11 septembre 2009
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19:25
On pourrait se poser encore une question sur la deuxième guerre mondiale, une question rarement posée. Pourquoi l'arme chimique a-t-elle été utilisée dans les camps de concentration, sur des civils sans défense, et en aucun cas connu sur des combattants, sur les champs de bataille?
L'industrie chimique, fille prodigue de l'industrie pétrolière et matrone de l'industrie pharmaceutique a pris un tel essor, depuis cette guerre, que l'on est en droit de se poser bien d'autres questions.
Elle se retrouve absolument partout, dans tous nos faits et gestes. Alimentation, jardins, produits d'intérieur et d'entretien, cosmétiques, et même dans les trainées qui parsèment notre ciel, diront certains.
Aussi, il ne faut pas s'étonner de l'augmentation du nombre de cancers depuis 1950, de l'ordre de 300%. Le tabac et l'alcool ont été de bons boucs émissaires, mais ne suffisent plus à camoufler l'évidence.
Nous sommes face à une industrie de mort, une industrie suicidaire pour l'humanité. Car les promesses d'un monde meilleur, sans faim, sans misère n'ont jamais été tenues. Aujourd'hui, la phase terminale du programme est engagée.
Si j'ai insisté sur le sujet, ce n'est pas pour rien. L'Elite politique, à la botte des multinationales, veut une réduction drastique de la population. Jusqu'à aujourd'hui, la politique de la propagation pathologique était une affaire économique, très rentable, mais elle est devenue insuffisante pour les plans du Nouvel Ordre Mondial.
Nous le voyons très bien par les lois promulguées ici, en France, mais je pense partout ailleurs aussi. Plus ce système engendre de pauvreté, et plus il devient illégal d'être pauvre. Les lois fiscales, à la base, sont pour soutirer le plus d'argent possible aux plus basses classes. Ce sont elles les plus imposées par la TVA, qui va tout de même jusqu'à 20,6%. Nous pourrions parler des difficultés à garder un véhicule, des taxes honteuses sur le carburant, les cigarettes et l'alcool (excusées par les raisons citées au dessus). Ils vont enfoncer le clou avec la taxe carbone, la cerise sur le gâteau, qui sera acceptée par les même principes de mensonges et de dissimulations.
Depuis la crise économique des Sub-primes, engendrée par des taux exceptionnellement bas ayant permis d'endetter les plus basses couches sociales (puis ces mêmes taux relevés pour provoquer la crise), nous assistons à un véritable hold-up de l'argent public. Ce vol manifeste n'est pas nouveau, les dettes nationales, engendrées par un système de gestion étatique débile car ne pouvant entraîner que la dette (dont Mr Sarkosy s'est fait le champion en tant que ministre de l'économie et président de la République). Mais, aujourd'hui, l'argent des futures générations a été spolié par les banques (multinationales par excellence), puis par les industries chimiques, pour ne pas dire pharmaceutiques. Le trou de la Sécu n'est pas dû à de trop fortes dépenses pour les malades, c'est certain, mais par une dilapidation de l'argent public pour les industries privées. Cela rentre dans le plan.
Tout cela nous donne un cocktail explosif. Ils n'en veulent plus seulement à notre argent, ce système basé sur la consommation, face à la rareté annoncée des matières premières ne pouvant perdurer, va devoir subir un régime drastique.
Ce système ne va pas se réformer, ne va pas faire amende honorable, non. Ce système va s'enfoncer dans sa logique de mort, sa logique de profit à tout prix, même celui du suicide collectif. Ce système, malade et très contagieux, au lieu d'imaginer une guérison par d'autres moyens, plus subtils, va pratiquer la chimio à doses inconsidérées et par là même provoquer un génocide dont on ne peut même pas imaginer l'ampleur.
Les rumeurs (et discutions officielles) vont de 30 à 90% de réduction de la population.
Comment concevoir une telle idée, un tel programme? Comment peut-on souscrire à une telle ignominie?
