La périodicité de 60 ans est retrouvée dans le système solaire.
Nicola Scafetta (ci-contre, son site WEB) est un chercheur statisticien des systèmes complexes au département de Physique de l'Université Duke (Caroline du Nord, USA). Scafetta a publié un grand nombre d'articles dont plusieurs, relatifs au climat, en collaboration avec Bruce J. West, professeur associé à Duke, spécialiste de modélisation mathématique appartenant au corps de la recherche militaire aux Etats Unis. Scafetta et West sont tous deux des "solaristes" comme beaucoup d'autres qui n'ont toujours pas droit à la parole dans les rapports du GIEC. Ils estimaient dans leurs derniers articles que la contribution du soleil au réchauffement climatique pouvait aller jusqu'à 69%.. et donc qu'il ne restait pas grand choses pour le CO2.. (ce qui est actuellement très mal vu).
Nicola Scafetta a présenté les premiers résultats de ce qui est résumé ci-dessous, lors de la dernière Réunion de l'AGU ( Association des Géologues Américains) qui s'est tenue en automne 2008. La présentation complète a été donnée devant l'Environmental Protection Agency américaine le 26 février 2009 (en relation avec la récente prise de la position de l'EPA sur le CO2 comme polluant). Vous trouverez ici l'enregistrement vidéo de cette présentation dans laquelle Scafetta évoque aussi, avec force détails, les graves défauts des détecteurs ACRIM (utilisées à tort par Lockwood et Fröhlich qui affirmaient que les lien soleil/température était brisé depuis 1980, voir ici) au lieu des données fiables dites PMOD qui, elles, rétablissent le lien soleil/température jusqu'à nos jours.
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