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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 20:06

276801.jpg

J'ai grandi dans un monde où l'on m'a dit comment penser.

 

Faut être libéral, cool, avenant, ouvert, compréhensif, malléable, corvéable, reconnaissant, démocrate, honnête, mais pas trop; voire pas du tout, individualiste, corruptible, enculable, diplomate, joueur, versatile.

 

Il ne faut pas être raciste, homophobe, misogyne, honnête, sincère et franc. Il ne faut pas être anarchiste, apolitique, révisionniste, conspirationniste.

 

Faut être beau-beau sous tous rapports. Lisse, polis et fier d'être policé.

 

Faut se faire prendre le cul quotidiennement par la Finance et être heureux, béat.

 

Regardez, il y a une Crise... Oui, une Criiiiiiiiiiiise.

 

Bon, à la base, elle est purement spéculative, financière, montée de toutes pièces ( subprimes répandues dans le monde entier ). Les politiques, ces mercenaires, pour ne pas dire putes du système financier, renflouent les banques, en aggravant la dette. Hooooooo, une crise de la dette survient...

 

Merde, ils n'y avaient pas pensé...

 

Ils nous prennent vraiment pour des cons et ça marche.

 

Plus c'est gros et plus ça passe disait Goebbels... Bin, franchement, la montée du nazisme, à côté de ce qu'il se passe actuellement, c'est du Disney...

 

La Shoah apparaîtra comme un passe temps de joyeux lurons à côté de ce qu'il se prépare. Je vous invite à connaître le Guidelstone...

 

Bref, nous sommes une sacrée bande de trous du cul, incapables de relaver la tête, incapables de se lever devant la pire des dictatures qui pointe son nez ouvertement.

 

Une bande de tafioles...

 

Et que les homos ne me fassent pas chier. C'est une expression largement usitée par chez nous.

 

Continuez à vous faire prendre le cul et ne faites pas chier.

 

Nous en sommes tous là.

 

 

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commentaires

D
<br /> oui ,etre un homme du 21 eme siecle lobotomisé<br />
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F
<br /> <br /> Il semblerait que ce soit la norme mais qu'il n'y ai plpus beaucoup de gens normaux...<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> Ô combien je suis d'accord avec tes écrits, Damien, je ne suis pourtant qu'un vieux pédé de 45 ans mais j'exècre le politiquement correct dont j'ai l'impression d'avoir été gavé toute ma vie par<br /> tous les trous.<br /> <br /> <br /> Qu'on nomme les choses comme elles sont et enfin le troupeau de moutons que sont nos concitoyens auront peut-être un début de chance de comprendre qu'on les mène par le bout du nez.<br />
Répondre
F
<br /> <br /> Tes mots sincères sont autant de grâces face à la vie, mon ami. Je te souhaite tout le bon possible.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et plein d'Amour.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je t'en envoie, d'ailleurs. Plein!... <br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> Oup... j'avais loupé le coup de gueule ! Ca c'est fait, comme on dit ! Je suis d'accord... bisous <br />
Répondre
F
<br /> <br /> Bisous.<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> Salut, nous sommes tous des ânes...<br /> <br /> <br /> La crise des ânes<br /> <br /> <br /> Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village.<br /> <br /> <br /> <br /> Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l'entendre quil achèterait cash 100 euros l'unité tous les ânes quon lui proposerait. Les paysans le trouvaient un peu étrange mais son prix était très<br /> intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 par tête, et là encore une grande partie des<br /> habitants lui vendirent leurs bêtes. Les jours suivants, il offrit 300 et ceux qui ne l'avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants. Constatant quil nen restait plus un seul, il<br /> fit savoir quil reviendrait les acheter 500 dans huit jours et il quitta le village.<br />  <br /> Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu'il venait d'acheter et l'envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 l'unité. Face à la possibilité de faire un bénéfice<br /> de 100 dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois le prix qu'ils l'avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent.<br />  <br /> Comme il fallait sy attendre, les deux hommes d'affaire s'en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur,<br /> endettés jusquau cou, ruinés.<br />  <br /> Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l'âne s'effondra. Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le<br /> banquier. Celui-ci pourtant s'en alla pleurer auprès du maire en expliquant que sil ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger le remboursement immédiat de tous<br /> les prêts accordés à la commune.<br />  <br /> Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l'argent aux habitants du village pour qu'ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en<br /> passant. Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du<br /> surendettement.<br /> Voyant sa note en passe d'être dégradée et pris à la gorge par les taux dintérêts, la commune demanda l'aide des communes voisines, mais ces dernières lui répondirent quelles ne pouvaient en<br /> aucun cas l'aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.<br />  <br /> Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses : moins d'argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale...<br /> On repoussa l'âge de départ à la retraite, on supprima des postes d'employés communaux, on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts. C'était, disait-on, inévitable mais on<br /> promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.<br />  <br /> Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front. On les<br /> appelle les frères Marchés.<br />  <br /> Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.<br />  <br /> Cette histoire n'est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois. Et vous, qu'auriez-vous fait à leur place ? Que ferez-vous ?<br /> <br /> <br /> http://blogs.mediapart.fr/edition/comment-faire-societe/article/300811/la-crise-des-anes?onglet=commentaires<br />
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F
<br /> <br /> Excellent... C'est tout à fait cela.<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Et aussi les étranges messages gravés sur les chapiteaux et piliers de la cathédrale de New York construite à la fin du<br /> XIXéme siècle et achevée au XXéme.<br /> <br /> <br />    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/04/24/20967652.html   <br />
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F
<br /> <br /> Très interessant. Je ne connaissais pas. Merci jacou.<br /> <br /> <br /> <br />