Merci au "passant qui aime bien ce blog" de nous informer si je me trompe. Mais comme c'est Vénus, encore, qui est au plus près du Soleil en ce moment...
Non, encore NON!.... voir ICI.
Merci au vigilant passant...
Le télescope spatial Hubble qui surveille l'évolution de l'atmosphère de Jupiter a pu observer en direct la fusionGrande Tache Rouge avec une autre plus petite (la Tache Rouge Junior). de la Hubble, qui sera bientôt réparé et équipé de nouveaux instruments lors de la prochaine mission d'une navetteactivité de la Grande Tache Rouge a très vraisemblablement été soutenue ces 150 dernières années et expliquer sa longévité (plus de 300 ans). Ces images en vraies couleurs ont été acquises le 15 mai, le 28 juin et le 8 juillet. On peut voir le passage de la Tache Rouge Junior, apparue début 2006, dans une bande de nuages en-dessus de la Grande Tache Rouge. Quant à la tempête qui va être avalée par la Grande Tache Rouge, on l'aperçoit dans la même bande latitude Comme l'explique Ciel et Espace, cette rencontre entre deux tempêtes dont la puissance n'a pas d'équivalent dans le Système solaire intéresse de près les scientifiques. Personne ne sait en effet avec certitude d'où leur vient leur couleur rouge, bien que la plupart des théories s'accordent sur le fait que ces tempêtes sont plus profondes que les blanches et élèvent leurs nuages à de plus hautes altitudes. Les Taches Rouges de Jupiter - La Baby Tache Rouge: apparue dans l'atmosphère début 2008, cet ouragan est bien plus petit que les 2 autres Taches Rouges. Cette tache rouge se situe à l'ouest de la Grande Tache Rouge, dans la même bande de latitude. Avant de devenir rouge, cet ovale était blanc. Son évolution est donc similaire à celle de Tache Rouge Junior. - La Tache Rouge Junior: grande d'environ 70 % de la taille de la Terre, la Tache Rouge Junior est une des structures les plus visibles à la surface de Jupiter. Moins bien connue que la célèbre Grande Tache Rouge, il s'agit d'un anticyclone: une zone de haute pression à l'intérieur de laquelle les nuages tournent dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Aperçue pour la première fois en 2000 par le télescope spatial Hubble, la Tache Rouge Junior s'est formée après la fusion de trois petites tempêtes. Elle n'est pas devenue rouge tout de suite. L'ovale né de cette fusion présentait d'abord une couleur blanche avant de virer progressivement au marron puis au rouge identique à celui de la Grande Tache Rouge. - La Grande Tache Rouge: c'est un gigantesque ouragan qui perdure depuis de 200 à 350 ans. Il s'agit également d'un anticyclone. Les vents qui l'animent ont été mesurés à 483 km/h. Ses dimensions sont également incroyables ; elle mesure près de 24 000 km de long pour 11 000 km de large. Elle pourrait contenir deux fois la Terre ! La couleur rouge est probablement due à la présence de phosphore ou encore de molécules organiques comme des nitrates. Notez que le diamètre de Jupiter est d'approximativement de 145 000 km et peut contenir 11 Terres (12 756 km environ) ! Changement climatique L'apparition aussi soudaine de ces taches accrédite l'hypothèse selon laquelle Jupiter est également confrontée à une modification de son climat. Mais, à la différence de ce qui se passe sur Terre, l'homme n'est pas en cause ! Cette modification climatique se traduit également par un réchauffement de la planète près de l'équateur et un refroidissement au niveau du pôle Sud. (STS-125, octobre 2008) montre l'évolution du phénomène dans une séquence d'images sans précédent. Cela devrait permettre aux astronomes de mieux comprendre comment l' que la Grande Tache. | |
| Source: Hubble News release & flashespace.com Illustration: NASA, ESA, A. Simon-Miller (Goddard Space Flight Center), N. Chanover (New Mexico State University), and G. Orton (Jet Propulsion Laboratory) |
Les autorités assurent qu'il n'y a aucun risque mais deux associations écologistes se déclarent méfiantes et demandent plus d'informations.
Le rejet accidentel dans deux rivières d'effluents uranifères radioactifs de 30 m3 s'est produit vers 06h30 lors du nettoyage d'une cuve de rétention de l'usine Socatri, filiale d'Areva, située sur le site nucléaire du Tricastin. Les causes de l'accident sont inconnues mais l'ASN évoque la probabilité de "défaillances techniques".
"Ces effluents, qui contenaient 12 grammes d'uranium par litre, se sont écoulés pour partie jusqu'aux rivières La Gaffière et L'Auzon", ont précisé les préfectures dans un communiqué commun.
Une partie de la solution s'est déversée sur le sol à l'intérieur de l'établissement, et une autre partie dans les deux cours d'eau via le réseau des eaux fluviales, a précisé à Reuters Evangelia Petit, responsable du service de presse de l'ASN.
"Il n'y a absolument pas de risques pour la santé publique", a assuré sur France 3 Marc Champion, délégué régional de l'ASN, qui a affirmé que le niveau d'exposition avait été "très faible".
Par "mesure de précaution", la consommation d'eau potable issue de captage privé a été interdite sur les communes de Bollène, Lapalud et Lamotte-du-Rhône.
"SORTIR DU NUCLÉAIRE" CONTESTE LE DIAGNOSTIC DES AUTORITÉS
La préfecture a également interdit la pêche et la consommation de poissons sur plusieurs cours d'eau du Vaucluse, ainsi que la baignade et les activités nautiques.
