’emploi reste une protection contre la pauvreté, observe aussi l’Insee. Ainsi, en 2006, 9,8% des personnes actives, au sens du Bureau international du travail (BIT), c’est-à-dire occupant un emploi ou en cherchant un, avaient un niveau inférieur au seuil de pauvreté, alors que 15% des inactifs étaient dans cette situation.

Près d’un retraité sur dix (9,6%) avait un niveau inférieur au seuil de pauvreté, ce qui représentait 1,2 million de personnes. Les taux de pauvreté des enfants et des étudiants vivant chez leurs parents étaient élevés, respectivement 17,7% et 18,2%.


Niveau de vie croissant jusqu’à la retraite

L’Insee souligne par ailleurs qu’en 2006, le niveau de vie était globalement croissant avec l’âge jusqu’à 59 ans, puis décroissant. A partir de 50 ans, la taille des ménages commence à se réduire avec le départ des enfants qui ont grandi, et le niveau de vie moyen est ainsi maximum pour la tranche d’âge 55-59 ans. Après 60 ans, le revenu est principalement composé de pensions et retraites, qui sont inférieures aux revenus d’activité de la période précédente.

Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, les générations n’ont toutefois pas toutes au même âge des niveaux de vie équivalents. Si les générations nées avant 1950 ont, à chaque âge, un niveau de vie supérieur à celui de leurs aînées, ce n’est plus le cas pour les générations suivantes.

L’Insee observe par ailleurs qu’en 2006, le niveau de vie médian, qui partage la population en deux parties égales, était de 17.600 euros, soit 1.470 euros mensuels. Le niveau de vie des 10% de personnes les plus aisées était 3,4 fois supérieur à celui des 10% des personnes les plus modestes.


http://tempsreel.nouvelobs.com/spec...

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