/fdata%2F1287984%2F%2Favatar-user-297045-tmpphpNZPvjo.jpeg){kind=avatar}
19 novembre 2009
4
19
/11
/novembre
/2009
17:55
C'est la reprise qu'ils disaient, hier.
C'est la reprise, j'ai entendu, ce matin...
N'empêche que la bourse stagne depuis trois semaines, comme un homme chancelant au bord du précipice. Encore des licenciements annoncés aujourd'hui et je sais, de source sûre, que les salaires de base ont baissés de 50%, aux U.S.A. (J'ai failli oublier un "s" à baissés, ce qui n'aurait pas été véritablement une faute).
Il faut dire que rien n'a vraiment changé dans la finance et l'argent public, injecté à coups de centaines de milliards, doit avoir été joué au Las Végas club de Wall Street, de la City ou autre...Et ils doivent désormais être des bulles, car les financiers sont de vrais bulleurs.
Des bleues, des roses, des vertes, ce sont des vendeurs de vent et c'est pour cela qu'ils s'en mettent plein les poches et qu'ils ne manquent pas d'air.
Malgré les promesses de Sarko 1er, un dealer restera toujours un dealer et un financier une grosse tâche couleur sang dans ce monde. Il ne faut pas rêver.
Ils ont vendu leur mère, leurs frères et leurs soeurs et vendent leurs fils et leurs fils. Ces gens là n'ont pas que vendu la Lune, ils ont vendu son atmosphère, avec, et aussi ses océans, en toute tranquillité.
Ils sont très forts, très heureux d'être à l'origine des crises alimentaires, des millions de gamins morts de faim cette année, par un simple clic sur un ordinateur.
Bref, quand tout ce petit monde va s'écrouler et qu'un paquet de bâtards dans ce style va se jeter par les fenêtres, je ne verserais aucune larme, je n'aurais aucun sentiment, aucune réaction, aucune joie.
Je penserais à tous ces enfants n'ayant jamais eu le temps de vivre, de grandir, de devenir autre chose qu'une de ces petites merdes de spéculateurs sans âme.
Et je tournerais le dos à ce petit monde cupide, sans même me retourner.
C'est la reprise, j'ai entendu, ce matin...
N'empêche que la bourse stagne depuis trois semaines, comme un homme chancelant au bord du précipice. Encore des licenciements annoncés aujourd'hui et je sais, de source sûre, que les salaires de base ont baissés de 50%, aux U.S.A. (J'ai failli oublier un "s" à baissés, ce qui n'aurait pas été véritablement une faute).
Il faut dire que rien n'a vraiment changé dans la finance et l'argent public, injecté à coups de centaines de milliards, doit avoir été joué au Las Végas club de Wall Street, de la City ou autre...Et ils doivent désormais être des bulles, car les financiers sont de vrais bulleurs.
Des bleues, des roses, des vertes, ce sont des vendeurs de vent et c'est pour cela qu'ils s'en mettent plein les poches et qu'ils ne manquent pas d'air.
Malgré les promesses de Sarko 1er, un dealer restera toujours un dealer et un financier une grosse tâche couleur sang dans ce monde. Il ne faut pas rêver.
Ils ont vendu leur mère, leurs frères et leurs soeurs et vendent leurs fils et leurs fils. Ces gens là n'ont pas que vendu la Lune, ils ont vendu son atmosphère, avec, et aussi ses océans, en toute tranquillité.
Ils sont très forts, très heureux d'être à l'origine des crises alimentaires, des millions de gamins morts de faim cette année, par un simple clic sur un ordinateur.
Bref, quand tout ce petit monde va s'écrouler et qu'un paquet de bâtards dans ce style va se jeter par les fenêtres, je ne verserais aucune larme, je n'aurais aucun sentiment, aucune réaction, aucune joie.
Je penserais à tous ces enfants n'ayant jamais eu le temps de vivre, de grandir, de devenir autre chose qu'une de ces petites merdes de spéculateurs sans âme.
Et je tournerais le dos à ce petit monde cupide, sans même me retourner.
Partager cet article
