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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 07:41


Venez boire un p'tit verre en discutant de choses qui vous tiennent à coeur!


Espace convivial et ouvert, BBB attend vos contributions diverses et variées et surtout libres.

Pour y accéder, une seule adresse :


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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 09:11


Texte de George Carlin comédien


Le paradoxe de notre temps est que nous avons de plus grands bâtiments mais des plus petits tempéraments, des autoroutes plus larges mais des points de vue plus étroits.


Nous dépensons plus mais nous avons moins, nous achetons plus mais apprécions moins, nous avons de plus grandes maisons, mais de plus petites familles, plus de commodités mais moins de temps.


Nous avons plus d'instruction mais moins de bons sens, plus de connaissances mais moins de jugement, plus d'experts et encore plus de problèmes, plus de médicaments mais moins de bien-être.


Nous avons trop, nous fumons trop, nous nous dépensons inconsidérément, nous rions trop peu, conduisons trop vite, nous nous mettons trop en colère, nous nous levons trop tard et fatigués, nous pensons trop peu, regardons trop la telé et prions trop rarement.


Nous avons multiplié nos possessions mais réduit nos valeurs, nous parlons trop, aimons trop rarement et haïssons trop souvent.


Nous avons appris comment gagner notre vie mais pas la vie. Nous avons ajouté des années à la vie, pas de la vie aux années.


Nous sommes allés sur la lune et en sommes revenus, mais avons des difficultés à traverser la rue pour rencontrer un nouveau voisin. Nous avons conquis l'espace sidéral mais pas notre espace intérieur.


Nous avons fait de grandes choses mais pas les meilleures choses. Nous purifions l'air, mais polluons les âmes.

Nous avons conquis l'atome, mais pas vaincus nos préjugés. Nous écrivons plus mais apprenons moins.


Nous planifions plus mais accomplissons moins. Nous avons appris à nous précipiter mais pas à attendre.

Nous construisons plus d'ordinateurs pour obtenir plus d'informations pour produire plus de documents que jamais mais nous communiquons de moins en moins.


Nous sommes dans le temps de la nourriture rapide mais des digestions lentes, des êtres humains de grandes tailles mais de petits caractères, des trop larges profits et des relations peu profondes.

Nous jouissons de deux revenus mais divorçons, nos maisons sont luxueuses mais nos foyers détruits.


De nos jours nous faisons des voyages éclairs, et des couches-culottes jetables, nous appliquons une morale sur mesure, et nous engageons des flirts sans lendemain.

C'est l'époque des personnes obèses et des comprimés à tout faire, qui vous remontent le moral, vous apaisent et vous tuent.


C'est une époque où seule l'apparence compte au détriment du contenu.
A notre époque on peu choisir de partager ce texte ou de le supprimer.


Souviens-toi, passe du temps avec tes proches, ils ne seront pas là éternellement. N'oublie pas de dire un mot gentil à quiconque te regarde avec admiration.

Bientôt cet enfant pour qui tu es un héros sera devenu grand et vivra sa propre vie. N'oublie pas de serrer dans tes bras les personnes que tu aimes, parce que c'est le seul trésor qui vienne du cœur et qui ne coûte rien.

N'oublie pas de dire je t'aime à ton partenaire et aux personnes qui comptent pour toi, mais surtout, dis-le avec sincérité.

On peut guérir n'importe quelle blessure en serrant quelqu'un contre soi, pourvu qu'on le fasse avec tendresse.

Souviens-toi de profiter du temps que tu as avec la personne que tu aimes, parce qu'un jour cette personne ne sera plus là.


Prends le temps d'aimer, prend le temps de parler et de partager tes pensées intimes.

Et n'oublie jamais ceci : La vie ne se mesure pas par le nombre de fois qu'on respire, mais par le nombre d'instants beaux à couper le souffle…

Trouvé sur TERREduFUTUR

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 15:24
Lettonie - Hier, la nouvelle a fait le tour de la toile en une journée : une météorite était tombée en Lettonie dimanche soir. D'une taille record, elle était censée s'être écrasée dans le nord du pays dans la région de Mazsalaca. Il s'agit néanmoins d'une histoire inventée de toutes pièces par une société en communication dans le but de faire parler de la Lettonie.

La société de communication ayant reconnu les faits doit à présent faire face à de nombreux désagréments, car cette annonce a engendré des dépenses inutiles. On a ainsi vu une série d'experts et de services d'urgence rameutée sur les lieux de "l'incident", peu de temps après la publication de l'article sur le net.

Le mécontentement de la ministre lettone de l'Intérieur Linda Murniece est bien palpable, celle-ci ayant qualifié ce canular de "moquerie cynique". La société de communication pourrait de plus être la cible d'une enquête criminelle lancée par la police lettone. Elle a néanmoins indiqué qu'elle allait assumer les frais engendrés par ce canular. Cette blague de mauvais goût aura tout de même été bénéfique à quelqu'un : la propriétaire du terrain où l'objet était censé être tombé, qui a profité de cette histoire pour faire payer des droits d'entrée sur le site aux nombreux curieux.

