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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 10:49
La Voie Lactée, la galaxie de la Terre, tourne sur elle-même plus rapidement qu'on ne le pensait, ce qui accroît sa masse de 50% et augmente la probabilité d'une collision intergalactique, selon une recherche présentée lundi.

Une équipe internationale d'astronomes effectuant des mesures de haute précision, a pu déterminer que la Voie Lactée avait une vitesse de rotation de 161.000 km/h plus grande que ce qui était estimé jusqu'alors.

Cette vélocité accrue fait que notre galaxie est 50% plus massive, précise dans un communiqué Mark Reid, un astrophysicien au centre d'astrophysique du Harvard-Smithsonian, un des auteurs de cette communication présentée à la conférence de l'American Astronomical Society réunie cette semaine à Long Beach en Californie (ouest).

Cette plus grande masse place la Voie Lactée sur un pied d'égalité avec la galaxie voisine d'Andromède, ajoute-t-il.

"Nous ne verrons plus jamais la Voie Lactée comme la petite soeur d'Andromède dans notre groupe de galaxies avoisinantes", relève Mark Reid.

Cette plus grande masse signifie que la Voie Lactée à une force gravitationnelle plus importante, ce qui accroît la probabilité de collisions avec Andromède ou avec d'autres galaxies plus petites se trouvant à proximité, explique Mark Reid.

Notre système solaire se situe à environ 28.000 années-lumière du centre de la Voie Lactée. Une année-lumière est équivalente à 9.460 milliards de km, soit la distance parcourue en un an dans le vide par la lumière.

A cette distance, les nouvelles observations et mesures indiquent une vitesse de rotation de 965.600 km/h contre une évaluation précédente de 804.672 km/h, précisent les astronomes.

Les mesures ont été effectuées à l'aide d'un système "VLBA" formé de dix radiotélescopes éparpillés de Hawaii à la Nouvelle-Angleterre (nord-est) ainsi que dans les Caraïbes.

"Les nouvelles observations faites à l'aide du VLBA (Very Long Baseline Array) produisent des mesures directes des distances et des mouvements de la Voie Lactée plus précis", relève Karl Menten du Max Planck Institute en Allemagne et un des membres de l'équipe de recherche.

"Ces mesures s'appuient sur la méthode traditionnelle dite de triangulation et ne dépend d'aucune hypothèse basée sur d'autres facteurs indirects comme la luminosité comme c'était le cas pour les recherches précédentes", ajoute-t-il.

Ces astronomes ont dit que leurs mesures directes des distances différaient parfois du simple au double par rapport aux calculs indirect précédents.

Les régions de la galaxie où se forment des étoiles "définissent les bras de sa spirale", indique Mark Reid.

La mesure des distances de ces régions galactiques fournit une unité de référence pour cartographier la structure en forme de spirale de la Voie Lactée, poursuit-il.

Selon Karl Menten, "ces mesures directes révisent notre compréhension de la structure et des mouvements de notre galaxie".

"Puisque nous sommes à l'intérieur de la Voie Lactée, il nous est difficile de déterminer sa structure alors qu'avec les autres galaxies il suffit de les observer", relève Karl Menten.

Pour la Voie Lactée, "nous devons déduire sa structure en la mesurant et la cartographiant", ajoute-t-il.

Ces nouvelles mesures ont produit d'autres surprises, relève Mark Reid. "La spirale de la Voie Lactée compte probablement quatre et non deux bras de gaz et de poussière, des pépinières où se forment des étoiles".


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31 décembre 2008 3 31 /12 /décembre /2008 20:28
Je vais finir cette année par un petit clin d'oeil.

J'ai déjà signalé un objet mystérieux sur une image sat du Soleil. Il semble qu'en ce moment, ce genre de phénomène devienne fréquent.

Voici un objet mystérieux enregsitré il y a quelques jours...



Puis, hier, ce sont deux objets mystérieux qui traversent l'image à des moments différents...



C'est peut-être tout à fait naturel, mais je n'ai pas connaissance d'objets dans le vide sidéral qui laissent ainsi une trace de leur passage, une "queue". Et si c'étaient des comètes, la queue serait à l'exact opposée du Soleil.

Cela reste donc mystérieux pour moi. Si vous avez une idée...

Je ne résiste pas à la tentation de vous remettre un article édité en juillet dernier, qui peut faire poser des questions fondamentales:


Si vous allez sur cette page officielle de la NASA sur l'astéroïde Eros, et que vous regardez la huitième photo, vous allez trouver cela...



Vous remarquerez, en haut, à droite, un étrange objet rectangulaire. Il fait environ 45 mètres de long selon la NASA qui y voit seulement un bloc... C'est aussi très haut, car en agrandissant l'image, on voit très bien l'ombre portée sur la droite...


Encore plus ahurissant est que cette même forme se retrouve sur la Lune... A l'origine, c'est une photo d'Appolo 8 publiée par Paris Match de décembre 1968.

Les agrandissements sont éloquents:


Même structure rectangulaire, même "bras" qui part sur un côté.

Cela ouvre deux perspectives. Où bien nous ne sommes pas seuls et nos voisins sont très proches ou bien nous sommes allés beaucoup plus loin qu'on nous le dit...

Merci au merveilleux site Artivision qui nous rappelle que nous sommes dans un Monde bien mystérieux.


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28 décembre 2008 7 28 /12 /décembre /2008 17:09
Les personnes pressées de tourner la page 2008 devront patienter un tout petit peu pour embrasser la nouvelle année, les gardiens du temps universel ayant décidé de rajouter une seconde à l'année finissante pour s'adapter au ralentissement de la rotation de la Terre.


