7 mars 2009
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20:21
Je vous ai déjà fait la diatribe sur le con que je suis. Certains ont dû jubiler, d'autres s'offusquer et un petit nombre comprendre ce que je voulais dire. Il est mal vu de se dire con, ça "dévalorise" le "moi", cela va à l'encontre de tout ce que l'on nous a appris.
Mais il est grand temps d'aller à l'encontre de ce que l'on nous a appris.
Alors, je vais prendre le sujet par un autre angle. Je manque singulièrement d'intelligence.
Par exemple, quelqu'un me demande de faire un travail, à un taux horaire fixe. L'intelligence, dans le sens où elle est entendue en général, veut que l'on paraisse travailler de bon coeur, mais que l'on gère en fait son action pour faire durer le plus longtemps ce travail, le temps égale de l'argent.
J'ai toujours été incapable d'agir ainsi. D'une part parce que mon intérêt ne dépasse jamais celui d'autrui et, si je commence à gérer comme ça, je perds toute motivation.
Ma motivation n'ayant jamais été l'argent, elle est et demeure dans l'efficacité, dans l'action de trouver la manière la plus efficace de faire mon travail.
C'est là ma définition de l'intelligence. Elle est loin de la définition actuelle.
Etre intelligent, aujourd'hui, est très proche d'être malin. Avec tout ce que ce terme comporte.
Alors non, je ne veux pas être un intelligent actuel. Après, d'accord, je me fais souvent entuber par des gens intelligents (d'un point de vue actuel) qui, en plus de profiter de mon état d'esprit très rentable, me volent des heures et donc de l'argent.
Et donc, perdent quelqu'un d'efficace dans le travail.
Cela pourrait très bien résumer le monde actuel du travail.
Les intelligents actuels "décideurs" respectent les intelligents actuels "faiseurs" et tout le monde s'entend très bien dans ce délire d'incompétence, de ralenti, de baclé, de merde. Tout cela au prix fort. C'est la débandade, il n'y a plus de sang dans la veine, plus d'esprit, il ne reste que la valeur partagée de l'argent.
Une valeur donc, totalement virtuelle, illusoire, du vent, de la merde.
Aussi, quand j'ai vu cette vidéo, avec Monsieur Jovanovic qui dit que les gens souhaitant que 2012 soit la fin de ce monde sont en fait des gens qui ont raté leur vie et qui veulent que tout le monde la rate, je me dis que quelque chose ne va pas jusqu'au plus profond de nos rares neurones.
J'aime beaucoup votre blog, Monsieur Jovanovic, et je n'ai pas encore lu un de vos livres, mais j'en ai (avais) l'intention.
Vous qui vous êtes interessé à Fatima, sûrement, donc, à Garabandal, vous qui connaissez la teneur des messages laissés par la Vierge, comment déterminez vous quelqu'un qui a réussi sa vie?
Par sa situation sociale, sa renommée, son compte en banque?
Par sa filliation au régime commun, travail, famille, patrie (impôts)?...
Je ne sais pas ce qu'il va se passer en 2012, car je n'ai pas de boule de cristal, juste une boule à zéro ou presque.
Je sais seulement, en regardant le présent; que nous nous approchons du chaos, du vide sidéral, de l'enfer.
Mais ce n'est pas tant 2012 qui me fait penser cela que Garabandal.
Pour moi, ceux qui sont certains de la véracité de 2012 sont aussi stupides que ceux qui sont persuadés du contraire. Nous n'en savons strictement rien.
Un chose est sûre. Nous allons manger très chaud dans pas longtemps.
Quand à la vie réussie, j'ai eu le choix à 21 ans entre la richesse, la villa sur la côte et les Ferraris dans le garage ou bien de sauver mon âme. Je ne plaisante pas en disant cela, j'ai vraiment eu le choix.
Quoiqu'il arrive, Monsieur Jovanovic, j'ai fait le bon choix, même si mon âme est encore loin d'être sauvée.
Mais il est grand temps d'aller à l'encontre de ce que l'on nous a appris.
Alors, je vais prendre le sujet par un autre angle. Je manque singulièrement d'intelligence.
Par exemple, quelqu'un me demande de faire un travail, à un taux horaire fixe. L'intelligence, dans le sens où elle est entendue en général, veut que l'on paraisse travailler de bon coeur, mais que l'on gère en fait son action pour faire durer le plus longtemps ce travail, le temps égale de l'argent.
J'ai toujours été incapable d'agir ainsi. D'une part parce que mon intérêt ne dépasse jamais celui d'autrui et, si je commence à gérer comme ça, je perds toute motivation.
Ma motivation n'ayant jamais été l'argent, elle est et demeure dans l'efficacité, dans l'action de trouver la manière la plus efficace de faire mon travail.
C'est là ma définition de l'intelligence. Elle est loin de la définition actuelle.
Etre intelligent, aujourd'hui, est très proche d'être malin. Avec tout ce que ce terme comporte.
Alors non, je ne veux pas être un intelligent actuel. Après, d'accord, je me fais souvent entuber par des gens intelligents (d'un point de vue actuel) qui, en plus de profiter de mon état d'esprit très rentable, me volent des heures et donc de l'argent.
Et donc, perdent quelqu'un d'efficace dans le travail.
Cela pourrait très bien résumer le monde actuel du travail.
Les intelligents actuels "décideurs" respectent les intelligents actuels "faiseurs" et tout le monde s'entend très bien dans ce délire d'incompétence, de ralenti, de baclé, de merde. Tout cela au prix fort. C'est la débandade, il n'y a plus de sang dans la veine, plus d'esprit, il ne reste que la valeur partagée de l'argent.
Une valeur donc, totalement virtuelle, illusoire, du vent, de la merde.
Aussi, quand j'ai vu cette vidéo, avec Monsieur Jovanovic qui dit que les gens souhaitant que 2012 soit la fin de ce monde sont en fait des gens qui ont raté leur vie et qui veulent que tout le monde la rate, je me dis que quelque chose ne va pas jusqu'au plus profond de nos rares neurones.
J'aime beaucoup votre blog, Monsieur Jovanovic, et je n'ai pas encore lu un de vos livres, mais j'en ai (avais) l'intention.
Vous qui vous êtes interessé à Fatima, sûrement, donc, à Garabandal, vous qui connaissez la teneur des messages laissés par la Vierge, comment déterminez vous quelqu'un qui a réussi sa vie?
Par sa situation sociale, sa renommée, son compte en banque?
Par sa filliation au régime commun, travail, famille, patrie (impôts)?...
Je ne sais pas ce qu'il va se passer en 2012, car je n'ai pas de boule de cristal, juste une boule à zéro ou presque.
Je sais seulement, en regardant le présent; que nous nous approchons du chaos, du vide sidéral, de l'enfer.
Mais ce n'est pas tant 2012 qui me fait penser cela que Garabandal.
Pour moi, ceux qui sont certains de la véracité de 2012 sont aussi stupides que ceux qui sont persuadés du contraire. Nous n'en savons strictement rien.
Un chose est sûre. Nous allons manger très chaud dans pas longtemps.
Quand à la vie réussie, j'ai eu le choix à 21 ans entre la richesse, la villa sur la côte et les Ferraris dans le garage ou bien de sauver mon âme. Je ne plaisante pas en disant cela, j'ai vraiment eu le choix.
Quoiqu'il arrive, Monsieur Jovanovic, j'ai fait le bon choix, même si mon âme est encore loin d'être sauvée.