Source
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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 10:40
APPEL POUR SAUVER MES DEUX ENFANTS :
FIONA ET MILLA


Depuis 4 ans, Madame MAOLONI Maria Pia, maman de Fiona (8 ans) et de Milla (4 ans) se bat pour protéger ses deux enfants contre les violences sexuelles qu’elles ont subies par leur père, ANTONINI Rocco et leur grand-père paternel, ANTONINI Roberto.
Mais sa bataille d’amour pour ses enfants a pris les couleurs sombres d’une lutte contre l’enfer et contre une protection mafieuse autour des ANTONINI et de leurs complices. En effet, l’enfant aînée a déclaré avoir été amenée par son père et son grand-père dans des lieux luxueux où étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants ; et qu’on les prenait en photo.
A Mons (en Belgique), les procédures judiciaires ont pris systématiquement une orientation en faveur des ANTONINI malgré un dossier impressionnant de documents et de témoignages en faveur de la crédibilité des dires de l’enfant aînée.

ACTUELLEMENT, LES ENFANTS ONT ETE CONFIEES AU PERE ET SONT INTROUVABLES !!!! MALGRE UN DOSSIER PENAL POUR VIOLS SUR MINEURS A CHARGE DU PERE ET DU GRAND-PERE PATERNEL TOUJOURS EN COURS, EN Belgique et en Italie.

Voir toute l'histoire sur le blog.

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 13:30

Son président, Yves Meaudre  explique :

 

16 octobre 2009 | Yves Meaudre*


Responsables d’une ONG qui défend depuis cinquante ans l’enfance souffrante en Asie, association ayant reçu le Prix des droits de l’homme de la République française pour l’action que nous menons auprès de 60.000 enfants, il nous est impossible de ne pas réagir face à la polémique qui met en cause un ministre de la République.

Nous savons, pour être quotidiennement à leurs côtés, que des jeunes peuvent vivre heureux et construire leur personnalité d’adultes malgré des blessures physiques, comme celles provoquées par des mines dont ils ont pu être les victimes dans les zones où nous travaillons. En revanche, nous savons que les blessures psychologiques et morales sont irrémédiables lorsque celles-ci sont le fait d’un viol, d’un abus ou de la prostitution.

Notre expérience actuelle et ancienne en Thaïlande, au Cambodge et aux Philippines nous autorise à dénoncer haut et fort toute tentative de vulgarisation et de banalisation de la pratique de la pédophilie et de la prostitution des jeunes gens. C’est un crime insoutenable, dont les conséquences sont terribles.

Il est impossible pour nous d’accepter qu’un ministre de la France puisse reconnaître avoir eu des relations sexuelles avec des « gosses » sans qu’il ne soit obligé de quitter ses fonctions [1]. Certes, l'ambiguïté savamment dosée sur l'âge de ces « gosses » nous interdit de penser qu'il s'agisse d'enfants mineurs : pour Frédéric Mitterrand, un « gosse » ou un « boxeur de quarante ans », c'est pareil... L'essentiel n'est pas là. Quel que soit l'âge de ces « gosses », le recours à la prostitution fait toujours des victimes. Et quel que soit leur âge, les prostitué(e)s, esclaves exploités, sont toujours des enfants. Qu'on ne viennent pas nous dire qu'ils sont « consentants ».


S’abriter derrière son statut d’homme politique ou d’écrivain pour revendiquer l’impunité a quelque chose de monstrueux quand on connaît la souffrance de ces victimes. Comment peut-on prendre M. Mitterrand au sérieux quand il condamne le tourisme sexuel en présentant sa « confession » comme la « sublimation » littéraire de ses actes ? Comment un Premier ministre peut-il accepter de couvrir un membre de son gouvernement quand il est lui-même père de famille ? Et si son enfant en avait été la victime ? Les jeunes gens d’Asie sont ils de moindre valeur ?

Lire la suite sur DEVENIR LUCIDE
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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 16:17
par Manu A, Invalide sans profession.

Vos prises de position au sujet de l'affaire Polanski me forcent à venir à vous. En 1989, il y a donc 20 ans de cela, je me suis rendu coupable des mêmes faits que l'on reproche à Monsieur Polanski. Je croyais, moi aussi, que j'avais un rapport sexuel avec une adolescente de 14 ans consentante. Contrairement à votre pauvre cinéaste, j'ai attendu sagement la venue des gendarmes, puis je suis resté en cellule deux ans et demi, jusqu'à mon procès devant la Cour d'assises. Et, toujours en cellule, j'ai compté deux mille deux cent cinquante cinq (2255) jours avant d'être enfin élargi. Soit dit en passant, sans une seule permission de sortir préalable.