Les horloges atomiques mondiales, précises au milliardième de seconde, compteront une seconde de plus lorsque viendra l'heure de 23 heure 59 minutes et 59 secondes en temps universel UTC (Coordinated Universal Time).

La pratique d'ajouter, ou de retirer, des secondes remonte au 30 juin 1972 et l'ajout d'une seconde lors du passage à 2009 sera la 24e, une manière de pallier le ralentissement irrégulier de la planète attribué, entre autres facteurs, aux marées. La dernière mise à jour date du 31 décembre 2005.

La décision de mise à l'heure des pendules relève de la responsabilité des services de l'International Earth Rotation and Reference Systems Service, sur la base de son observation de la rotation de la Terre, et vise à s'assurer qu'une révolution terrestre ne dépasse pas les 90 dixièmes de seconde de décalage avec les horloges atomiques.

Ainsi le temps UTC, anciennement appelé GMT (Greenwich Mean Time), peut-il rester en synchronisation avec la position du soleil vu depuis la Terre.

Des mécanismes tels que le protocole des horloges du réseau internet (Network Time Protocol) et le système de géolocalisation GPS (Global Positioning System) dépendent de cette précision horlogère.

Parmi les raisons qui font que la rotation de Terre sur son axe ralentit sont cités les marées, la neige et le manque de neige au niveau de la calotte glaciaire, les vents solaires, la poussière cosmique et les orages magnétiques, selon le National Institute of Standards and Technology, l'un des gardiens du temps, qui dépend du Département du commerce américain.

Depuis 1970, un accord international établit deux échelles de temps, l'une basée sur la rotation de la Terre et l'autre sur les horloges atomiques, deux systèmes qui nécessitent parfois d'être remis à l'heure.


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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 15:41
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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 07:59
De nouvelles preuves de l'existence de rochers avec des carbonates à la surface de Mars suggèrent qu'au moins une partie des eaux anciennes sur la planète n'étaient pas aussi acides que ce que l'on pensait.


En utilisant un spectromètre embarqué à bord de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter, Bethany Ehlmann et ses collègues ont réussi à détecter des traces de carbonates dans une région vallonnée appelée Nili Fossae. Ces minéraux sont probablement présents dans des roches volcaniques qui ont été lessivées par des eaux au pH relativement neutre. Bien que Mars possédait les ingrédients de base pour former des carbonates, de l'eau, du basalte et une atmosphère riche en dioxyde de carbone, les scientifiques n'avaient pu trouver jusqu'à présent de grandes surfaces de carbonates. L'une des principales explications données à cela était que des eaux acides dissolvaient les carbonates ou les empêchaient de se former. On a en particulier proposé qu'un tel lessivage acide était courant lors de l'Hespérien, une période intermédiaire sur Mars.


Les carbonates découverts, manifestes sur des aires restreintes de moins de 10 kilomètres carrés, s'accompagnent de minéraux argileux, ce qui suggère aussi que les eaux de ces endroits étaient neutres ou même alcalines lors de leur formation. Les auteurs estiment que Mars a dû abriter divers milieux humides dont l'acidité des eaux pouvaient largement varier et concluent qu'«une telle diversité va bien avec la perspective d'environnements habitables par le passé sur Mars».


Référence : « Orbital Identification of Carbonate-Bearing Rocks on Mars » par E.L. Ehlmann, J.F. Mustard, L.H. Roach de l'Université Brown à Providence, RI ; S.L. Murchie de l'Université Johns Hopkins/Applied Physics Laboratory à Laurel, MD ; F. Poulet de l'Université Paris-Sud 11 à Orsay, France ; J.L. Bishop, A.J. Brown du Search for Extraterrestrial Intelligence Institute à Mountain View, CA ; J.L. Bishop, A.J. Brown, D.J. Des Marais, T.L. Roush du NASA Ames Research Center à Mountain View, CA ; W.M. Calvin de l'Université du Nevada à Reno, NV ; R.N. Clark, G.A. Swayze du U.S. Geological Survey à Denver, CO ; R.E. Milliken du California Institute of Technology, Jet Propulsion Laboratory à Pasadena, CA ; J.R. Wray de l'Université Cornell à Ithaca, NY.


http://www.nasa.gov/mission_pages/MRO/news/mro-20081218.html


http://www.sciencemag.org/cgi/content/abstract/322/5909/1828


Source : EurekAlert/American Association for the Advancement of Science http://www.eurekalert.org/pub_releases_ml/2008-12/aaft-q_1121508.php


Gilbert Javaux - PGJ-Astronomie

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 12:01


Le télescope spatial Hubble a détecté du dioxyde de carbone dans l'atmosphère d'une planète extrasolaire, un des signes soutenant l'hypothèse qu'une forme de vie peut exister hors de la Terre.

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 12:02

Suite à une demande, c'est Jupiter et Vénus qui sont visibles, au sud et au crépuscule...

Vénus est la plus brillante. En ce moment, elles sont magnifiques...

Merci à tous ceux qui ont répondu à ma question du 30 novembre.
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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 09:42

C'est 4,1, en moyenne, de tâches solaires observées durant le mois de novembre.

Ca reste très faible. Nous devrions continuer à voir les conséquences sur Terre, avec un refroidissement global des températures, et ce malgré le rejet d'encore plus de CO2 dans l'atmosphère. J'aurais l'occasion d'y revenir...
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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 21:21

 

 

 

Nos amis astronomes pourraient-ils nous dirent qu'elles sont ces deux planètes, direction sud, vers 18h00...

 

Merci.

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 15:57

C'était le 20 novembre.

 

Impressionnant.

 

 

 

 

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