Dans un communiqué, la société Socatri précise qu'une "décontamination des sols et des canalisations a été engagée".
"Les résultats des analyses des prélèvements d'eau obtenus ont montré que l'impact sur l'environnement et notamment au niveau du cours d'eau La Gaffière qui traverse le site était limité et décroissant", précise le communiqué.
Le Réseau "Sortir du nucléaire" conteste ces déclarations rassurantes, soulignant que le rejet de 30m3 de solution uranifère avec une concentration de 12 grammes par litre équivaut à une fuite de "360 kilogrammes d'uranium" dans l'environnement.
"Il est (...) impossible qu'un tel rejet, contenant de l'uranium, n'ait pas de conséquences importantes sur l'environnement et certainement sur la santé des riverains", dit dans un communiqué le mouvement.
L'association Criirad, qui prône une information "indépendante sur la radioactivité", estime que la présentation du rejet d'uranium en quantité - 12 grammes - est trompeuse, car selon ses calculs la fuite conduit "à un rejet dans l'environnement plus de 100 fois supérieur à la limite annuelle" fixée pour la société.
La Criirad a donc demandé la "communication immédiate du résultat des analyses détaillées".
Jean-François Rosnoblet avec Gwénaëlle Barzic à Paris, édité par Thierry Lévêque
Source.Les données envoyées par les premières sondes à atteindre les vastes confins du système -la région dite de l'héliogaine où le vent solaire ralentit soudainement-, présentent une image qui n'est pas celle d'un simple cercle, comme les astronomes l'ont longtemps pensé.
Les chercheurs de la NASA ont été surpris par la découverte, qui selon eux va changer leurs modèles sur l'aspect du système solaire.
En 1977, l'agence spatiale américaine avait lancé les deux sondes pour des missions au long cours devant les conduire au-delà du système solaire. Voyager 1 avait pris la direction du Nord tandis que Voyager 2 mettait le cap au Sud.
Les astronomes de la NASA ont été étonnés de découvrir que lorsque les deux engins ont atteint l'héliogaine, ils se trouvaient à des distances différentes du soleil. Voyager 2 a atteint la lisière Sud du système solaire alors qu'il était éloigné de 12,5 milliards de kilomètres du Soleil, soit 1,6 milliard de kilomètres de moins que son homologue Voyager 1, au Nord.
"On pensait que tout était symétrique et simple", souligne Leonard Burlaga, astrophysicien au Centre Goddard du vol spatial, sous la tutelle de l'agence spatiale américaine. En fait, "c'est comme si une main poussait" sur un bord du système solaire.
Cette poussée provient du champ magnétique qui se trouve entre les systèmes d'étoiles de la Voie lactée. Et qui frappe le système solaire à un angle différent au sud et au nord, probablement à cause de turbulences interstellaires liées à des explosions d'étoiles, souligne Ed Stone, un scientifique du programme Voyager.
Les deux sondes mettront encore plusieurs années avant de sortir complètement du système solaire et de poursuivre leur lointain voyage sans retour, précise M. Stone, ancien directeur du Laboratoire de propulsion par réaction de la NASA.
Ces découvertes, présentées au cours d'une conférence en France, suggèrent que les exoplanètes ayant des caractéristiques voisines de celles de la Terre sont peut-être en réalité courantes dans l'univers.
"Est-ce que chaque étoile compte des planètes et, si oui, combien?", s'est interrogé le Suisse Michel Mayor, qui fut l'un des découvreurs des premières exoplanètes en 1995. "Peut-être ignorons-nous encore la réponse mais nous progressons énormément dans cette direction", a ajouté Mayor, de l'Observatoire de Genève.
Le trio de planètes découvertes tourne autour d'une étoile légèrement moins massive que notre Soleil, à seulement 42 années-lumière de nous, dans les constellations Doradus et Pictor.
Elles sont plus grosses que la Terre : l'une a 4,2 fois sa masse, une autre 6,7 fois et la troisième 9,4 fois.
Elles tournent en orbite autour de leur étoile à des vitesses extrêmement grandes : l'une accomplit une révolution en quatre jours seulement, contre 365 jours pour la Terre ; une autre prend dix jours et la plus lente met 20 jours.
Mayor et ses collègues ont eu recours au télescope HARPS (High Accuracy Radial Velocity Planet Searcher), de La Silla, dans les montagnes du nord du Chili, pour effectuer ces découvertes.
A ce jour, depuis 1995, plus de 270 exoplanètes ont été découvertes. La plupart sont des géantes qui rappellent nos Jupiter et Saturne. Les planètes de plus petit diamètre, proches de celui de la Terre, sont sensiblement plus difficiles à détecter, en l'état actuel des techniques d'astronomie.
L'équipe de scientifiques a également annoncé avoir localisé une autre exoplanète ayant 7,5 fois la masse de la Terre, en orbite autour de l'étoile HD 181433. Cette étoile-là a aussi une planète géante, qui accomplit sa révolution en trois années terrestres.
Un autre système solaire découvert compte une planète de 22 fois la masse terrestre, qui effectue sa révolution en quatre jours, et une planète de type Saturne, dont la révolution dure elle aussi trois ans.
Selon Mayor, il est clair que ces planètes ne sont que la pointe émergée de l'iceberg. L'analyse de toutes les étoiles passées en revue à ce jour avec le télescope HARPS, dit-il, montre qu'un tiers des étoiles comparables au Soleil sont environnées soit de planètes dites "super-Terres" soit de planètes de type Neptune, dont la révolution excède les 50 jours.