Le fait est que la prison, le procès et la psychanalyse aidant, j'ai fini par saisir une subtilité qui jusque là m'avait échappé et qui, je l'avoue, était sinon à l'origine de mon acte, tout du moins un élément déclencheur de ce que j'infligeais à ma victime. Comme j'ai pu constater, suite à l'affaire Polanski, que cette subtilité vous échappe à tous deux, je m'empresse de vous en faire part. J'ai appris à mes dépends, mais aussi et surtout aux dépends de celle à qui j'ai fait tant de mal, qu'une gamine de 13 ans ne peut en aucun cas donner son consentement pour une relation sexuelle avec un adulte. Je le répète, il est impossible qu'elle donne son consentement, y compris lorsqu'elle est explicitement demandeuse, c'est vous dire combien certains font fausse route et pourquoi je fus très justement condamné pour viol. Si vous me demandiez la raison de cette impossibilité, je vous répondrais ce par quoi je commençais ce paragraphe. D'où, Messieurs les ministres, la nécessité de répondre de ses actes devant la justice, devant la victime et de les revoir, les mâcher, les ruminer, jour après jour, nuit après nuit. Tout cela bien sûr dans la douleur, les larmes, la contrainte, l'humiliation, la honte et la solitude de la prison. Travail qu'on ne peut nullement réaliser dans le strass et les paillettes. Travail que vous, Messieurs les ministres et tous ceux qui protègent Polanski depuis si longtemps, l'avez empêché de réaliser.


Voilà pourquoi cette affaire lève un tel tollé parmi les gens communs, et voilà la raison du décalage abyssal qu'il y a entre l'opinion du petit peuple, dont je suis, et vous et vos amis intellectuels : parce que vous vous dressez comme un seul homme contre ce que nous enseigne toute notre civilisation - excusez du peu !

Vous, Messieurs, voilà que tout d'un coup, vous nous crachez que l'homme ne doit nullement faire amende honorable, ni redresser son chemin. Et vous voilà, soudain, la bouche pleine de ses pitoyables excuses que l'on entend si souvent dans la bouche de tristes individus, dont j'étais, plus proches de l'animalité que de ce à quoi ferait penser leur silhouette: "Elle était consentante, elle paraissait vingt ans, il y a si longtemps" Vous, ministres et intellectuels, vous n'avez loupé aucune de ces bestialités, plus l'insulte faite à tous ceux qui purgent leur peine dans la promiscuité, le silence et l'oubli de nos prisons.


Mais il y a pire. Les faits dont je me suis rendu coupable, je les ai commis en 1989, il y a donc vingt bonnes années. Personnellement, j'ai assumé, j'ai payé et j'ai même payé un second crime que je n'avais pas commis et puis surtout, j'ai réalisé l'infinie gravité de mes actes. Et si je n'ai jamais eu droit au pardon, j'ai en revanche eu droit à l'oubli... Jusqu'en février dernier. Car voilà qu'en février 2009, donc vingt ans après, ces messieurs en uniforme sont venus me notifier que dorénavant j'héritais d'une nouvelle punition qui consiste à devoir me rendre deux fois par an dans leurs locaux pour leur confirmer mon adresse. Vingt ans après Monsieur Kouchner ! Vingt ans après Monsieur Mitterrand ! Alors que j'ai tout assumé, payé et jamais récidivé. Alors qu'ils ont devant leurs yeux vingt longues années de non récidive. Et cette loi scélérate, c'est vous, Monsieur Kouchner, c'est vous, Monsieur Mitterrand, vous qui demandez à ce qu'on oublie un fugitif, c'est vous qui l'avez voulue et votée, quand pour Polanski "c'est si vieux, quel acharnement, méchants américains..."


Depuis février, je fais des cauchemars, depuis février, j'ai perdu ma paix et l'on m'a arraché à l'oubli, celui que la coutume ancestrale me concède. Depuis que vous m'avez infligé une nouvelle punition, vingt ans après les faits, ça va mal. Mais depuis trois jours, Messieurs les ministres, depuis que vous avez réagi pour Polanski, là vous m'avez mis la haine, j'ai perdu mon peu de sagesse. Vous m'avez empoisonné le sang. Je vous demande donc au nom du simple principe de cohérence de me faire enlever cette dernière punition aussi injuste que traumatisante. De lancer une pétition avec vos amis les intellectuels et autres cinéastes. Redonnez-moi mon droit à l'oubli, car moi, oui, j'y ai droit, j'ai fait plus juste que le "Pianiste" et son auteur : J'ai payé !


Note de Ferlin : A préciser que l'adolescente, dans l'affaire Polanski, n'a jamais été consentante, puisque droguée au champagne et aux calmants.

Merci Fedydurke, pour le lien.

Source

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 14:40
Il faut absolument, je dis bien absolument, que ce système explose par sa tête. Car la tête est malade, c'est le moins que l'on puisse dire.

Merci Fedydure pour le lien.


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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 17:24

Retour sur la pédophilie des Élites, parce que l’oubli n’est pas acceptable.

Le seul juge qui a suffisamment de pouvoir pour arrêter ce massacre, c’est le peuple.


ALORS PRENEZ VOS RESPONSABILITÉ. LA FIN DE L’OMERTA C’EST AUJOURD’HUI.

 

Lire ce très bon  condensé sur NOT

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 12:40
Bravo pour ce coup de gueule, salutaire et respectable.

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 12:18
Voici ce qui est important. Ce n'est pas un minable qui est important, c'est ce système corrompu et sataniste. Regardez, et parlons du pardon, ensuite.

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