C'est une autre question, qui me dépasse totalement. Une telle société, qui pense aller mieux en se tuant elle même, ne peut s'honorer du titre d'humanité. C'est une meute, et une mauvaise meute. Une qui ne pourra survivre.
Alors, en effet, même s'il on ne sait pas encore exactement comment, on doit s'attendre au pire. Et cela dépassera notre imagination la plus "fertile".
L'industrie chimique, fille prodigue de l'industrie pétrolière et matrone de l'industrie pharmaceutique a pris un tel essor, depuis cette guerre, que l'on est en droit de se poser bien d'autres questions.
Elle se retrouve absolument partout, dans tous nos faits et gestes. Alimentation, jardins, produits d'intérieur et d'entretien, cosmétiques, et même dans les trainées qui parsèment notre ciel, diront certains.

Nous sommes face à une industrie de mort, une industrie suicidaire pour l'humanité. Car les promesses d'un monde meilleur, sans faim, sans misère n'ont jamais été tenues. Aujourd'hui, la phase terminale du programme est engagée.
Si j'ai insisté sur le sujet, ce n'est pas pour rien. L'Elite politique, à la botte des multinationales, veut une réduction drastique de la population. Jusqu'à aujourd'hui, la politique de la propagation pathologique était une affaire économique, très rentable, mais elle est devenue insuffisante pour les plans du Nouvel Ordre Mondial.
Nous le voyons très bien par les lois promulguées ici, en France, mais je pense partout ailleurs aussi. Plus ce système engendre de pauvreté, et plus il devient illégal d'être pauvre. Les lois fiscales, à la base, sont pour soutirer le plus d'argent possible aux plus basses classes. Ce sont elles les plus imposées par la TVA, qui va tout de même jusqu'à 20,6%. Nous pourrions parler des difficultés à garder un véhicule, des taxes honteuses sur le carburant, les cigarettes et l'alcool (excusées par les raisons citées au dessus). Ils vont enfoncer le clou avec la taxe carbone, la cerise sur le gâteau, qui sera acceptée par les même principes de mensonges et de dissimulations.
Depuis la crise économique des Sub-primes, engendrée par des taux exceptionnellement bas ayant permis d'endetter les plus basses couches sociales (puis ces mêmes taux relevés pour provoquer la crise), nous assistons à un véritable hold-up de l'argent public. Ce vol manifeste n'est pas nouveau, les dettes nationales, engendrées par un système de gestion étatique débile car ne pouvant entraîner que la dette (dont Mr Sarkosy s'est fait le champion en tant que ministre de l'économie et président de la République). Mais, aujourd'hui, l'argent des futures générations a été spolié par les banques (multinationales par excellence), puis par les industries chimiques, pour ne pas dire pharmaceutiques. Le trou de la Sécu n'est pas dû à de trop fortes dépenses pour les malades, c'est certain, mais par une dilapidation de l'argent public pour les industries privées. Cela rentre dans le plan.
Tout cela nous donne un cocktail explosif. Ils n'en veulent plus seulement à notre argent, ce système basé sur la consommation, face à la rareté annoncée des matières premières ne pouvant perdurer, va devoir subir un régime drastique.
Ce système ne va pas se réformer, ne va pas faire amende honorable, non. Ce système va s'enfoncer dans sa logique de mort, sa logique de profit à tout prix, même celui du suicide collectif. Ce système, malade et très contagieux, au lieu d'imaginer une guérison par d'autres moyens, plus subtils, va pratiquer la chimio à doses inconsidérées et par là même provoquer un génocide dont on ne peut même pas imaginer l'ampleur.
Les rumeurs (et discutions officielles) vont de 30 à 90% de réduction de la population.
Comment concevoir une telle idée, un tel programme? Comment peut-on souscrire à une telle ignominie?
C'est une autre question, qui me dépasse totalement. Une telle société, qui pense aller mieux en se tuant elle même, ne peut s'honorer du titre d'humanité. C'est une meute, et une mauvaise meute. Une qui ne pourra survivre.
Alors, en effet, même s'il on ne sait pas encore exactement comment, on doit s'attendre au pire. Et cela dépassera notre imagination la plus "fertile".